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5 | TOUT DROIT VERS LES ETOILES
Chapitre-2
Il est 23h00, la ville spatiale entre peu à peu dans le sommeil. Malgré la nuit permanente, nous avons conservé les rythmes terriens. L’intensité de la lumière baisse dans les couloirs et le silence se fait.
J’adore ce moment. Il éveille en moi l’idée d’un recommencement dans le calme que j’aime. Il symbolise aussi la nuit, la nuit ou les sens se mettent en marche, ou ma libido se déclenche.
Ce soir mes hormones se battent dans mes testicules que je sens chauffer. Mes besoins me tiraillent à juste titre. Au hasard d’un couloir, nous avons croisé Boris et Moussa, et les avons invités à une petite fête intimiste dans mon fameux bureau.
Les bougres ne se sont pas fait prier, ce sera notre première fiesta entre nous depuis maintenant 5 mois. La mise au point du fonctionnement à bord a été épuisante.
Qui dit fiesta dit alcool, et j’ai fait le plein de « Noésky ». Le dernier est encore meilleur, il sent les iles et la mer chaude des Caraïbes.
Quand j’arrive au Bureau, Bruce a déjà lancé sa playlist. Il collectionne les vieilles musiques technos et l’ambiance est déjà chaude pour mon bonhomme tout heureux.
Ce soir on s’est débarrassé de nos combinaisons, et avons décidé qu’un jean slim apporté en douce, notre caleçon kangourou et un « marcel » blanc feraient l’affaire. Sans oublier bien sur nos chaussures magnétiques, pas vraiment élégantes.
Nous attaquons notre premier shoot l’un contre l’autre façon gros câlin, quand nos deux soldats arrivent. On découvre que nos bogoss, ont choisi un look quasi identique au notre.
L’air de l’espace leur donne bonne mine, ou alors, c’est peut-être le plaisir de nous retrouver.
D’un : « Bonsoir les capitaines », très formel, nos invités viennent tour à tour nous faire un partage de langues coquines et chaleureuses.
Boris, avec lequel je partage souvent ma passivité, me prend par le cou et me fais de gros câlins en frottant ma tignasse. Il en profite pour agiter sa main sur mon sexe, auquel il dit :« Coucou toi, j’aimerais bien que tu me rendes visite tout à l’heure ». Boris semble avoir choisi son programme.
Bruce, qui a horreur de la solitude, s’approche de Moussa et ironiquement, le prend par la queue et répète les paroles de Boris.
Les couples semblent formés et nous nous lançons dans la dégustation de cette nouvelle cuvée des étoiles.
Pendant que Bruce et Moussa causent de voitures et de foot en bons mâles alpha, Boris s’est littéralement transformé en salope. Je suis surpris de toute cette passion et attention qu’il a pour moi ce soir. Son envie est communicatrice.
Nous dansons tous les deux, cette musique nous fait du bien et nous rappelle nos moments sur terre.
La nostalgie semble nous gagner en même temps. Boris me prend dans ses bras, se colle fort à moi et reprend le ballet de sa langue avec la mienne. L’intensité est au maximum. Nos bouches ne veulent plus se lâcher et nous nous enlaçons encore plus fort.
Moussa et Bruce sont au premier rang et nous encouragent en frappant des mains et en sifflant.
Mes tempes sont chaudes. Nous nous regardons dans nos yeux bleus, et le reflet de nos envies, déclenche un instant euphorique.
Boris, arrache mon « marcel » et j’en fais de même. Nous nous jetons sur nos tétons. Nos mains, nos bouches les vrillent et les font pointer. Nos langues se promènent sur nos corps, envahissent chaque partie de chair.
Boris me dégrafe mon jean, et péniblement je réussi la pirouette qui me permet de l’enlever et de réajuster mes chaussures, ce fardeau hideux qui nous contraint.
J’en fait de même avec mon beau Boris. Il est là maintenant, face à moi. Il vibre et semble rugir de l’attente. Il ne contrôle plus rien. Il s’approche et me chuchote à l’oreille :
« Soumets moi Maître. J’ai trop envie que tu me déchires devant nos mâles. Je suis à toi David ».
Il me retire alors, avec empressement mon slip à poche et fait de même avec le sien. Nos deux bites sont droites et se font face. Les glands sont coulants et bien gonflés. Boris se passe la langue sur la bouche et plonge vers mon engin tendu. Pas de délicatesse. Il l’embouche et commence direct à pomper dessus. Sa succion rapide semble l’apaiser. Il se calme et reprend un rythme plus contenu. Sa langue glisse autour de mon gland, elle s’agite dessus, autour, partout. Boris pompe avec délectation, mais je suis obligé de le ralentir, ne voulant pas d’une jouissance rapide dans mon scénario.
Je me retourne et voit que nos deux amants sont toujours au spectacle, mais ils sont maintenant torses nus et s’embrassent à pleine bouche. Il semblerait que nos deux hommes virils entrent en action.
Je m’abaisse à mon tour vers le sexe d’un Boris en transe. Pendant quelques minutes, je le suce voluptueusement. Il s’écoule une quantité de précum surprenante de son sexe palpitant. Je le lèche lentement pour ne rien perdre. Boris se tord de plaisir, mais je le stoppe à nouveau.
Je passe derrière son corps et commence à lécher son dos en frottant mon engin et mon gland bien coulant contre sa raie.
Collé à lui, mes mains passent sous ses bras et envahissent son torse. Je le caresse énergiquement, ses tétons pointent toujours plus fort. Boris râle de plaisir. Mes mains descendent sur son sexe que je martyrise, en même temps que je presse ses couilles bien pleines et bouillantes.
Face à nos hommes, je le penche sur ce qui nous sert de table basse. Mes mains positionnent son corps, le mettant dans une courbure qui fait relever les beaux lobes de son fessier lisse.
Boris ronronne et fait onduler toute sa charpente. Des gouttes s’écoulent toujours de son pénis luisant, et deux claques autoritaires s’abattent sur ses fesses. Boris est surpris, mais accepte le jeu, et relève encore plus haut sont superbe derrière.
Mon index, que je lui fais sucer, se dirige vers son anus frétillant d’envie. Je le pénètre ainsi d’un doigt, sans sommation, suivi d’un autre qui commence à le fouiller pendant que mon autre bras le maintien par le cou.
Boris s’agite dessus frénétiquement, pendant que j’enfonce toujours plus profond et que j’atteins sa prostate bien gonflée. Mes deux doigts caressent ce point de plaisir extrême, pendant que des cris d’extase s’échappent de la bouche de Boris.
Nos deux hommes sont subjugués. Ils sont maintenant nus et se serrent l’un contre l’autre, sexe contre sexe. Bruce lèche le corps noir et brillant de Moussa, et descend sur son gros sexe tendu. Il le prend en main, le relève et passe sa langue sur ses énormes couilles. Il remonte sur la hampe par petites léchouilles et fini par rentrer ce monstre tout en bouche.
Le corps de Moussa tremble à chaque passage de langue sur son gland. Le beau black, s’enfonce en fond de gorge de Bruce et attaque un va et vient endiablé, témoin de la belle excitation du soldat.
Boris, toujours le corps arque bouter, subit mes caresses perverses. Je frôle de mes doigts et mes ongles, toutes ses parties sensibles. Je l’empêche de se toucher le sexe, créant le manque. Un sexe bien tendu, que je ne fais que frôler de mes doigts.
Lui intimant l’ordre de rester dans cette position, j’avance mon visage vers ce cul d’enfer. J’écarte les lobes et plonge ma langue sur son petit trou qui s’agite par spasmes. Ma salive inonde l’endroit et semble ramollir la chair.
Je veux une pénétration directe et sans concession. Deux nouvelles claques sur ses fesses le font mettre en position parfaite. J’avance mon gland contre l’ouverture de ses sphincters et le pénètre en une seule fois. Je touche rapidement le fond. Mes couilles commencent à taper contre les siennes et mes mouvements forts et violents le font hurler du bonheur qu’il semble vivre.
Je ne lâche rien et m’agite maintenant frénétiquement. Son boyau est tiède et s’accroche à mon gland, qui glisse parfaitement dans ce tunnel lubrifié de toute sa mouille. Mes doigts écorchent son dos, et c’est lui qui recule et s’enfonce un peu plus sur mon sexe à chaque mouvement. Son râle s’intensifie, un son rauque s’échappe de sa gorge.
Boris est soudain pris de spasmes annonciateurs. Je le sens et je me sens venir. Sans se toucher et juste au passage de mon gland sur sa prostate, notre orgasme se déclenche en même temps. Son anus se resserre sur mon pieu dur comme du bois. Boris gicle de puissants jets qui s’échappent en longs filets. Tout son jus, se promène ainsi au travers du bureau et va se fixer un peu partout sur les parois de la pièce.
Moi, je me vide en lui. 10 à 12 jets puissants qui le remplissent de mon jus chaud. Les secousses successives, me font tasser tout le liquide bien au fond des tripes de mon doux partenaire.
L’effort est intense et nous restons collés ensemble de longues secondes. Son cœur bat fort. Boris est épuisé et s’écroule au sol, repu d’une jouissance qui l’a transporté bien loin.
Nous nous asseyons, serrés l’un contre l’autre. Mes mains ne parviennent pas à quitter son corps et caressent ce bel athlète dans un mouvement continu.
Nous nous retournons, face au tonnerre d’applaudissements de nos hommes.
Ils ont vécu les yeux écarquillés les derniers instants de cette chevauchée. Bruce a même abandonné la fellation qu’il faisait à Moussa.
Nos hommes sont « caliente » et leur sexe est au maximum d’une érection douloureuse.
Ils viennent nous réconforter façon « fin de match ». Bruce me prend dans ses bras et me tient fort contre lui.
Nous reprenons quelques forces avec à nouveau un drink et une pause méritée. C’est là que Bruce nous propose de tenter tous ensemble, une fin de soirée sans chaussures magnétiques.
Nous sommes d’accord, pour nous débarrasser de nos vilains godillots et partager cette expérience avec nos amants amis. Nous resterons dans le grand bureau, la chambre étant minuscule. Nous veillerons à rattraper ceux qui s’envolent trop loin.
Boris m’annonce discrètement qu’il veut me remplir à son tour. Je lui souris et agite le bout de ma langue entre mes lèvres, ainsi qu’une petite tape sur ses fesses, qui l’émoustille. Il est charmant mon amant de ce soir. Je crois que j’ai envie de lui.
La réciprocité semble partagée. Il me prend par la main, en véritable gentleman de l’espace. Ignorant les deux mâles qui regardent son spectacle, il m’attire à lui et me chuchote encore à l’oreille : « A toi de m'ordonner ce que tu attends de moi mon capitaine ».
Je sais ce que j’attends de lui, mais la soirée ne fait que commencer alors à mon tour je lui susurre :
« _ Je pense qu’on va un peu tous jouer ensemble, mais nous terminerons la fête tous les deux. J’aimerais que tu me fasses l’amour, comme tu le fais avec Moussa. C’est cet échange dont j’ai envie avec toi ». Je lui dis de se rassurer et que je le rendrais à son Moussa juste après. Dans la foulée, je lui fais une caresse coquine sur son sexe humide et toujours bien raide.
Je le tiens par la main, et lui enlève ses chaussures…magnétiques. Il devient tout léger et son corps, se met à l’horizontale. J’attrape son sexe de mon autre main, et le promène dans la pièce, le tenant par la queue.
Je viens en faire offrande aux deux mâles qui l’attrapent chacun d’un bras et lui parcours le corps de caresses et bisous. Ils le font tourner sur lui-même, un peu comme un poulet sur une broche et profites à chaque passage de tâter la cuisson de ses parties les plus intimes.
J’enlève à mon tour les sandales magiques et me propulse dans cette mêlée d’hommes. Des corps puissants de soldats. Du muscle réparti finement, des peaux soyeuses. Tout est beau chez mes trois hommes de la soirée.
Bruce et Moussa sont maintenant déchaussés, et nous nous envolons tous main dans la main à travers la pièce. Je rattrape Bruce qui heureux me prend dans ses bras et imite une valse lunaire.
Je lui dis que je l’aime et que j’aime notre façon de le vivre. Il me répond que je suis la moitié de lui et que chaque jour et meilleur que l’autre. J’oubliais notre romantisme. Il m’embrasse tendrement. D’un vrai bisou sensuel et très posé.
Un dernier câlin et c’est le rassemblement. Comme des parachutistes en pleine descente, nous nous prenons les mains. Tous les visages sont proches comme la gravité ne nous le permettait pas sur terre.
Les bouches viennent toutes se mélanger, se lécher. Les mains qui peuvent se libérer, caressent les visages et se prolongent sur les corps. Les sexes pointent tous vers le bas et les gouttes de précum, se mélangent à nouveau dans l’air et flottent en petites larmes au-dessus de nous.
Bruce émoustille Moussa. Le choix de son partenaire de soirée semble maintenant bien établi.
Il positionne Moussa légèrement au-dessous de lui, et à l’horizontal au-dessus de son dos, il sort sa longue langue, et vient lui faire un bouffage de cul passionné. Je me glisse pour ma part au-dessous, de mon chéri et m’empare de son gland difforme. Bruce glousse de bonheur et enfonce toujours plus sa langue au plus profond du soldat Black. Boris a fait de même avec son partenaire et gobe sans retenu le sexe embrasé de son homme.
C’est un amas de corps mêlés qui se promène au-dessus du bureau. Les bruits de succion et de plaisir prennent le dessus. On décide d’une fellation à 4, et tous à l’horizontale, nous avalons le sexe du voisin. Moussa est mon suceur, Boris est mon sucé qui lui-même suce mon Bruce qui suce Moussa.
Dur de s’y retrouver, mais bien dures son nos sexes qui s’agitent d’un seul mouvement au fond de nos gorges.
Chacun se retourne en aidant l’autre, et c’est une longue chaîne humaine, de léchages de culs à la queue leu leu qui commence. J’aperçois Bruce toujours au bonheur dans les entrailles de Moussa. Sa main libre caresse ses belles cuisses ébène langoureusement. Bruce est aux petits soins avec son amoureux du soir.
Le vol s’éparpille soudain, pour se reformer. On test des figures les plus acrobatiques possible.
Bruce est recouvert du corps de Moussa, que je recouvre moi-même, et Boris se pose au-dessus contre mes fesses. Les sexes touchent et frôles la tripotée d’anus.
Hors gravité, je m’aperçois que dans mon intérieur le plaisir est répartie différemment. Au lieu de se concentrer sur quelques points précis, il est partout. De la tête aux pieds nous ne sommes qu’une fusion de plaisir.
Moussa se tient fermement accroché aux testicules de Bruce. Il s’entête à lui dévorer le cul, comme un lion affamé. Il est évident que c’est le postérieur de mon mec qu'il commence à convoiter.
Quand Bruce s’échappe, Moussa s’élance à sa poursuite. Les corps se rattrapent et l’impact est tout en finesse et en figures de style. Mais notre soldat s’impatiente. A nouveau il entreprend un léchage complet du corps de Bruce. Même ses pieds sont au programme.
Bruce qui a compris qu’il pouvait flotter et rester en suspension sans élan, se positionne les bras et jambes écartées, les fesses en l’air. C’est là que Moussa arrive lentement au-dessus de lui et vient se plaquer contre son fessier.
Bruce, ses belles jambes écartées, reste immobile, fessier ouvert. De notre place, nous pouvons voir son anus qui s’écarquille sous de réelles pulsions. Moussa, attrape les hanches de mon géant et vient s’enfiler en lui comme un avion ravitailleur.
Son sexe est comme aspiré par l’élan très léger qu’il donne à son mouvement. Mais le gland de Moussa, est gonflé au maximum, comme tous les nôtres sous cet effet de perte de gravité. Si personnellement je n’ai pas ressenti la douleur lors de notre premier vol sexuel avec mon chéri, il est à la peine et grogne de souffrance à cette pénétration monstrueuse du colosse black.
Je comprends que mon pauvre chéri, préfère donner que recevoir.
Petite cabriole en arrière de nos deux acteurs, qui voit pour finir un Bruce allongé sur le corps du black de compétition, toujours connecté par son gros sexe qui commence à le pourfendre.
Une position et une figure impossible sur terre, qui permettent à un moussa en lévitation, de pilonner sans problème le boyau du capitaine.
Bruce exulte et pousse des soupirs plein de plaisir. L’énorme pénis est en action dans son intérieur. Habitué à la taille de mon sexe d’ange, il a chaud et transpire de grosses gouttes qui s’envolent. Moussa, pousse maintenant des cris de guerre quand il s’enfonce toujours plus violemment au fond des entrailles de l’homme de ma vie. On le sent à l’orée d’une grosse vidange de ses couilles bien pleines. Elles ballottent toutes gonflées et rebondissent à chaque mouvement.
C’est le jeune soldat qui va finalement jouir en premier. Les cris de Moussa, sont maintenant perçants et répétitifs. Il accélère encore et soudain pousse de grands cris toujours plus aigües :
« Oui capitaine, oui capitaine, Moussa te remplit, moussa se vide en toi ». Le beau mec, hurle de plaisir. Son corps est pris de pulsions et ondule fort dans son partenaire. Quand il se détache de Bruce, son sexe continu à expulser deux ou trois jets encore puissants qui s’envolent. Mais le liquide s’écoule aussi, comme au ralenti de l’anus éclaté du beau Bruce, qui n’a pas encore joui.
Le pauvre capitaine se rétablit dans une position de vol, il expulse toujours des micros gouttes. Le regard plein d’un orgasme inachevé, il se propulse vers moi et m’attrape par derrière. Sans hésiter, il projette son sexe au gland distendu vers mon petit trou, et s’y enfonce tout au fond.
Ses mouvements sont amples, Boris, vient me présenter son sexe tout gluant qu’il me met en bouche. Il me remplit de sa bite jusqu’à la gorge, pendant que Bruce pilonne toujours plus fort.
Son avant-bras me coince le cou. Il me tient le gredin, il veut me remplir rapidement. Son râle augmente et s’amplifie. Moussa, a lui entrepris de sucer le jeune Boris. Chacun est à son propre plaisir.
Mais quel bonheur de sentir en moi mon amant qui accroche soudain ses mains à mes tétons, et tout en serrant de plus en plus fort, il se vide en moi dans de très violents spasmes. Je sens la chaleur de son jus, la puissance de ses jets et ses morsures dans mon cou.
Boris alors en chevalier du ciel, dégage son sexe de la bouche de Moussa. Il m’arrache du sexe de Bruce ancré profond dans mon postérieur, et m’enlève du cercle de ceux qui ont déjà joui.
Les deux mâles comprennent son projet, et abandonnent la scène, pour se servir un petit remontant, restant spectateurs du dernier acte. Ils se prennent dans les bras comme deux amoureux et nous contemplent.
Boris me bloque dans un coin, je suis élevé à un mètre du sol, sur le dos, le sexe en l’air. Mes mains s’accrochent à une rampe de sécurité. Boris, vient au-dessus de moi et se pose le long de mon corps. Il me prend la tête et vient engager sa langue dans ma bouche. Ses bisous sont gourmands et tendres. Ses mains caressent mon visage et mes cheveux. Boris joue parfaitement son rôle d’amoureux. Ses mains, descendent sur mon corps, caresses et agitent mes tétons maltraités par mon Bruce.
La douleur est intense et me fait expulser encore plus de mouille par mon gland violacé.
Il relève mes cuisses et vient s’engager en missionnaire dans ma cavité anale. Mon trou est dilaté de la précédente pénétration. Il est accueillant de tous le jus que m’a offert mon Bruce deux minutes auparavant.
Et Boris, attaque de lents va-et-vient langoureux. Tout en douceur il caresse mon corps en continu. Nous ne faisons plus qu’un. Il me glisse des mots d’amour qui me paraissent dangereusement sincères. Tout son corps est en amour avec le mien. Ses yeux sont faces aux miens et semble implorer des réponses.
Boris accélère, il me rattrape quand je lâche mes mains de la barre. Il me serre fort contre lui et poursuit l’envahissement de mes sphincters. Il est à la tache Boris, il soupirs de plus en plus fort. Accroche ses lèvres aux miennes, et plonge sa langue vers ma gorge. Sa bouche s’appuie encore plus fort, et mon soldat expulse une quantité folle de jus chaud dans mes entrailles.
Je sens son sexe trembler à chaque jet, c’est une inondation de plaisir. Sa main attrape mon sexe, et en quelques mouvement, tout devient orgasme. Mon centre de plaisir se diffuse dans tous mon corps et de longs jets de liquide blanc, s’envolent dans le ciel du bureau.
Nous sommes tous les deux haletants. Boris sans déculer, se penche à nouveau sur moi et reprend ses douces caresses sur mon visage. Je le regarde droit dans les yeux. Je suis dans un état de plénitude rare et lui lance du bout de mes lèvres : « Je t’aime mon pote ».
Boris sourit, et me fait encore un énorme smac avant de se détacher de moi.
La soirée prend fin sur une nouvelle mêlée de caresses et bisous. Chacun se raccroche au sol, et se rhabille.
Bruce et moi, décidons de ne pas rentrer et de dormir l’un contre l’autre dans la petite chambre. Nos deux culs coulent, pleins du doux sérum crémeux de nos invités. Il me prend dans ses bras et me serre fort contre lui. C’était Une belle soirée au clair de nos lunes.
Fabiodimelano
fabiodimelano@gmail.com
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