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19 | LUNDI AU DOMAINE
Lundi matin je sens que Karl bouge, il me tient et je vois Eddy venir avec une seringue. J’ai tenté de me débattre mais impossible. Je me suis rendormi cinq minutes après en pleurant. J’ai eu un semblant de reprise de connaissance, j’avais l’impression d’être dans un avion. Nouvelle piqûre. Quand j’ai repris mes esprits j’étais attaché sur le ventre dans un lit, les mains devant ma tête, jambe écartée attachée aussi, cul relevé par des cousins, cage de chasteté plus grande que d’habitude et plus confortable et bâillonner. J’ai senti un corps se coucher sur moi. C’est Olivier.
Olivier : Tu es chez moi à Casablanca, tu vas me rendre le service que tu me dois et qui me permettra de finir d’acheter Laurent. Après je te ramène à ton futur mari au domaine. Détends- toi et prends du plaisir, ils seront doux comme moi. Ils sont dix-sept.
Il a vu mon regard de peur.
Olivier : Je vais rester en permanence prêt de toi, je vais finir par te détaché après le troisième, ils veulent te prendre comme ça.
Il s’est assis à côté de ma tête, m’a caressé les cheveux avant de taper deux fois dans ces mains. Le premier est venu et après m’avoir léchée le cul et jouer avec ses doigts dedans, me faisant gémir. Après avoir mis une capote et un peu de gel, il est entré cm par cm d’une lenteur impressionnante mais c’était divin. J’en ai feulé dans mon bâillon en regardant droit dans les yeux Olivier. Il me caressait le visage avec un sourire approbateur. Les coups de rein furent sensuels, il me massait le cul avec sa queue. Il a fini par jouir en douceur et en m’embrassant dans la nuque. Le second pratiquement idem mais il a joui sur mon cul. Olivier a fait le ménage. Le troisième à été plus brutal c’est derniers coups de rein en jouissant, m' ont fait mal et hurler dans mon bâillon avant de retomber la tête dans l’oreiller vaincu. Il y a eu une pause, Olivier m’a détaché, a enlevé la cage et s’est placé devant moi les jambes écartées de ma tête contre sa queue. Le quatrième est venu et à été très doux aussi, il n’a pas traîner à jouir dans sa capote. J’ai entendu Olivier lui dire que pour une première ce n’était pas mal. Ensuite j’ai eu les frères d’Olivier, j’ai dû les sucer, ensuite il m’ont pris tour de rôle pendant que je devais sucer Olivier, j’ai joui une première fois. Ensuite ça c’est enchaîné, à quatre pattes, sur le dos jambe relever. Au treizième j’ai osé demander une pause, un verre d’eau et quelque chose à grignoter, je ne me sentais pas bien. Olivier fit venir le médecin qui était venu avec nous, pour ma sécurité, à pris ma tension de nouveau basse. Piqûre. Rendez-vous avec un spécialiste à notre retour en urgence. Ils m’ont laissé récupérer. J’ai enchaîné les trois suivants mais quand j’ai vu arriver le dernier j’ai pris peur. Un molosse de 2m musclé pire que certains bodybuilder. Une queue longue de 24 cm mais très large. Bon avec ce que je venais de prendre, j’étais plus que dilatée. J’ai regardé Olivier.
Olivier : N’ai pas peur mais soit solide, je reste prêt de toi.
J’ai commencé par le sucer mais elle est tellement large que pas possible pour moi de la prendre en entier. Il m’a fait mettre à quatre pattes et à commencer à explorer mon cul à grand renfort de gel. Je regarderai Olivier dans les yeux, j’avais peur. Pour que je ne m’occupe pas du mec, il m’a fait le sucer. J’ai reçu quatre bonne dose de poppers ce qui m’a rendu bien docile. J’ai senti qu’il poussait plus fort dans mon cul et dans un râle de ma part j’ai compris que sa main était dedans.
Le 17 : Ça y est elle est dedans dans dix minutes elle est bonne à prendre. Olivier demande à ta femelle de venir me sucer.
Olivier a taper dans ces mains et j’ai vu arriver un esclave transsexuel avec une minuscule queue et une chatte. Elle s’est mise à genoux et à sucer le 17ème. Sur ce temps il a continuer à jouer avec sa main dans mon cul me faisant gémir pas mal de fois. Parfois par mal, mais aussi parce qu’il jouait avec ma prostate. Une fois sa main retirée il m’a pénétré sans capote, je n’ai pas voulu, mais Olivier m’a fait signe qu’il est clean. Il est entré en douceur mais les quelques derniers cm ont été durs. Dans un coup de rein puissant, il a entré le dernier cm. J’ai hurlé et me suis cambrée avant qu’il me remette de force à quatre pattes et avec deux bonne fessée, j’ai compris que c’est lui qui dominait.
Le 17ème : Bouge pas salope ou je te détruit le cul. Laisse moi jouer avec ta chatte et te faire jouir un max de celle-ci.
Il a commencé à me labourer en douceur, chaque mouvement me faisait gémir de plaisir, sa queue jouait dans mon cul. Olivier me tenait la tête au creux de ses aisselles. J’ai joui une première fois du cul et de la queue en feulant de plaisir. Il a continué en augmentant la cadence, je n’en pouvais plus et j’ai joui une deuxième fois et baver de la queue. Pour finir il m’a couché et donné des coups de rein puissant avant de me féconder bien au fond dans un coup de rein qui m’a fait avancer dans le lit, j’ai hurlé lui aussi et joui encore une fois du cul. Je me suis cambrée avant de retomber dans les vapeurs de plaisir. Il m’a donné encore une dizaine de coups de rein et s’est retiré. Une tape sur les fesses. Je l’ai entendu dire à Olivier que j’étais le premier à prendre sa queue en entier et que ce serait avec joie qu’il me prendrait à l’occasion. Olivier de lui répondre que j’allais me marier et que c’était mes derniers jours de location. Mais qu’il aurait la joie de ce faire sa future femme. Après je crois que je me suis évanoui. Olivier m'a porté, lavé tendrement et massé. Je l’ai entendu me dire qu’il était fier de moi et me remercie pour le service et cadeau que je lui faisais en lui cédant Laurent, via Karl. Il m’a mis au lit pour que je me repose un peu. J’ai dormi un bon moment. Quand je me suis réveillé, j’étais couvert de bijoux et de fleurs. Olivier était assis dans un fauteuil à me contempler.
Olivier : C’est des cadeaux des participant pour toi afin de te remercier. C’est en plus de la location de trois jours via Karl. C’est pour toi.
Moi : Merci mais je ne l’ai pas fait pour ça même si j’aurais préféré être prévenu que d’être mis devant le fait accompli. Je l’ai fait pour le bonheur de Laurent. J’espère juste que tu ne le mettra pas dans ton cheptel.
Olivier : Laurent restera à Paris avec moi. Il ne viendra ici que quand j’y serai mais pas dans un premier temps et ne servira pas de pute sauf pour une ou l'autre personne avec son consentement. Comme je l’ai dit, il ne mérite pas de finir dans un cheptel. Il est au domaine en formation jusqu’à samedi ou je le reprends avec moi après ton mariage. Mon tailleur va venir te faire un costume sur mesure, ensuite, je te ramène au domaine. Reste nu, il va venir avec les étoffes que j’ai choisis pour toi. Il a trois heures avec ses couturières. Je te laisse, j’ai des instructions à donner pour mes affaires à mes frères. Tu es en de bonne mains. Un repas va t’être servi.
Moi : OK merci pour ce que tu fais pour moi, c’est très gentil.
Olivier : Il n’y a pas de de quoi, tu le mérite et si tu n’étais pas promis au maître principal, c’est toi que j’aurais marié.
J’ai souri me disant entre moi-même que je n’aurais pas dit non. Le repas est arrivé et je me suis jeté dessus tellement j’avais faim. Le tailleur est venu me montrer le tissu choisi pour mon costume de mariage. Du lin blanc brillant pour la veste et le pantalon, gilet de même couleur mais brodé de fil d’or une chemise en lin et soie et une paire de chaussures en cuir. Une ceinture noir et or et une cravate de même coloris que le gilet. Je n’ai pas eu le temps de dire ouf, qu’il prenait mes mesures et les discutait à une couturière, je ne me suis même pas formalisé. Une heure après essayage. Vingt minutes après, deuxième tentative. A la troisième c’était bon. Olivier revenu me contempla.
Olivier : Tu es magnifique princesse. Bon change toi, ils vont mettre ton costume dans une chemise de transport. Voici une montre Cartier offerte par Karim.
Moi : Qui est Karim ?
Olivier : Ton dernier baiseur. Il a tellement apprécié qu’il m’a demandé à l’occasion de te revoir, si tu es d’accord.
Moi : Tu sais que je n’ai pas mon mot à dire, tu sais à qui j’appartiens.
Olivier : Oui je sais c’est pourquoi je lui ai dit que j’en parlerai à l’occasion avec le maître principal. Bon je dois te ramener, je ne vais pas te mentir, il faut t’endormir. Comme je n’aime pas la manière forte, va tu te laisser faire.
Moi : Je n’ai pas le choix, donc oui fait venir le médecin avec sa maudite piqûre qu’on en finissent.
Olivier : Ne m’en veut pas c’est aussi pour ta sécurité.
Moi : Je ne t’en veux pas, c’est le principe qui me dérange.
Le médecin est venu et a vu que je ralais.
Le médecin : Détend toi sinon ce sera pire après.
Il m’a fait cette foutue injection et quatre minutes après plus rien. A mon réveil j’étais dans ma chambre dans les bras d’Olivier.
Ptlapin
pascal_dinsart@yahoo.fr
