Ville spatiale

5 | TOUT DROIT VERS LES ETOILES

Chapitre-8

Il est 20h00. Nous sommes en place autour des bâtiments du commandant. Le jeune Charles, recruté par Steve, pour être le nouveau soumis, viens de rentrer dans le palais. Il ne connait pas le sort que lui réserve ses tortionnaires.

Nous lançons notre action 5 minutes après. Les soldats enfoncent les portes et envahissent la salle principale de la résidence du pacha. Je suis encadré comme Bruce, par deux de nos 4 membres des forces spéciales. Boris est avec moi et Moussa avec mon homme.

Lorsque les soldats bloquent la scène du rituel, le déroulé est bien celui que nous avaient décrit Pierre et Sam.

Steve est en toge blanche le fouet en main, prêt à sévir sur un Charles nu allongé et attaché au sol.

Le commandant est lui aussi dans la même tenue. Assis sur un grand fauteuil, le sexe découvert, et une érection, qui semble se dégonfler à la surprise de notre intrusion.

Une dizaine de jeunes soumis nus, dont Sam, sont regroupés par les militaire qui leurs distribuent les fameux slips kangourous blancs que nous avions prévu pour les évacuer en vue de leur interrogatoire.

La perquisition est fructueuse, nous retrouvons des cartons complets de doses d’insuline dans une pièce avec d’autres médicaments. Des produits alimentaires dans une autre. Une salle de torture et de sadomasochisme est mise à jour. Les soldats saisissent les outils de sacrifices utilisés, notamment le fer rouge, preuve du marquage des soumis.

Je m’avance alors vers les deux coupables menottés et m’adresse solennellement à eux :

« Monsieur le commandant John Little et Monsieur Steve Boulard. En tant que commandant par défaut, je vous signifie que vous êtes aux arrêts. Les chefs d’inculpations qui seront retenus contre vous sont entre autres : l’abus d’autorité, violences et actes pédophiles en groupe sur mineurs et majeurs non consentant, actes de cruautés, détournements de biens publiques en vue d’une organisation mafieuse ».

L’ex-commandant s’écrie : « je suis le commandant de ce vaisseau, vous n’avez aucune légitimité pour agir ainsi ».

Je lui réponds que tout ça n’est plus de son ressort. Qu’il sera présenté à un juge et un jury sous deux jours. Ce sont eux qui décideront de leur sort. Ils seront accompagnés d’un avocat commis d’office.

Je demande aux militaires de transférer les prisonniers au centre de rétention situé à cet étage.

Il m’est répondu d’une seule voix un : « oui mon commandant ».

Pendant cette intervention, tout c’est bien déroulé aussi au poste de commandement.

Bruce a signifié au personnel présent, l’ensemble des griefs retenus contre l’actuel commandant, ainsi que la déchéance de son poste et son incarcération.

Par volonté du vice-président de la Force des nations, le président Français Emmanuel Macron, il sera remplacé par un commandement bicéphale et rigoureux. Le capitaine David Regent et lui-même assumeront ces responsabilités.

Le personnel présent applaudit généreusement Bruce. Tous semblent ravi de ce retournement de situation, nous les premiers.

Il n’y aura pas ce jour-là, d’effusions autres, que des cris de joie et d’encouragements.

C’est en véritable héros que nous investissons le somptueux bureau du commandant une heure après.

Laura, Helena et les enfants sont avec nous pour un fêter cette victoire et surtout notre nomination à ce titre suprême.

Boris, Moussa, Pierre notre ange blessé, Sam, et tous les proches de cette affaire sont là aussi. Nous trinquons à un meilleur avenir et nous engageons formellement à humaniser la suite de notre voyage dans l’espace.

Nos épouses nous entrainent à visiter notre nouvelle demeure des étoiles. Boris et Moussa, les nouveaux capitaines et futurs colocataires nous emboitent le pas.

Il faudra refaire la déco de la salle principale et l’emménager en salle de réception et salle à manger pour toute notre grande famille. Les filles souhaitent prévoir un coin détente pour les enfants et un espace dédié aux petites fêtes entre adultes.

L’espace tel qu’il est réparti devrait nous permettre tout ça. Mais le nec plus ultra, est toute la surface que nous pouvons attribuer à nos appartements privatifs. Nous aurons chacun un appartement avec salon et trois grandes chambres.

Boris et Moussa récupèrent l’appartement de Steve composé d’un salon et deux chambres, avec vue panoramique sur un océan de planètes. Ils sont heureux et s’engagent à être des colocataires très agréables.

Je chuchote à l’oreille de Bruce que nous devrions conservé intacte, la salle sadomaso. Il rigole et me dis : « tout ce que tu veux mon commandant ».

Nous retournons tous vers nos appartements et organisons un bon repas festif entre nous.

Au cours du repas nous refaisons le monde. Nous tombons d’accord que notre éloignement de la terre, doit nous donner une pleine autonomie de nos actes.

Bruce s’engage à rédiger une nouvelle constitution pour toutes les colonies présentes.

L’essentiel est d’encourager d’autres valeurs que l’argent et l’appât du gain. Un tournant vers plus d’amour et de partage entre tous, se plait-il à dire.

Les femmes qui travaillent durent, nous abandonnent et vont se coucher ensemble dans l’appartement voisin. Elles nous couvrent de bisous et s’amusent de nos nouvelles fonctions. « Bonne nuit les commandants, bonne nuit les capitaines » crient elles en chœur. « Ne faites pas trop de bruit !», et elles partent en riant se tenant par la main.

La conversation se poursuit au salon avec Boris et Moussa, qui nous apprennent que Pierre est tombé en love de Sam.

J’ai un petit pincement au cœur. Mes hormones sont trop productives et mes coups de cœurs un peu trop systématiques. Mais mon Bruce est là pour me remplis de bonheur.

Le « Noésky » fait son effet. Bruce est en ébullition après cette soirée historique. Il me serre bien fort contre lui face à nos deux amis, qui eux même se serrent très fort.

Boris a passé sa main dans la combinaison de Moussa et lui chauffe les tétons.

Je regarde un peu plus bas et m’aperçois que tout le monde a une trique d’enfer.

Deux verres d’alcool supplémentaires et nous sommes nus. Quatre beaux gaillards qui se regardent le sexe bien relevé.

Il n’en fallait pas moins, pour que nos corps se rassemblent et que les bouches se mêlent.

Boris est certainement le plus chaud de tous. Chaussures magnétiques au pied, il s’agenouille sur le grand canapé, face au mur. Il cambre sa jolie paire de fesses musclées, et nous expose l’intimité de son petit trou. Une vraie cible de fête foraine.

« Tournée générale, venez défoncer le capitaine Boris Macron, c’est un ordre ! ».

Nous nous regardons tous les 3 avec étonnement. Mais après tout c’est un ordre du capitaine.

Je suis le premier à m’avancer. Mon sexe que je tiens d’une main, est super tendu. Le gland revisité par le manque de gravité est comme tout enrhumé. Des perles de mouille, coulent du bout de cette sphère rougeâtre et luisante. Des pulsations incontrôlées, semblent le guider vers la jolie petite rondelle de mon ami.

Je passe mon autre main sur le bout de ma verge et étale consciencieusement le liquide gluant, histoire de ne pas abimé la marchandise et m’élance droit devant.

La poussée est telle que je viens m’enfiler directement à l’entrée de son conduit. La douleur étant moindre dans l’espace, je glisse d’un seul trait tout au fond de son boyau. Habitué au gros sexe de Moussa, mon ami Boris ne bronche pas.

Il accroche ses mains derrière mon fessier et me retiens en lui. Le bogoss capitaine est joueur.

Ma main attrape ses jolies testicules et commence à les serrer fort. Il est obligé de relâcher sa pression, me permettant enfin d’attaquer des mouvements coulissants agressifs dans son intérieur.

Boris me crie de le baiser plus fort. Mes impulsions saccadées et brutales, semblent enfin lui plaire. Mon gland se régale à voyager dans un étui si doux.

Après 5 bonnes minutes de cette bienfaisante folie, je cède la place à Moussa. Il s’approche lui aussi de la magnifique silhouette de son bien aimé. Il s’immobilise pour jouer de quelques coups de langue sur l’anus entrebâillé.

Puis, se relève, et comme moi, vient planter son énorme pieu tenu par sa main, dans les entrailles du jeune Boris.

Ses va-et-vient ne durent que 5 minutes, mais il, parvient à faire crier son amant. Le plaisir semble intense pour Boris, qui de son côté essaye d’anticiper les coups de son homme, et s’enfonce lui-même allègrement sur la tige bien large de Moussa.

Moussa cède alors sa place au plus membré de notre équipé, Mon Héros le commandant Bruce.

Respectant la tradition, il se présente lui aussi sexe en main et pénètre le jeune capitaine sans égard.

Il mène alors une mission palpitante. Son sexe bouge rapidement dans Boris gorgé de plaisir. Sa gorge exulte des cris de bonheur à chaque passage du gros gland sur sa prostate malmenée.

L’anus grand ouvert, semble montrer un trou béant chaque fois que mon géant se retire pour mieux revenir.

Je décide d’agrémenter les règles du jeu, et profitant des facilités que nous apporte l’apesanteur de notre habitacle, je me laisse porté jusqu’à nos deux baiseurs.

J’abaisse prestement ma tête dans la raie de Bruce et ma langue s’accroche à l’entrée de son petit trou. Mon plan est de lui ramollir la chair et de le pénétrer en même temps qu’il est dans Boris.

Ma langue joue quelques instants et laisse un maximum de salive. Je me relève alors et vient pointer mon gland contre l’ouverture. Je m’enfonce en lui, mon sexe toujours bien vaillant et le laisse se caler pour donner le mouvement.

Les murmures sont maintenant de plus en plus fort. Boris et Bruce semblent apprécier l’intrus.

Mais la surprise vient d’ailleurs, Moussa ne voulant pas être en reste, s’avance alors vers nous. Lui aussi prend son sexe à pleine main, et sans préparation non plus, vient m’enfiler de tout son long.

J’encaisse la surprise et surtout le morceau imposant de Moussa. Son gros gland me transperce donnant une grande impulsion du mien à Bruce, qui en donne une encore plus forte à Boris. L’impact, répercute le mouvement final de nos trois queues dans son conduit.

C’est bizarrement Bruce, souvent peine à jouir, mais certainement conquis par l’effet brochette, qui pousse un grand hurlement animal. Je sens son rectum se serrer sur mon sexe. Bruce semble lâcher une dizaine de jets puissants. Le boyau de Boris déborde et un panache de filets blanc, s’élève dans le ciel et vient flotter au-dessus de nos têtes.

Ma main en stoppe une partie. Pas question de perdre le liquide de mon homme. Je lèche un maximum et partage avec Bruce qui tourne sa tête pour me donner sa langue.

Mais la partie n’est pas terminée. Boris se dégage d’un coup rapide du sexe de Bruce, nous contourne et vient directement se jeter sur le rectum de Moussa. La situation est assez délirante. Boris s’enfonce à son tour dans le dernier de la queue, et enfile Moussa au plus profond.

Mon Bruce attend sagement que je me lâche en lui. Ses sphincters resserrés, me poussent à bout. Je mors sa nuque, écrase ses tétons et vide tout mon liquide chaud dans mon amant. Nous restons ainsi, toujours secoué moi aussi, par un Moussa qui tremble et qui hurle à son tour sa joie.

Son gland XXL, panique dans mon intérieur et fait résonner le flot de jets bouillants dont il m’inonde.

Le boblack est lui aussi toujours accroché à la chenille, quand Boris à son tour, envoie les cris de sa jouissance. Fort de s’être fait pénétrer par la force de trois hommes, son orgasme est à la hauteur des coups encaissés. Haletant et visiblement éreinté, Boris s’accroche à Moussa et le bisouille tendrement.

Je m’échappe peu après et viens partager ma langue, tour à tour, avec les trois bouches gloutonnes.

A chaque décrochage de l’autre, des nuées de sperme, s’échappent des postérieurs et envahissent la pièce. Les mains tentent d’en capturer un maximum, que nous lapons et nous partageons tous dans un sacré mélange gourmand. Les langues se mettent alors en quatre, dans un dernier vol intérieur, pour débarrasser tous les petits culs des dernières fuites de sève.

Nous venons de vivre sans aucun doute, un épisode de pure anthologie dans cette conquête de l’univers.

Nos organismes sont encore animés de spasmes délicieux et de quatre cents étoiles dans la tête. Les mains touchent les corps et les sexes dans une profusion d’émotion rare. Nous avons du mal à reprendre notre souffle, mais nos mines réjouis parlent pour nous.