Premier épisode | Épisode précédent
Chapitre-3
Professeurs à l’université – Chapitre 3
Salut à tous,
Je m’appelle Nicolas Parlet, j’ai 29 ans, je suis professeur à l’université de Lille. Je suis blond aux yeux bleus, de stature normale, un peu poilu. Je suis gay, certes pas ouvertement, mais je ne le cache pas non plus. J’enseigne l’histoire antique. Je suis réputé pour être juste mais sévère, ce qui se reflète dans mes notes.
Un jour, un de mes étudiants, Éric, est venu me voir pour que je l’aide à améliorer sa note. Je lui ai donné un devoir qui allie ma matière et celle de M. Tamboul, Noah, qui est prof mais aussi un bon pote. Lors d’une soirée, j’ai appris qu’il était bi. Un autre jour, j’ai voulu organiser un plan avec un mec sur un tchat. Je l’ai fait venir chez moi et il s’est avéré que c’était Éric, mon étudiant. On a fini par coucher ensemble. Éric s’est révélé être un amant hors-pair. Depuis ce moment-là, Éric et moi avons très souvent couché ensemble. Cependant, l’étudiant a commencé à voir en Noah un rival et il a voulu le rendre jaloux. Mais de mon côté, j’ai accepté de dîner avec mon collègue ... qui m’a finalement dragué et baisé. Et le jour suivant, Éric a capté que Noah me caressait la main.
Le lendemain de cette « imprudence », je travaille à l’université, inquiet. J’ai essayé de voir Éric, mais il n’était pas à mon cours de la matinée. Je lui ai envoyé des messages hier soir mais il ne m’a pas répondu. Par contre, j’ai beaucoup tchaté avec Noah que je découvre sous un autre jour. Noah semble en effet, comme Éric l’avait pressenti, assez amoureux de moi. Il m’envoie maintenant des messages très doux avec à la fin un émoticône avec des baisers en forme de cœur. Et je dois dire que cette situation me plaît. Noah s’est révélé être un excellent amant. Cependant, je m’inquiète beaucoup, car Éric pourrait compromettre ma carrière. Il m’est en fait interdit de coucher avec mes étudiants. Le jeune avait l’air vraiment furieux quand il a vu que Noah me caressait la main. De plus, le fait qu’il ne réponde pas à mes messages ne laisse rien présager de bon.
C’est pour ça que je passe toute la journée avec une boule au ventre. Je vais dans mon bureau après mon dernier cours. Malheureusement. Éric ne se pointe pas. J’avais espéré qu’il fasse comme très souvent : quand j’arrivais, il entrait dans mon bureau et il voulait me baiser. Mais aujourd’hui... rien. Par contre, c’est Noah qui se pointe. Je suis content de le voir, il s’approche de moi et il me dépose un bisou sur la bouche. Comment résister à mon magnifique collègue qui me sourit de toutes ses dents ? Je le vois vraiment sous un autre jour. En fait, il est vraiment beau gosse. On parle un petit moment avant qu’il se rende à son prochain cours. Moi, je quitte la fac et je rentre chez moi. Durant la soirée, je tchate beaucoup avec Noah. Mais pas de nouvelles de mon étudiant renoi.
Le lendemain, j’entre à 10h dans l’amphithéâtre. Éric arrive 10 minutes après le début du cours. Il est accompagné d’un autre étudiant. Pendant le cours, je l’observe. Éric n’est pas du tout attentif, il ricane avec son ami. Les deux parlent ensemble, à voix basse, ce qui m’énerve un peu. Puis 10 minutes avant la fin du cours, ils s’éclipsent tous les 2. Ça me met d’encore plus mauvaise humeur. Je trouve l’attitude de ces étudiants très irrespectueuse.
Une fois que j’ai fini mon cours, je remballe mes affaires et je me casse immédiatement dans mon bureau. 5 minutes plus tard, je vois un message d’Éric. Il me dit : « Désolé. Viens vite dans les toilettes du troisième étage. » Un peu désemparé, je me rends dans les toilettes. J’ouvre la porte et j’entre discrètement. Soudain, j’entends des gémissements. Je m’approche à pas de velours et je découvre Éric, torse nu, en train de se faire sucer par l’étudiant qui était avec lui dans l’amphi. L’étudiant à genoux me tourne le dos. Et je vois Éric qui ferme les yeux et qui se laisse sucer avec un plaisir évident. Je suis dégoûté et j’ai envie de partir. Mais j’aime bien le voyeurisme, et finalement, je reste. Je vois alors Éric placer sa main derrière la tête de l’autre étudiant. Il lui impose un rythme un peu plus rapide. Éric est un renoi de 23 ans. Il est de taille moyenne. Sa peau est foncée. Il a le crâne rasé et il porte le bouc. Il a aussi des boucles d’oreilles. Il a un petit nez et de grosses lèvres. Il ressemble vraiment à un taureau : il a de larges épaules, de gros bras et des pecs ronds et musclés. Il a un petit ventre un peu rebondi et dur, un mélange de muscles et de graisse. Il a un piercing à chaque téton et un tatouage sur le pec droit. Son corps est imberbe et son pubis est rasé. Sa queue est épaisse et longue : elle fait 22 cm. Il a aussi de grosses couilles de taureau, aussi rasées.
L’étudiant, dont je ne connais pas le nom, encaisse bien les 22 cm d’Éric. Finalement, Éric maintient de sa main la tête du passif, il se met à donner des coups de reins, envoyant sa queue bien au fond de la gorge du petit minet. Ensuite, il se penche sur lui et il lui roule une pelle. Il se redresse, il lui crache à la gueule, puis il lui redonne sa queue. L’étudiant suce la grosse teub avec plaisir. Au bout quelques minutes, Éric enlève les vêtements de son nouvel ami qui se retrouve nu. Le minet doit avoir la vingtaine. Il a des cheveux blonds et courts, un visage ovale et lisse. Il a un corps très mince, imberbe, musclé sec, avec de magnifiques abdos. Il a de petites couilles marron et une teub de 16 cm, fine.
Éric soupire. Il fait redresser son ami, il se met à genoux, il prend sa bite en bouche et il se met à le sucer. Il fait de rapides allers-retours, il donne de bons coups de langue sur le gland. Puis, les deux se relèvent et le passif saisit les deux teubs qu’il se met à branler. Moi, je suis caché derrière le mur à côté des lavabos et j’épie cette scène. J’ai une belle érection. Je me mets à me branler devant ce spectacle.
Éric plaque finalement son amant contre le mur. Il se met à genoux et il lui bouffe le cul. Le passif gémit assez fort, même s’il essaie de retenir ses cris. Finalement, le renoi se redresse, il enfonce lentement dans le trou sa bite que je vois y disparaître. Il pose ses mains sur les hanches du mec, il se met à donner de petits coups tout en enfonçant petit à petit sa queue toujours plus profondément. Finalement, sa bite se retrouve complètement dans l’anus du mec. Je vois la teub molle du passif qui pendouille entre ses jambes. Et je vois les 22 cm du renoi qui commencent à entrer et sortir du petit trou, l’élargissant à fond.
Au bout de quelques minutes, Éric sort du cul et il saisit le bras du passif. Il le fait mettre à genoux et il lui donne ses couilles à lécher pendant qu’il se branle au-dessus du visage du mec. Puis, il le fait se redresser. Il lui fait faire mettre sa jambe sur un des pissoirs. J’ai une belle vue sur le trou béant dans lequel la queue noire disparaît de nouveau. Éric se met a donné de petit coup de reins. Puis, il sort sa queue, il se retourne dans ma direction et il me regarde droit dans les yeux. Il renfonce sa teub dans le trou. Il se met à pilonner le mec, ses grosses couilles claquant contre les cuisses du passif. Sa queue entre ressort avant de re-disparaitre dans le petit trou bien distendu du mec. Moi, je continue de me branler, me rendant tout de même compte de la situation désagréable dans laquelle je me trouve. Mais je suis tellement chaud. Éric répète plusieurs fois cette opération : il fait ressortir sa queue du trou, il me regarde et il l’y fait disparaître de nouveau. Maintenant, il pilonne le passif, tellement fort que sa queue entre et sort hyper rapidement. Je vois ses grosses couilles fouettez les fesses du blond, rebondissant dessus bruyamment. Le passif se branle tout en criant son plaisir. Éric, lui, saisit les épaules et il le défonce encore plus fort. C’en est trop pour le passif qui jouit 4 gros jets contre le mur. Les giclées sont puissantes, elles fouettent le mur bruyamment, d’où elles dégoulinent par la suite, tombant en crépitant sur le sol.
Éric se défoule toujours dans le cul et finalement, il sort sa queue et je vois alors 3 gros jets jaillir contre le petit trou. Il me regarde tout en éjaculant. Puis, il enfonce sa bite dans l’anus et il continue de juter, ensemençant le petit passif. Il tasse son jus avant de ressortir en tombant sur le sol : c’est alors comme si les jets d’une fontaine jaillissaient hors du trou béant de l’étudiant. La queue du renoi se ramollit et le passif se précipite dessus pour la nettoyer. À mon tour, je jute contre le mur blanc. 3 petits jets en sortent. Je remballe très vite mon matos, la queue encore pleine de sperme, et je dégage tandis que j’entends les deux étudiants se rhabiller. Je vais m’enfermer dans mon bureau et je repense à tout ça. Puis, je finis par sortir. J’aurais des copies à corriger, mais j’en ai tellement marre que je rentre chez moi. Je dois avouer que le comportement d’Éric me déçoit un peu, cependant je peux le comprendre, car j’ai fait un petit peu la même chose avec lui. Noah m’envoie des messages, durant quelques heures, auxquels je réponds. Finalement, je me dis que je n’ai rien à perdre et je lui propose de passer me voir durant la soirée, ce qu’il accepte.
Peu avant que Noah arrive, je reçois un message d’Éric. C’est une photo, je l’ouvre et je découvre sa teub que je connais si bien, dans un autre trou, cette fois poilu, d’un mec. Je crois même reconnaître les toilettes de la fac. J’efface vite la photo et je me replonge dans mes pensées. Noah sonne vers 20h, je lui ouvre, tout excité. Il se précipite sur moi, il m’embrasse. On se commande des pizzas et on regarde en attendant une série qu’on suit tous les deux. Je reçois plusieurs messages. J’ouvre le premier et je vois de nouveau Éric ou plutôt sa bite qui est en train de défoncer un nouveau mec, un petit rebeu je pense. Son attitude me rebute. Je laisse mon téléphone de côté et je me blottis dans les bras de Noah. Les pizzas arrivent, on mange devant la télé.
Après le repas, on continue de suivre la série. Mais finalement petit à petit, nos baisers deviennent de plus en plus torrides. Et finalement, nous retrouvons à poil. Noah est grand (1,85m), brun, il a les cheveux décolorés en blond. Il a des yeux noirs. Il est métis (antillais et français). Il est musclé, très peu poilu sur le haut du corps. Par contre, il est assez poilu sur les fesses, les jambes et sur le pubis. Il a des tatouages sur la main et les bras. Il a une bite de 24 cm, assez large et courbée vers le haut, un gland normal et de grosses couilles velues.
Je suis toujours autant impressionné par son morceau. Je me place entre ces jambes, je pose mes mains sur chacune de ses cuisses, je me mets à lui lécher la teub et je descends la moitié de son morceau dans ma bouche tout en jouant avec ma langue et son gland. Puis, ma langue descend pour se mettre à lécher ses couilles. Mais très vite, je reprends son morceau en bouche. Je m’occupe seulement de son gland. Il me regarde avec tes yeux doux tout en se mordant les lèvres. J’essaie d’enfoncer sa bite entièrement dans ma bouche. Ma mâchoire craque, elle se fait bien ouvrir par son gros morceau. Je le suce tout tentant d’avaler entièrement son anaconda, mais c’est peine perdue, il est trop gros.
Au bout d’un moment, il me fait me redresser. Il m’attire vers lui, il m’embrasse, il me caresse le corps. Ses lèvres descendent dans mon cou, il me mordille les oreilles, puis il passe à mon torse. Il descend vers ma queue lentement et il se met à la lécher puis à l’avaler. Il me suce comme un dieu. Je dois le stopper plusieurs fois, car sinon je jouirai trop vite, ce que je ne veux pas.
Pendant une demi-heure, on se suce, on se lèche, on s’embrasse, on se mordille les tétons. On forme vraiment une symbiose parfaite. Finalement, je prends Noah contre moi et nous dirigeons vers ma chambre. Il me fait alors mettre à 4 pattes sur le lit. Il commence à bouffer mon cul. Il m’ouvre merveilleusement. Il me lèche à merveille. Il me lubrifie bien. Mais je lui tends quand même une bouteille de lubrifiant. Il me doigte en utilisant le gel, puis il en enduit sa teub avant de s’enfoncer lentement en moi. Une fois la moitié de sa queue entrée en moi, il se met à faire des va-et-vient. Je repense alors à Éric qui a fait la même chose cet après-midi avec l’étudiant. Mais très vite, mon trou avale les 24 cm et Noah se met à faire des va-et-vient réguliers le long de sa bite. Il a une main posée sur mes fesses qu’il caresse et il admire sa teub entrer et sortir de mon petit trou. Sa queue me fait vraiment du bien, je gémis fort. Je chasse Éric de mes pensées pour profiter pleinement de la teub de mon collègue :
- Putain, Noah, c’est trop bon !
Au bout de 5 Min, il se met à accélérer le mouvement. Mes gémissements augmentent en intensité. La cadence est de plus en plus brusque. Il fait toujours entrer et sortir entièrement sa queue dans mon trou. Je gueule fort.
- Oui, vas-y, défonce-moi ! Donne tout ce que t’as !
Noah ne se fait pas prier et il me martèle à fond. Je gueule mon plaisir. Ses cuisses tapent bruyamment contre mes fesses et ses couilles me fouettent le périnée. Au bout de 10 minutes, finalement, il me fait mettre sur le dos, le cul au bord du lit. Il reste debout et il enfonce son morceau entièrement en moi. Il me baise à fond. Je l’observe dans le miroir. J’ai une magnifique vue de sa queue énorme qui rentre dans mon trou. C’est vraiment impressionnant de voir un tel tronc d’arbres le défoncer.
- Putain ! C’est trop bon ! Continue !
Ensuite, il se couche sur le lit et je m’empale sur sa bite. Très vite, il place mon cul dans les airs et c’est lui qui se met à mener la cadence. Il me fait monter et descendre sa teub, ses couilles claquent contre mes fesses. Puis finalement, il me fait remettre sur le dos et lui, toujours debout, me pilonner à fond. Il ne marque aucune pause. Il prend son pied, je le vois. Ses coups de reins sont de moins en moins amples, mais il est toujours aussi rapide. Son gland maltraite la prostate. Je gémis fort, poussant un cri à chaque fois que son gland atterrit au fond de mon anus.
Et finalement, dans un ultime coup de rein, il envoie son sperme au fond de mes entrailles.
- Vas-y, oui, remplis-moi !
Je gueule mon plaisir quand je sens 11 jets sont puissants et abondants me remplir. Noah reste un peu en moi, m’embrassant, puis sa queue se ramollit. Il sort de mon trou et un peu de sperme dégouline de mes entrailles, il saisit ma teub et il la branle. Je mets 5 minutes avant de jouir, tout ça sous ses caresses. Je jute 3 jets qui tombent sur mon ventre. Normal, je me suis déjà branlé ce matin dans les toilettes en matant Éric baiser l’autre étudiant. Je sens pendant mon orgasme son jus dégouliner hors de mes entrailles.
Épuisé, on se retrouve dans les bras l’un de l’autre, l’autre sur mon lit. Je lui propose :
- Tu veux dormir ici ?
Noah accepte avec plaisir. On reste un long moment à parler, à se caresser nu dans mon lit. Puis, avant d’aller dormir, je vais regarder mon téléphone. Je vois 3 messages. Ils sont d’Éric. Apparemment. Il a défoncé 3 autres mecs durant la soirée. Il m’a envoyé des vidéos et des photos de ces 22 cm qui se font sucer ou qui défoncent un petit trou. Je me doute qu’il essaie de me rendre jaloux, mais en fait, je suis plutôt dégoûté par sa réaction. Et malgré son comportement gamin, je ne peux pas lui en vouloir. J’ai fait la même chose avec Noah. Cependant, Éric et moi ne sommes pas mariés. Nous avons pris juste du plaisir ensemble. Mais je me doute qu’il ressent autre chose pour moi. Moi, je ne ressens que du désir pour ce jeune renoi. Finalement, je retourne dans les bras de Noah, car, fond de mon cœur, je le sais, c’est lui que j’ai choisi : c’est lui qui fait naître des papillons dans mon ventre.
A suivre...
Merci à Noah pour ses idées.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
Autres histoires de l'auteur :
