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Premier épisodeÉpisode précédent

Une agression qui tourne bien

Chapitre-4 | La nuit et le lendemain

1. Le choix

Nous avions joui tous les deux, je me suis allongé à côté de lui pour reprendre mon souffle moi aussi. Puis je me suis accoudé pour le regarder.
- Je ne rigole pas, on fait quoi maintenant ?
- Je, je sais pas, il a fait.
J’ai admiré son corps une fois de plus. Sa queue commençait enfin à débander. J’ai réfléchi une minute puis je lui ai dit :
- Je te propose quelque chose. Je te donne le choix. Soit je te rhabille, je te raccompagne à la sortie et je te libère en te donnant les cinquante euros comme promis. Je garderai juste une vidéo de toi en garantie, si l’envie te venait de revenir avec des intentions pas très amicales. Ou alors je te garde pour la nuit, on dort ensemble. Et demain matin, quand tu partiras, je te donne cent euros. Mais attention, tu devras dormir les mains attachées et souviens-toi, ici, t’es ma pute.

Il a hésité, ce qui voulait tout dire… Mais bien sûr, il n’osait pas le dire. Et j’ai dû lui arracher les vers du nez pour qu’il finisse par dire à voix haute que oui, il voulait bien rester ici. Mais pour les cent euros ! Ben voyons… Pour la peine, je lui ai donné un bisou surprise sur la bouche.

J’ai détaché ses menottes du chauffage pour le mener, d’abord aux toilettes, puis dans la salle de bain. Il se laissait faire docilement, j’avais presque l’impression d’avoir un plan « normal » chez moi mais évidemment, je ne pouvais pas me permettre de libérer un gars qui m’avait menacé d’un couteau. Je passe un peu rapidement sur la suite même si c’était assez excitant de le mettre sous la douche et de devoir le laver moi-même – surtout sa queue, maintenant que je savais à quoi elle ressemblait en pleine érection – en faisant attention de ne pas trop mouiller la fourrure rose de ses menottes. J’ai dû changer les draps.

Il n’a pas cherché à négocier le port de ses menottes au moment de se coucher – aurait-il, en plus, un vrai tempérament de soumis ? Allongés tous les deux tout nu sous les draps, dans le noir, nous avons un peu discuté. Il m’a posé des questions sur ma vie de gay, et ma vie sexuelle. Il cherchait en fait à comprendre ce qui s’était passé, ce qu’il avait ressenti. J’ai essayé d’être le plus pédagogique possible.

Malgré, là encore, le côté excitant d’être couché nu à côté de lui, et la tentation d’en profiter, la fatigue nous a vite terrassés. J’ai juste exigé encore une chose avant de dormir : un baiser. Il n’était pas fan mais là, je ne lui ai pas laissé le choix et je l’ai embrassé longuement en me collant à lui, nos deux queues l’une contre l’autre, sa chaleur contre la mienne.

Mon petit prisonnier (qui était plus grand que moi !)…

2. Le réveil
Nous avons tous les deux dormi côte à côte. J’avais accepté de menotter ses mains devant lui et non plus derrière. Grâce à la longueur de la cordelette, il a pu trouver une position qui lui convenait et il s’est rapidement endormi.

Le lendemain matin, je me suis réveillé le premier, vers 10h. Je suis allé pisser, j’ai nettoyé ma queue et je me suis recouché à côté d’Amine. Il dormait encore. Il me tournait le dos, le visage vers le mur et le chauffage où ses menottes étaient attachées. Je me suis approché pour lui caresser le corps, les fesses. Il ne m’a fallu longtemps pour bander ! Je me suis approché encore un peu plus pour coller ma queue contre ses fesses et glisser ma main du côté de sa queue. Il ne bandait pas et je restais stupéfait entre la différence de taille entre sa queue au repos et en pleine érection. Je me suis demandé un moment si je voulais me la prendre dans le cul mais non, elle était trop grosse, ça aurait été trop compliqué.

Il s’est réveillé. Je l’ai embrassé dans le cou.
- Réveille-toi, ma petite pute, il est temps de faire plaisir à ton maître.
Il a sursauté : l’espace d’un instant, il avait oublié où il se trouvait. Tout lui est revenu.
- Ne t’inquiète pas, on va encore s’amuser un peu puis je te libère.
Je bandais toujours et j’avais bien rechargé de la veille.

Je l’ai tourné vers moi (pas évident avec la cordelette) et je me suis mis à genoux au niveau de son visage. Avant qu’il ait le temps de comprendre ce que je voulais de lui, j’ai glissé ma queue entre ses lèvres. Il a reculé avec un air de dégoût.
- Ah non, n’oublie pas, t’es ma pute. Tant que tu es ici, tu fais ce que je te dis. C’est notre pacte. Tu es quoi ?
- Je suis ta pute, a-t-il dit sans même trop hésiter !
- Très bien, maintenant tu te redresses pour t’asseoir le dos contre le mur.
Il a obéi. J’ai enlevé les draps, il faisait assez chaud. Je me suis mis à califourchon au-dessus de ses jambes. J’ai un peu joué avec sa queue molle, puis j’ai pris les menottes pour lui maintenir les bras au-dessus de la tête. Il s’est demandé ce que j’avais en tête puis il a compris quand je me suis rapproché de lui pour lui présenter à nouveau ma queue devant la bouche.
- Ouvre.
- J’ai mal à la mâchoire…
- C’est normal, c’est ta pipe d’hier. Pas grave, ouvre.
Avec ma queue qui faisait pression, il n’avait pas le choix et ma queue est doucement entrée dans sa bouche chaude. Je le dominais complètement, je lui clouais la tête contre le mur avec ma queue. Il allait partir tout à l’heure, il fallait que j’en profite. D’une main je lui tenais les bras au-dessus de la tête ; de l’autre, je serrais son cou pour l’empêcher de bouger et j’ai commencé à lui baiser la gueule. Pas trop violemment – il n’avait pas d’expérience et ses dents n’étaient pas loin… - mais suffisamment pour qu’il comprenne qui était le boss. Le pauvre venait de se réveiller, il avait peut-être envie de pisser mais tant pis pour lui, c’était trop bon.

C’était tellement bon que je me suis senti venir rapidement. Cette fois je n’ai pas voulu faire durer. Je maintenais fermement son cou et sa mâchoire, il se débattait un peu mais il ne pouvait pas faire grand-chose. Et là, sans le prévenir, j’ai donné de grands coups et j’ai juté dans sa bouche. Quand il a senti le jus, il s’est débattu encore plus fort mais en vain. C’était vraiment trop bon.
- Avale ! t’es ma pute, avale tout. C’est à ça qu’on reconnaît une vraie pute.

J’ai continué à faire mes mouvements pour me vider entièrement – et il y en avait beaucoup. Ensuite j’ai laissé un instant ma queue bien au fond de sa bouche, puis je me suis retiré rapidement et je l’ai lâché. Il s’est mis sur le côté et a craché ce qu’il n’avait pas avalé. Ça m’a fait marrer – même si ça me faisait un deuxième drap à laver…

- Et voilà, ton deuxième baptême ! Tu t’en souviendras de celui-là. T’es un bon suceur. Non, pardon, t’es mon suceur. Vas-y, dis-le !
- Je suis ton suceur.
- C’est bien. Allez, je te détache, tu peux aller aux wc et à la salle de bains.

Alors qu’il se levait, il essayait de cacher sa queue avec ses mains devant, mais j’avais bien vu : elle était presque en demi-molle. Ça l’avait fait bander !

Il a fait ses ablutions et, avant de le rhabiller, je l’ai amené à la cuisine pour lui proposer un café, que je lui ai fait boire en lui tenant la tasse. Il était debout, les fesses posées sur le rebord de l’évier, les mains menottées devant lui, et toujours tout nu. Il était plus grand que moi mais avec son corps très mince, sa tête et ses cheveux bouclés, il faisait très jeune. Il ne disait pas grand-chose, toujours très gêné d’être prisonnier tout en ayant kiffé ce qui s’était passé la veille. Cela me faisait rire et je me moquais gentiment de lui.

J’étais debout devant lui et j’ai caressé sa queue en lui disant quelque chose comme : « J’espère que tu ne complexeras plus comme avant ! ». Et j’ai senti sa queue gonfler. Je l’ai regardé :
- Vraiment ?
- Je… je voudrais bien une pipe, comme hier, enfin si tu veux bien.
- Ah ouais, tu demandes ça toi ! Tu te crois où ?
- Pardon, je ne voulais pas…
- Je rigole !
J’ai continué à caresser sa queue, j’ai aussi pincé ses tétons et je me suis rendu compte que là aussi, il était sensible ! Décidément… Une fois qu’il était en érection complète, je me suis reculé. Sa bite était vraiment énorme, foncée sur son corps plutôt clair, et en même temps harmonieuse. J’ai récupéré un coussin de chaise que j’ai posé par terre et je me suis mis à genoux devant lui. Ce n’était pas très raccord avec mon rôle de dominant, et peut-être pas très prudent, mais j’avais trop envie de le sucer.

J’ai donc pu goûter à nouveau à sa queue – moi aussi j’avais mal à la mâchoire ! Mais cette fois avec lui debout, et à la lumière du jour. Comme j’avais mis attaché mains sur le devant, de lui-même il les a posées sur ma tête pour accompagner le mouvement. J’ai pu faire des gorges profondes – enfin, gorges profondes pour moi. Sa queue à lui n’entrait pas en entier. Mais ça suffisait pour le faire frissonner.

Quand j’ai senti que ça venait, je me suis relevé : je n’allais quand même pas l’avaler ! Je me suis mis tout contre lui, un peu sur le côté, pour pouvoir le masturber. Il tressaillait, c’est tout juste s’il n’allait pas tomber. Je l’ai maintenu en le tenant fermement par la nuque. Avec ses mains, il voulait me guider pour aller plus vite mais je l’ai repoussé : c’est moi qui décidais. Je voulais tâter et palper cette queue sous toutes les coutures. Dès que ça venait, je m’arrêtais.
- Alors, qu’est-ce qu’on dit ?
- S’il te plait !, me supplia-t-il.
J’ai fini par le branler fermement et il a éjaculé : ses jets ont fusé dans la cuisine (heureusement, c’était du carrelage cette fois) et la suite a coulé sur ma main et par terre.

Un peu plus tard, je l’avais rhabillé, je lui avais rendu son téléphone (après m’être envoyé la vidéo) et je lui avais donné les cent euros comme promis. Il a pu voir que je tenais parole ! Et je voulais lui donner un argument lorsqu’il se demanderait pourquoi il est resté…
- Tu m’excuses si je garde le couteau ?, j’ai dit.
Je ne craignais plus rien mais par prudence, en faisant attention à ce qu’il n’y ait personne, je l’ai maintenu menotté jusque devant l’ascenseur au rez-de-chaussée, là précisément où tout avait commencé. Je l’ai détaché.
- On a vécu des choses intenses cette nuit tous les deux, j’ai dit. J’espère que tu ne ré-essayeras pas d’agresser des mecs comme ça…
- Ah non, promis !, s’est-il empressé de dire.
- Ça risque de te faire bizarre de ne pouvoir en parler à personne. Tu as mon snap et mon tél si tu veux en discuter. Et si tu veux revenir, c’est aussi possible. Mais alors souviens-toi : c’est moi qui t’ai baptisé. Si tu reviens, tu es à moi.
Il a baissé la tête, il n’a rien dit et il est parti sans se retourner.

Marc

micmac67@live.fr

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