Marco et Tomaso sont deux italiens dans la trentaine. Je les rencontre lors d'un séminaire professionnel dans le nord de l'Espagne. Marco est du genre très viril, crâne rasé, belle gueule carrée, corps athlétique, râblé. Tomaso est grand et mince, l'air doux, la peau très mate. En les rencontrant, je fantasme qu'ils pourraient être un couple. Mais je finis par croire à leur version : ils sont collègues et amis d'enfance, inséparables. On se croise toute la semaine et sympathisons en superficie. Un midi au restaurant je glisse dans la conversation que je suis en couple avec un homme. Je détecte que quelques oreilles remuent à cette annonce, notamment celles de Tomaso. Le dernier soir il m’attrape à la sortie du dîner de clôture, passablement arrosé, et m'invite à venir prendre un dernier verre dans leur airbnb. Je les suis, curieux de ce qui va se passer. C'est un petit studio sympa, juste un espace de vie et une mezzanine. Il me semble évident que les deux hommes partagent le même lit. La question n'a pas le temps de franchir mes lèvres : la langue de Tomaso l'a devancée. Les deux italiens me foutent à poil et se foutent à poil. Tomaso et moi sommes du même gabarit, musclés mais longilignes. Lui très brun à peau mate, moi châtain à peau claire. Deux jolis twunks éperdument aimantés par le corps puissant de Marco, gaulé comme un dieu, musclé et charnu, avec partout sur le corps un fin duvet suprêmement excitant. il se laisse négligemment adorer par nous. Nous lui léchons les aisselles, mordillons ses tétons, mêlons nos langues sur son chibre et ses couilles. J'engloutis avec délice son gros gland et me l'enfonce jusqu'à la glotte. Pendant ce temps Tomaso entreprend un léchage d'anus en règle. Je suis jaloux et réclame ma part du festin. A mon tour de déguster le trou du mâle, qui finit par littéralement s'asseoir sur mon visage. La dureté de son périnée m'indique qu'il bande comme un âne. C'est également mon cas. D'autant que les compères s'affairent à m'écarter les cuisses et les fesses et que la bouche de Tomaso dévore à présent mon propre cul. Il y fourre les doigts et y pointe bientôt sa bite. Elle n'est pas très grosse mais me baise délicieusement tandis que je continue à goulument languer le cul de Marco.
Celui-ci se lève soudain et réarrange notre petit groupe en quelques gestes décidés. Me voilà à quatre pattes et à son tour Marco me pénètre. L'enculade est sauvage, puissante. Tomaso l'encourage et me fourre sa belle petite queue dans la bouche pour m'empêcher de gueuler. Puis Marco me fait basculer sur le côté et continue sa saillie en me maintenant la cuisse en l'air. Il me tire la tête vers lui et me roule de grosses pelles. J'aperçois derrière lui Tomaso qui s'affaire et comprends qu'il est en train d'enfiler Marco. Le beau mâle alpha, aux anges, avance et recule, bien m'enculant et bien enculé. Il se retire de moi en jutant partout sur mon trou et mes fesses. Tomaso le rejoint dans l'orgasme, projetant son foutre aux tréfonds du ventre de son ami. Quant à moi je me branle frénétiquement sur leurs corps brûlants et encore enlacés, encouragé par leurs regards gourmands et leurs doigts qui continuent de branler mon cul fécondé. On s'endort en tas tous les trois, dans nos jus et l'odeur forte de la baise. Je me réveille dans la nuit et m'extirpe du lit. Marco et Tomaso dorment paisiblement. Je les trouve magnifiques. Je sors de l'appartement sur la pointe des pieds. Mon train part à six heures.
Carolin
ncarolin@myyahoo.com
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