Ainsi que déjà mentionné dans des textes précédents, vers le milieu des années 70, je bossais comme réceptionniste dans un grand hôtel de Cannes. Il s’agissait en fait de mon premier job après être sorti de l’école hôtelière.
Sur le plan sexe, j’étais passif total, j’aimais sucer et encore plus me faire sodomiser et n’étais attiré que par les aventures masculines sans prises de tête ni engagements sentimentaux. J’aimais l’impromptu, les lieux insolites, la pluralité lorsqu’elle se présentait. Bref tout sauf la baise classique dans une chambre et un plumard (bien qu’évidemment cela me soit aussi arrivé.).
A cette époque, Cannes offrait de multiples opportunités de rencontres et, toujours avec la soif d’en faire plus, je les avais toutes essayées ou presque, mais toujours dans des limites géographiques raisonnablement « pédestres » car je n’étais pas motorisé. Lorsque j’eus enfin quelques moyens, l’achat d’une voiture changea considérablement la donne. Mes modestes revenus limitant le choix du véhicule, je devins le propriétaire d’une R5 qui avait, et c’est un euphémisme, connue des jours meilleurs… Quoi qu’il en soit, le rayon d’action relatif que me donna cette guimbarde qui, contre toute attente, se montra très fiable, me permis d’élargir considérablement le champ de mes activités.
Sur l’autoroute entre Canne et Antibes, il existait, et existe toujours, une aire sur laquelle est installée une station service. Sa particularité est qu’elle est en fait composée de deux parkings, séparés l’un de l’autre par une petite colline parsemée de tables et bancs de pique-nique. Sur le premier se trouvait la dite station service et son magasin fourre-tout et l’autre, un peu isolé, ne comportait que des places de parking, en principe réservées aux poids-lourds. Je savais par ouïe dire que dès la nuit tombée, ce lieu devenait particulièrement « chaud » et que les tables de pique-nique de la colline voyaient passer autre chose que les sandwichs « jambon-beurre » habituels de la journée…Son seul défaut était qu’elle n’était accessible que par l’autoroute et quand bien même il existait un accès extérieur pour les piétons, elle était beaucoup trop loin de mon domicile, à Antibes à l’époque.
Enfin « motorisé » je me mis à fréquenter d’une manière régulière cette aire et je dois reconnaitre que je ne fus jamais déçu. A part bien sûr quelques soirées pluvieuses, je fus gratifié à presque chacune de mes visites d’au moins une rencontre et même souvent plus. J’en étais arrivé à connaître « intimement » presque toutes les tables de pique-nique, le plus souvent à plat-ventre, le cul nu, avec une bite s’activant entre mes fesses !
Un soir de printemps donc j’arrivai sur mon lieu de dépravation favori et j’eus la satisfaction de constater que, en plus des poids-lourds habituels, il y avait également un certain nombre de voitures, ce qui était un très bon signe. Après m’être garé, je rejoignis la colline et montait directement à son sommet car, eu égard mes précédentes expériences, j’en avais conclu que c’était la partie la plus active du coin. Au cours de mon « ascension », je croisai des ombres furtives par ci, par là, mais je ne m’arrêtai pas et continuai mon chemin jusqu’au sommet. Le dit sommet se composait d’une petite clairière dans laquelle étaient disposées deux tables de pique-nique entourées de bancs, le tout solidement ancré dans le sol.
A mon arrivée je constatai la présence de quelques types et l’une des tables étaient déjà occupée, un mec blond aux cheveux long était couché sur le dos et ses deux jambes nues étaient dressées contre les épaules d’un autre debout devant lui. Même si à cause de l’obscurité je ne distinguai pas les détails, la vue de leur position ne laissait aucun doute sur les activités dans lesquelles ces deux mecs étaient engagés… Bien évidement, ce spectacle provoqua logiquement en moi l’envie de faire pareil et le plus tôt possible ! J’avais remarqué que, parmi les « spectateurs », il y en avait un qui semblait s’intéresser plus particulièrement à moi. Il ne me restait qu’à le motiver et ce fut rapide… Je défis ceinture et boutonnière et fit glisser pantalon et slip à mi-cuisses, découvrant ainsi mes fesses très blanches par rapport au reste de mon corps déjà assez bien bronzé et me mis à genoux sur un banc de la table libre. Ça ne traina pas et, mon « contemplateur » se mua en « acteur » ! Il se mit derrière moi et je sentis ses mains commencer à me pétrir les fesses puis les écarter pour permettre une exploration plus « approfondie » de ma rosette. De fait, comme je le faisais toujours quand je venais sur cette aire, je m’étais préalablement bien lubrifié afin de ne pas être pris au dépourvu, dans tous les sens du terme… Le reste fut routine, une présence tiède sur ma petite rondelle, deux mains agrippant mes hanches puis une poussée, une seule qui permit à la queue de mon complice de m’investir complètement… J’étais enculé et bien enculé ! Les mouvements commencèrent ensuite, sans brutalité, tout en douceur dirai-je… Mon partenaire inconnu savait y faire, c’était évident. Une fois le rythme établi, je pus libérer ma main droite et entrepris de me masturber. De l’autre côté de la table, deux types s’était rapprochés, avaient sortis leurs bites et se caressaient tout en appréciant visiblement le spectacle. J’aurais bien aime un sucer un mais la largeur de la table me l’interdisait. Notre petite affaire dura encore quelques minutes puis je sentis mon enculeur se crisper et survint la rafale de foutre qui inonda mes intestins… Nous restâmes soudés l’un à l’autre pendant quelques brefs instants puis l’homme se retira en me gratifiant d’une petite tape amicale sur la fesse. Notre « intermède » n’avait duré que quelques minutes et aucun mot n’avait été échangé. Je mis les pieds à terre et après le classique coup de kleenex, j’entrepris de remonter slip et pantalon lorsque l’un des deux « mateurs » s’approchant de moi me souffla :
- Tu veux continuer ? Quelle question ! bien sûr que j’en avais encore envie.
Du coup j’arrêtai de me rhabiller et allais me remettre à genoux sur le banc quand l’homme rajouta :
- Non, pas ici, on a un camion en bas, c’est plus tranquille.
Je n’avais jamais encore été baisé dans un camion et l’expérience était tentante. Je terminai donc de me rhabiller et suivi les deux hommes dans le sentier qui descendait au parking. Arrivé sur place, ils se dirigèrent vers un des camions. L’un d’eux donna un coup de poing sur la portière du conducteur qui s’ouvrit immédiatement. Je pensais que c’était là qu’allait se passer la suite des opérations mais je me trompais. Le premier type me fit signe de le suivre et se dirigea vers l’arrière du semi. Il ouvrit l’une des deux portes et grimpa dans la remorque. Nous fume alors rejoints par l’autre homme accompagné d’un troisième, celui de la cabine certainement. Étant de taille modeste (1m70), j’eus quelques difficultés à grimper dans le semi et je fus en fait soulevé par les deux hommes qui vinrent ensuite nous rejoindre. Un chargement de cartons recouverts par un filet occupait la partie avant de la remorque laissant à l’arrière une surface vide assez importante où, bien évidement les « ébats » allaient se dérouler…
Se produisit alors une espèce de « ballet » qui avait du maintes fois se reproduire tant il semblait bien réglé...
- Celui qui était monté le premier alluma et accrocha à la parois du semi une espèce de lampe à pile diffusant une faible lumière blafarde suffisante toutefois pour éclairer les lieux.
- Le second sorti une pile de couvertures qu’il étala en plusieurs couches sur le plancher.
- Le troisième enfin referma la porte et la verrouilla de l’intérieur.
Tout étant prêt, les « opérations » pouvaient commencer.
L’homme qui m’avait abordé en premier en haut de la colline et qui semblait être le chef ou tout au moins le « porte-parole » du trio me souffla :
- Mets-toi à poil !
Ce fut vite fait car je ne portais qu’un polo, un pantalon léger et un slip. Lorsque je fus nu, je ne pus que constater les regards gourmands que me lancèrent les trois hommes et il y avait peut être de quoi… Mes 1m70, 58kg, mon corps totalement imberbe et bien bronzé à part les fesses, pouvaient effectivement leur donner des idées…
Tout à mes pensées philosophiques, je n’avais pas remarqué que mes trois (futurs) partenaires avaient ouvert leur braguette et en sorti des bites que déjà prenaient de l’ampleur. Il était temps d’agir ! Je me mis à genoux sur la couverture et les trois tiges maintenant à la hauteur de mon visage, je pris en bouche la plus proche et me mis à la sucer avec frénésie. Au bout de quelques instants, je changeai d’objectif et en pris un autre à laquelle je fis subir le même traitement. Puis ce fut le tour de la troisième, puis retour à la première, etc. Cette séance de suce dura encore un peu puis, celui que j’avais qualifié de « chef », vint s’agenouiller derrière moi, écarta un peu mes cuisses puis posa son gland sur ma rosette, m’enfila directement la totalité de sa queue, sans trop prendre de précautions et commença immédiatement à me pistonner. Tout à mon plaisir, je ne remarquai pas qu’un des autres types s’était agenouillé devant moi et lorsque je relevai la tête, je me retrouvai face à une bite bien bandée et je n’eus qu’à ouvrir la bouche pour me mettre à la sucer. Cette double pénétration dura un temps puis je sentis la giclée tiède et abondante me sembla-t-il et mon pourfendeur se retira. Le troisième larron saisit alors une serviette venue de ne je sais où et procéda à un nettoyage sommaire de mes fesses puis, sans autre forme de procès, je sentis sa queue s’insérer dans mon petit trou qui commençait à l’être de moins en moins… Les va et viens reprirent par devant et par derrière mais ma position n’était pas confortable et je commençais sérieusement à fatiguer. Heureusement la jouissance de mon nouvel enculeur arriva assez rapidement et il se retira immédiatement. Puis ce fut le tour de celui que je suçais mais il avait d’autres idées, au lieu de la classique « levrette » dont j’avais jusqu’alors été l’objet, il me demanda de me mettre à plat ventre et d’écarter largement les cuisses. Il se coucha ensuite sur moi et sa bite trouva « naturellement » son chemin. Un fois bien introduit, les aller et retours commencèrent à une cadence confortable. De mon côté, déjà passablement excité par les « sessions » précédentes, le frotti-frotta de ma bite sur la couverture suffit à me faire jouir et j’expédiai quelques gouttes de foutre. Mon partenaire ne tarda pas à me rejoindre et m’inonda de son propre sperme.
Complètement anéanti par les quatre « saillies » que j’avais subies en peu de temps, je restai couché et presque prêt à m’endormir sur place… Un des hommes se pencha vers moi et, tout en me secouant gentiment par l’épaule, me souffla :
- Il faut que tu te rhabilles et que tu t’en ailles, nous devons reprendre la route.
Et il me tendit la serviette. Après avoir sommairement essuyé les traces de foutre qui maculaient mes cuisses, toujours un peu vaseux, je finis par me relever et, après avoir récupéré mes vêtements, je me rhabillai rapidement. Pendant ce temps là, un des hommes avait ouvert la porte arrière et m’aida à descendre. Puis, après un bref « salut », il la referma.
Pas très sûr de mon équilibre je regagnai ma voiture et m’affalai sur le siège. Il me fallu dix bonnes minutes pour retrouver entièrement mes esprits et je finis par regagner mon domicile, un peu au « radar » mais heureusement, il y avait peu de circulation.
Pendant des mois je continuai à fréquenter cette aire, avec toujours ou presque des rencontres mais cette épisode « routiers » qui hélas ne se reproduisit pas, reste un de mes meilleurs souvenirs de cette époque. Baisé quatre fois en tout au plus une heure, ça ne m’était encore jamais arrivé. Depuis, j’ai plusieurs fois largement dépassé ce nombre, mais ce sera d’autres histoires…
Environ un an après cette aventure, je quittai la Côte pour prendre un nouveau job à l’étranger et je ne suis plus retourné dans ce lieu où, pour mon plaisir, j’ai pris bon nombre de queues…
Ludo06
ludovic06@wanadoo.fr
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