Moi, c'est Baptiste, j'ai 42 ans, châtain, grand, je fais un peu de sport en salle. J'habite à Paris.
Ma grand-mère m'avait demandé de venir chez elle. Un voleur s'était introduit chez elle par le grenier et elle avait peur. J'ai décidé d'y aller passe la semaine.
En pleine nuit, j'ai entendu du bruit, j'allais coincé le volaur!.
Il était dans ue chambre, qui avit 2 portes, je savais que l'autre porte était fermé à clef. Je me suis glissé dans la pièce.
J'ai allumé la limière, le minet s'est retourné, il est devenu tout blanc. Il était muet.
"Qu'est ce que tu fous là?? Tu cherches des trucs à voler?"
"Non, monsieur, je suis désolé"
Il a éclaté en sanglots, je me suis approché, il n'était pas très gands, brun, imberbe. Je l'ai pris dans mes bras, j'ai senti une barre dans son pantalon. La mienne a aussi gonflé, il était mignon ce petit mec et auvue de jeans il n'était pas insensible au mien.
Il s'est agenouillé, en attrapant ma bouche de ceinture.
"qu'ets ce je peuc faire pour que tu dises rien à mes parents et à la police?"
"T'as quel age? Tu t'appelles comment"
"J’ai 19 ans, je suis Marc, je suis le fils de Phillipe"
Ok, c'est le fils d'un pote d'enfance.
"T'as piqué quelque chose? Déshabille toi"
Il a tout viré, Sa queue a jailli, il était bien raide, il était rasé de partout. J'ai pris ses fringues, il avait une capote que j'ai prise et son téléphone. Une clef.
J'ia fait mine de m'interroger
"Qu'est ce que je vais faire de toi? T'as un beau petit cul"
Il s'est foutu à 4 pattes, en me tendant son cul
"Allez-y-vous, faîtes vous plaisir, prenez moi, je suis prêt."
"Dis-moi Marc, tu es toujours puceau?"
"Oui, mais je me gode avec un outil que j'ai fabriqué"
"On va pas aller trop vite"
Je me suis déshabillé.
Je l'ai rejoint sur le lit, je l'ai pris dans mes bras,, spontanément, il s'est penché sur moi, et m'a embrassé, je l'ai basculé, sur le dos. J'ai attrapé sa bite, pour le branler. Il a gémi. Il m'a léché les pecs, ses mains tremblantes ont commencé à exploré mon corps.
"Calme toi, on est tranquille, ma grand-mère est assommé par ses somnifères. Je ne dirai rien. On s'arrête quand tu veux.
Il s'est arrêté sur ma bite.
"Je peux la sucer?"
"Vas y"
Il s’est jeté sur mon gland, je sentais sa langue qui a parcouru l’ensemble de ma bite, il est descendu sur mes couilles puis remonter sur ma hampe. Je gémissais, il était doué. Très vite ma bite a été couverte de sa salive. Il s’est redressé et s’est assis sur ma bite. Il a gémi de douleurs, mais j'ai vite senti ses fesses sur mon pubis.
Il a murmuré
"Attends ne bouge pas"
Puis rapidement:
« Vas y, fais gaffe je suis puceau »
J’ai pris ses fesses pour les écarter, je l’ai fait un peu bouger pour qu’il soit bien caler et j’ai commencé une série de va et vient. Je scrutais son visage pour vérifier si ça se passait bien. Il prenait son pied et moi aussi: ma bite était niché dans son canal étroit qui s’ouvrait peu à peu, mes mains lui caressaient le torse, d’une main il se branlait et l’autre était sur mon épaule pour garder son équilibre.
Au bout de quelques minutes, il a montré des signes de fatigue.
« Bouge pas, reste sur la bite"
Je l’ai retourné sur le dos, j'ai posé ses chevilles sur mes épaules. Sa queue était au bord de l'explosion. J'ai accélérer, j'ai senti mon sperme monté.
"Je vais jouir"
"Reste dans mon cul, je viens aussi"
J4ai senti son boyau faire des spasmes, il a joui sur ventre et à même arrosé son menton et mes abdo. Moi j'ai joui dans son cul. Je me suis penché pour lui rouler une pelle. Je l'ai essuyé.
Dans un murmure, il m'a dit
"Merci pour mon dépucelage, c'était comme un rêve"
"Viens, prends tes affaires, on va dans ma chambre pour un peu dormir"
Discrètement, on est allé dans ma chambre, je l'ai couché dans mon lit, je l'ai rejoint, on s'est endormi.
Ma grand-mère m´a réveillé vers onze heures, j’étais d’il, il y avait un mot « merci »
Je l’ai revu souvent. Il vennait me rejoindre la nuit pour baiser.
Kurt
kurt.da@yahoo.com
Autres histoires de l'auteur :
