Moi c'est Fred, j'avais 25 ans, 1m75, cheveux longs, quasi-imberbe, j'étais très mince, et il m'arrivais, quand elle n'étais pas là, de piquer les fringues de ma meuf.
Ce matin-là, dans ma chambre, j'avais mis une jupe longue et un pull large, en dessous je portais un tee-shirt rose avec de la dentelle, j'étais en train de me maquiller. Quelqu'un à frapper à la porte, c'était les pompiers, un appartement dans l'immeuble à coté, il fallait évacuer, j'ai pris un sac où j'ai mis mes fringues de mec qui était en tas à côté de moi.
Le temps de l'intervention, la matinée est passée, j'étais toujours en meuf, ma copine allait rentré…
J'ai trouvé un camion ouvert, je me suis enfermé dedans, le temps de me déshabiller quand j'ai entendu des raclements de gorge, un mec était dans le camion, je l'avais pas vu.
"Qu'est-ce que tu fais? t'es venu piquer un truc?"
"Euh, non, ma copine va rentrer, je veux pas qu'elle voit que je lui pique ses fringues?"
"T'es un travello?"
"Non… Enfin pas vraiment"
Il s'est levé, il était immense, musclé, il devait avoir une trentaine d'année, brun rasé, dans son uniforme de pompier, il a baissé sa braguette, sa queue a jailli.il l'a attrapée
"Tu veux y gouter?"
"Non… enfin je sais pas"
"tu bandes, mec!"
Il s'est approché, je sentais sa respiration, il m'a roulé une pelle, malgré moi, j'ai répondu, j'étais dans ses bras musclé, j'avais envie. Il m'a fait mettre à genoux, j'avais sa bite à porter de bouche.
"Vas-y, te pose pas trop de question, juste pour tester, on s'arrête si ça te plait pas mais je suis sûr que tu vas aimer"
J'ai ouvert la bouche, sa bite est entré dans ma bouche, j'avais un goût de gel douche et un autre gout salé de précum. Ca m'a rendu fou, j'ai commencé à le sucer, il s'est mis à gémir. J'ai commencé à me branler. Il s'est adossé sur la paroi du camion. J'ai pas tenu très longtemps, j'ai joui comme jamais, 7 jets puissants, ça a provoqué son éjaculation dans ma bouche. Je me suis redressé, pour partager son sperme, on s'est câliné, mais mon téléphone a sonné, c'était ma copine, je me suis rhabillé en mec et mit les fringues de ma meuf dans le sac. Il me l'a pris:
"Je te le garde, je le ramène demain"
Il a pris mon téléphone pour faire sonner son téléphone.
"Tu as mon numéro, et j'ai le tien" il m'a fait un bisous sur la joue "A demain"
IlIl est parti, quand je suis sorti ma copine était là.
Ma nuit a été agité, je repensais au pompier. Ma copine est partie très tôt. La porte avait à peine claqué, que j'ai eu l'appel que j'attendais.
"Allo"
"Allo, c'est moi, je viens te ramener tes fringues, je suis devant ta porte"
"Donne-moi 2 minutes que j'enfile un truc et je t'ouvre"
"Non, ouvre moi comme tu es, c'est pas grave"
Je lui ai ouvert nu, en érection. Lui était en jeans/tee-shirt/blouson.
Je l'ai fait enter, il m'a embrassé.
"Viens, ne prends pas froid, on va se remettre au lit."
Je me suis mis sous la couette, pendant qu'il se déshabillait et s'est glissé sous les drap.
"J'ai pas mis que tes fringues, j'ai mis d'autres choses qui me plaisent, tu veux bien les essayer pour moi?"
J'ai ouvert le sac, il y avait 4-5 tenues complètes.
"Il faut que je me rase, ça va prendre un peu de temps"
"Non, mets juste ça, je m'en fous du reste"
Il a sortie une robe, un peu chic. Je l'ai enfilé dans la salle de bain, j'étais pas lavé, pas rasé, ma queue était raide. Je suis sorti, je le voyais à poil, du précum s'est mis à couler de son gland. Je me suis penché pour léché ce nectar.
On s'est positionné en 69, il m'a léché l'anus, c'était divin, heureusement ma bouche le suçait. J'ai lubrifié sa queue avec ma salive, le cul trempé de désir, je savais qu'il allait m'enculer mais j'en avais envie, il s'est redressé, m'a pris dans ses bras. Il caressais mon corps quasi-imberbe, moi je passais mes mains sur son corps velu. j'aimais sentir ses muscles roulés sous sa peau.
Il m'a basculé, il a posé son gland sur mon anus et m'a dit:
"Je peux?"
"Oui, vas-y, prend moi!"
Il s'est enfoncé tout doucement en moi, je sentais son gland s'introduire en moi, puis le corps s'enfoncé. J4ai eu très mal. Sa queue entièrement en moi, il s'est arrêté.
"Respire, reste calme"
J'ai poussé un gémissement de plaisir.
"Vas y, démonte moi le cul"
Il a commencé un profond mouvement de va et vient, c'était trop bon, il m'embrassait en même temps. Je me sentais une petite chose, dans les bras de musclor, mais c'était bon, je sentais mon sperme qui voulait jaillir, sa queue prisonnière de mon trou, commençait à pulser, ses mouvements sont commencé à se désynchroniser, ses coup de butoir devaient plus profond.
Dans un souffle, je lui ai dit:
"vas y, jouis en moi, c'est bon"
J'ai senti ses jets me remplis, les miens se sont perdus dans les poils de son torse..
On s'est allongé sur le lit, dans les bras l'un de l'autre, pour reprendre nos esprits. J'avais l'impression d'avoir découvert une nouvelle facette de moi, j'étais homo, la question ne se posait plus.
On a été prendre une douche. Il s'est rhabillé, j'en ai fait autant.
"Garde les fringues, ça te va bien"
"Mais on se reverra?"
"Oui, on s'appelle"
Ma copine a découvert mes petits secrets, elle m'a quitté.
On s'est jamais revu mais j'ai connu d'autre pompiers.
Kurt
kurt.da@yahoo.com
Autres histoires de l'auteur :