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Chapitre-3 | … et plaisirs rendus
Je ne vais pas vous faire un résumé complet des épisodes précédent mais après avoir cassé la résistance d’Amine en le foutant entièrement à poil, toujours menotté, en le forçant à me sucer et à lui faire dire qu’il était désormais ma pute, j’ai changé de position pour lui bouffer le cul – qu’il avait délicieux, bien ferme – et là, en glissant ma main pour lui tâter la queue, je me suis rendu compte qu’elle prenait du volume !
1. Une pipe dont il se souviendra
- Alors Amine, tu kiffes te faire bouffer le cul ?, j’ai dit en me redressant.
Il ne répondait pas, alors j’ai ajouté, sur un ton plus amical, pour le mettre en confiance :
- Tu sais, s’il y a un moment où tu peux te lâcher, c’est maintenant ! Personne n’en saura jamais rien. Vas-y, dis-le que tu aimes ça. Si tu me dis ce que tu aimes, je pourrai te procurer encore plus de plaisir. Tu as vu, je ne cherche pas à te faire mal !
Il hésitait encore.
- J’ai ta queue dans ma main et je la sens grossir (quelle meilleure sensation qu’une queue encore molle grossir peu à peu dans sa main ?). Vas-y, dis-le que tu aimes ça.
- Je, j’aime ça, oui, tu es content ?
- Je ne suis pas le seul. Lâche-toi ! Maintenant, dis-moi de te sucer. T’es venu pour ça finalement, non ?
- Suce-moi…
- En plus ça sera ta première pipe, non ? Tu vas voir, tu vas kiffer.
Il n’était pas à fond dans le jeu mais c’était pas grave. Je l’ai mis à nouveau sur le dos (ses mains dans le dos le gênaient un peu, mais avec le matelas, ça allait) et je me suis installé à genoux entre ses jambes. Sa queue devenait raide et là, j’ai vu un spectacle imprévu : sa queue était énorme ! Absolument pas ce que laissait paraître sa taille à l’état normal. J’avais craché de la salive dans ma main pour caresser son gland bien dur et je devais me rendre à l’évidence : elle était plus grosse que la mienne ! À vue de nez, facilement plus de vingt centimètres, très épaisse, légèrement courbée vers le haut, avec un gros gland. Assez disproportionnée avec son corps mince, presque fluet.
- He ben mon coco, tu m’avais caché ça !
Je me suis étonné qu’il était toujours puceau avec un engin pareil, mais il était très gêné, presque embarrassé. Je lui ai posé quelques questions et c’est là que j’ai compris : c’est justement à cause de sa queue qu’il était puceau. Elle avait eu très tôt cette taille, ses potes se moquaient de lui quand, dans la douche ou à d’autres occasions, ils la voyaient même juste en demi-molle, et ça l’avait complexé au point qu’il n’osait pas aborder les meufs.
- Pour les meufs je sais pas. Mais chez les mecs tu ferais un malheur…
- Ah ouais ?, il a fait, soudain intéressé.
- Mais mec, c’est pas un défaut d’avoir une grosse queue. Enfin, c’est clair que ça peut faire peur mais franchement, tes potes ils étaient jaloux, c’est tout.
Ça l’a rassuré et ce petit bout de conversation nous avait un peu rapproché, ou disons avait brisé la glace. Il a compris que je n’étais peut-être pas si méchant – surtout qu’avec ma main, je continuais à lui arracher des gémissements de plaisir.
Je me suis alors penché et j’ai essayé de prendre le plus possible cet engin dans ma bouche. C’était pas évident mais j’avais quand même un peu d’expérience, et j’ai très vite senti son corps répondre, se tendre, se tortiller de plaisir presque. A vingt ans, il n’avait jamais connu ça ! Le pauvre, que de temps perdu… Les rôles étaient presque inversés : c’était moi maintenant qui tâchais de lui donner le plus de plaisir. Après tout, c’était censé être le programme initial. Sauf qu’à la place de rencontrer un rebeu hétéro un peu dominateur comme je le pensais, j’avais affaire à un puceau menotté sur mon lit, qui gémissait et poussait des petits cris.
J’avais eu peur au début qu’il débande facilement mais je me suis rendu compte qu’il fallait au contraire que je fasse attention à ne pas le faire jouir trop vite… Alors je délaissais de temps en temps sa queue pour lécher ses couilles (qui faisaient presque petites en comparaison !) et là encore, il s’est révélé hyper sensible et gémissait de plus belle.
J’ai alors tenté quelque chose : je lui ai fait remonter les jambes et, tout en le suçant, j’ai glissé un doigt bien mouillé entre ses fesses. D’abord j’ai caressé son trou et comme il réagissait plutôt bien, j’ai tenté de le rentrer… Et c’est rentré facilement ! Il s’est tendu et a remonté sa tête comme pour regarder ce que je faisais, en répétant :
- Oh putain, oh putain !
2. Découverte inattendue
J’ai alors essayé avec deux doigts et il faut croire qu’il était bien détendu car là aussi c’est rentré facilement. J’ai arrêté de le sucer, j’avais trop peur de le faire jouir et j’ai continué quelques instants à le doigter en me contentant de lécher ses couilles.
Puis je me suis mis au-dessus de lui : pas vraiment allongé sur lui car je me tenais sur un coude, tout en le doigtant avec l’autre main, mais je pouvais rapprocher ma tête de la sienne. J’ai dit à voix basse :
- Je crois que tu es prêt pour passer à l’étape suivante.
Il m’a regardé sans comprendre.
- Je vais t’enculer. Je ne vais pas mettre de capote mais tu n’as rien à craindre de ce côté-là. Et moi non plus si j’ai bien compris.
- S’il te plaît, je suis pas gay…
- Tu n’es peut-être pas gay, mais tu n’as pas débandé quand je t’ai mis deux doigts. Ce serait un crime de ma part de m’arrêter en si bon chemin et de ne pas te faire découvrir ça.
- S’il te plait, je suis pas un enculé.
- De toute façon, je te laisse pas le choix. T’es ma pute, tu te souviens ?
À ce stade, je ne pense pas que j’aurais été violent et si vraiment il avait refusé, ou si j’avais eu peur qu’il ait mal, je n’aurais pas forcé. Mais en lui disant « t’es ma pute », je lui avais permis de se dire qu’il ne faisait que m’obéir – ce devait être plus facile à accepter.
J’ai alors rapidement cherché du gel dans ma boîte à chaussure (il ne fallait surtout pas que je fasse retomber la tension !), j’ai pris ses jambes pour les mettre sur mes épaules et, après avoir mis le plus de gel possible sur mon sexe qui n’avait pas débandé, je me suis approché de mon trou. Je voyais la peur dans ses yeux, j’ai tâché de le rassurer le plus possible.
- Tu auras un peu mal au début mais le truc, c’est de te détendre le plus possible. Faut que tu pousses quand je rentre, tu comprends ?
Je ne sais pas s’il avait compris ou s’il était un passif-né qui s’ignorait (malgré sa grosse queue !) mais j’ai pu le pénétrer relativement facilement. Je suis entré très doucement, il grimaçait, je ne me suis pas arrêté et quand ma queue de 18cm fut entièrement en lui, je suis resté immobile pour le laisser souffler un peu. J’ai baissé les yeux : le con n’avait même pas débandé ! Il aurait vraiment du mal à se dire qu’il n’avait pas pris son pied après ça…
J’ai alors commencé des mouvements de va-et-vient. Ses grimaces firent place à un air presque ahuri : il découvrait le plaisir anal ! Je le trouvais de plus en plus beau, avec ses cheveux bouclés et sa bouche pulpeuse… Je me suis approché pour l’embrasser mais il a tourné la tête. Ok, pas de souci, je ne vais pas lui prendre la tête avec ça maintenant. En revanche j’ai accéléré mon mouvement. Son cul était si bon, si chaud ! Et il encaissait vraiment bien !
Comme je sentais la sauce venir de mon côté, j’ai voulu changer de position. Maintenant qu’il était bien ouvert, je me suis retiré, je l’ai mis sur le côté, dos à moi, je me suis mis à genoux et, en lui écartant un peu les jambes, j’ai rentré ma queue à qui n’a eu aucun mal à retrouver le chemin.
Dans cette position, je le dominais complètement. Je le pilonnais un peu moins profondément qu’avant mais je pouvais mieux admirer tout son corps imberbe, ses bras attachés dans le dos, ses fesses fermes à peine poilue. J’avais une main sur sa cuisse, de l’autre je lui serrais le cou. Il était entièrement à ma merci. Je me suis appuyé encore plus sur lui pour approfondir mes mouvements et lui frotter la prostate de mon mieux.
J’avais pas fait gaffe que, dans cette position, sa queue frottait contre le drap-housse. Sa respiration s’est accélérée. Je me suis dit que, pour une première sodomie, ça suffisait et, tout en accélérant mon mouvement, j’ai saisi sa queue (ma main faisait à peine le tour de son gland…) et il a joui presque aussitôt. Je me suis fait la réflexion que j’aurais dû anticiper le sopalin car il a éjaculé plusieurs longs jets, puis encore plusieurs doses de sperme chaud qui a coulé sur ma main pour tacher le drap. Il avait poussé de vrais cris de plaisir.
Je me suis retiré en douceur, je l’ai mis sur le dos – il était vidé, épuisé, et fermait les yeux en reprenant son souffle. Je me suis à nouveau mis entre ses jambes pour me branler en admirant son corps en sueur, encore secoué de spasme, et sa queue magnifique qui ne semblait pas vouloir débander. Je n’ai pas tardé à venir et je lui ai juté dessus : les premiers jets ont attiré sur son menton et son torse ! Le reste a coulé sur sa queue et ses couilles. Le jet de sperme sur son menton l’a comme réveillé, il m’a regardé.
- Je t’ai baptisé. T’es à moi maintenant !
Ça l’a fait sourire – son premier sourire !
- Bon, qu’est-ce qu’on fait maintenant ?, j’ai demandé.
Marc
micmac67@live.fr
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