Aujourd’hui, je rentre du boulot. J’arrive chez moi en voiture, je me gare et c’est là que je le vois... Il travaille dans le jardin du voisin, devant sa maison. J’éteins le moteur et je me mets à mater le mec. Il doit avoir la quarantaine. Il a les cheveux rasés et une barbe noire. Il a des yeux perçants. Il a l’air d’être bien musclé, à en juger par son corps qui moule son t-shirt serré. Putain de beau gosse ! Et là, il se penche, j’ai une belle vue sur son cul qui forme deux pêches bien fermes. Il saisit un taille-haie et il commence à tailler les haies de mon voisin qui avaient bien besoin d’une coupe !
Je sors finalement de la voiture et je remarque du coin de l’œil que le beau jardinier est en train de suer. Pas étonnant sous ce soleil de plomb ! Je rentre dans ma maison et je m’assois sur le canapé, un café à la main et je continue de mater le mec. A peine 10 minutes plus tard, il arrête de son travail, il pose son outil, il se passe le bras sur son front couvert de sueur... et il retire son t-shirt. Quelle magnifique vision : il est en effet très musclé. Il a de larges épaules, des pectoraux bombés, des biceps de malade et des abdos bien dessinés. Son corps est recouvert d’un fin duvet de poils noirs : son torse ainsi que le milieu de son ventre.
Il reprend la taille de la haie, puis il sonne à la porte de mon voisin. Il part finalement. Déçu de n’avoir pas pu me rincer l’œil plus longtemps, je décide de préparer le diner.
Le lendemain, je rentre du boulot et le jardinier est toujours occuper chez mon voisin. Je vais me prendre un café et je m’assois sur la terrasse devant ma maison, qui me permet d’admirer le beau gosse en train de travailler. Je le mate pendant qu’il finit de tailler les derniers mètres de haie.
Finalement, je me lève et je l’apostrophe :
- Excusez-moi ?
- Oui ?
- Bonjour... Je voulais savoir si vous pourriez tailler aussi mes haies.
Le jardinier réfléchit un instant, puis il répond :
- Demain après-midi ? Le matin, je vais être occupé avec la tonte de cette propriété.
- Parfait.
Je compte bien poser quelques heures de RTT (je donnerai une excuse bidon à mon chef) pour pouvoir admirer cet étalon s’affairer dans mon jardin.
Le lendemain, je suis là à 13h pile. Je mange un morceau. J’ai à peine fini qu’on sonne à la porte. Mon magnifique jardinier se tient devant moi, torse nu, son taille-haie à la main.
- Je commence quand vous voulez.
- Allez-y, pas problème.
J’observe alors avec attention le mec, qui est vraiment bien foutu. Mes yeux tombent sur son entre-jambe. Son pantalon est déformé par une grosse bosse qui me laisse rêveur. Et à un moment, il rement son paquet en place. Il agrippe une boule volumineuse qui prend bien de la place dans sa main. Je remarque alors le contour de sa bite... qui, en fait, pend dans son pantalon large, le long de sa jambe ! Je regarde alors attentivement son entre-jambe. Sa bite semble en effet bouger au rythme de ses mouvements. C’est comme s’il avait un gros serpent dans son pantalon. Je secoue la tête. Non... Je ne rêve pas ! Ce n’est pas une illusion. Le mec semble avoir un gros morceau qui pend dans son pantalon et qui bouge... comme s’il ne portait pas de sous-vêtement !
Je dois retirer mon regard, de peur de bander... Puis, je me rends dans ma chambre. Je le vois passer devant ma fenêtre… et j’essaie alors un jock-strap. Je me regarde dans le miroir et je dois avouer que je suis en chaleur. J’allume un porno et je me mets à me branler. Puis, je prends un gode et je le fous dans mon cul. Je sens alors le regard du jardinier sur moi. J’ai bien fait exprès de laisser les rideaux grands ouverts. Je le vois du coin de l’œil et je continue. Je me gode et je me branle. Je sens le regard brûlant du mec sur ma peau. Je souris et je jouis 4 gros jets qui giclent dans les airs. Quand je me redresse et que je retire le gode de mon cul, je vois son ombre disparaitre.
Une heure plus tard, je vais le voir et il me dit qu’il reviendra le lendemain.
- Un samedi ?
- Oui, si vous voulez. J’ai rien d’autre de prévu. Et la semaine prochaine, mon carnet est déjà plein.
- D’accord.
Il arrive le lendemain vers midi. Il se met immédiatement au boulot. Je ne cesse de l’admirer, bien entendu. Deux heures plus tard, le jardinier pose son taille-haie et il fait une pause. Je lui demande alors :
- Vous voulez un soda ? Une bière ?
- Une bière, avec plaisir.
Je le fais rentrer chez moi, pour profiter de la clim. Il pousse un soupir de contentement quand il sent l’air frais sur sa peau. Je lui tends une bouteille et on s’assoit.
- Il fait chaud dehors...
- Oui... J’espère que je ne vais pas salir avec la sueur qui coule, répond-il en rigolant.
- Vous inquiétez pas. Je suis désolé de vous faire travailler sous ce soleil...
- Je suis habitué... et ça me fait faire de l’exercice, pas besoin d’aller à la salle comme ça !
Putain ! Il me tend une perche que je ne peux pas rater.
- Vous ne pouvez pas avoir un corps comme ça sans aller à la salle de muscu !
- J’y vais une fois par semaine. Mais sinon, c’est ce boulot qui me rend musclé.
- Putain !
- Quoi ?
- Non, c’est impressionnant. Vous avez vraiment de beaux muscles !
Il se met à fléchir son biceps ce qui fait une grosse bosse. On devine les muscles qui roulent sous la peau. Le jardinier repose son bras en rigolant.
- Oui, ça fait son petit effet. Surtout sur les meufs !
- Tant que ça ?
- Oh oui ! Depuis que je suis en âge de baiser, je me tape beaucoup de meufs. Et des canons, hein ?
- Quelle chance !
- Quoi ?
- Non, je veux dire, vous avez de la chance d’avoir du succès.
- Oui, mais c’est pas toujours facile... dès qu’on arrive au lit...
- Oui ? Quoi ?
- Non rien.
Le jardinier se tait, gêné.
- Ben, allez, dites-moi.
- Non, tout va bien.
- Vous en avez soit trop dit, soit pas assez !
- Hum...
- Elles ont peur de s’engager ?
- Non... Dès qu’elles voient ma bite, elles ont peur. Elles ne veulent pas se faire pénétrer. Et sucer, je t’en parle même pas.
On est passé au tutoiement... mais ce qui me sidère le plus, c’est sa franchise. Il me révèle ça alors qu’on ne se connait pas !
- Elle est si grosse que ça ?, demandé-je.
- Tu l’as vue, il me semble, dit le jardinier en ricanant, quand je me la remettais en place tout à l’heure.
- Je n’ai vu qu’une ombre... mais oui, elle semblait conséquente !, dis-je sans me laisser me décontenancer.
Donc, il m’a bien pris en flag en train de la mater.
- Voilà. Elles ont peur que je leur fasse mal. Et je te parle même pas du cul... Elles veulent pas se laisser enculer ! Au début, j’aimais bien quand on s’occuper de ma bite. Elles me léchaient, elles me tétaient le gland... Puis, elles me branlaient et je giclais. Ça m’allait. Mais depuis longtemps, ça ne me suffit plus. Ça, me branler, je peux le faire chez moi, devant des histoires érotiques. Très peu arrivent à encaisser mon morceau ! Je me suis déjà fait draguer par des homos...
- Ah oui, dis-je, essayant de cacher mon excitation. Et ?
- Au début, j’ai refusé. Mais un soir, dans un bar, j’avais bien bu et un mec est venu m’aborder dans le métro. J’ai trouvé ça osé… mais ça m’a excité, d’une certaine façon, de voir comme il me tournait autour. Et j’accepté qu’il me suce… Il s’est mis entre mes jambes et il a sorti mon python. Heureusement qu’il y avait personne ! Putain ! C’était incroyable. Il m’a sucé comme un dieu ! Et il a réussi à prendre les trois quarts de ma queue dans son gosier ! J’hallucinais ! Jamais une meuf n’avait pu réaliser cet exploit ! Et quand il m’a dit : « J’ai envie que tu m’encules ! », j’ai pas hésité, je l’ai plaqué contre la paroi en métal du wagon, j’ai défait son pantalon qui est tombé sur ses genoux. J’étais tellement excité que j’ai enfoncé ma bite dans son cul. Au départ, je pensais pas qu’elle allait rentrer. Mais au bout de quelques va-et-vient, ma teub s’est encore plus enfoncée dans son cul… et j’ai donné un grand coup : j’avais ma bite au fond de sa chatte ! Il a hurlé ! J’ai arrêté… attendu… avant de faire de légers va-et-vient. La salope gémissait fort. Je me suis pas posé de questions et je l’ai pilonné à fond jusqu’à ce que je me vide en lui ! Et depuis ce jour-là, quand j’ai trop de pression dans les couilles, je baise des homos. J’ai jamais été déçu. Ils encaissent trop bien !
Je reste sans bouger. Je suis grave excité par son récit… Le mec me fait envie. Je suis curieux de déballer son morceau… et d’en voir la taille. Je bande comme un fou…Je finis par lui demander :
- Vous avez chaud non ? Vous voulez peut-être prendre une douche ?
- Oui, avec plaisir, dit-il en me regardant d’un air mystérieux.
Je lui montre le chemin de la salle de bains. Sans complexe, il se déshabille devant moi tandis que je lui sors une serviette. Je reste sans voix devant ce beau mec, et surtout devant sa queue qui est énorme, même au repos. Elle ressemble à une trompe d’éléphant flasque. Elle semble être lourde.
Je lui tends une serviette. On se retrouve près l’un de l’autre, nos doigts se frôlent… mais il ne se passe rien. Il me remercie d’un hochement de tête et il entre dans la cabine de douche.
- Ça va, me demande-t-il
- Oui.
- Mais quoi ?
- Rien … vous êtes tout simplement magnifique.
- Tu parles de moi … ou de ma bite…
- Des deux…, dis-je tout en soutenant son regard.
Je vois que sa teub se balance d’avant en arrière tandis qu’il allume l’eau. Puis, il se met à se savonner. Je dirais bien que son morceau fait 16 cm au repos. Quand il se lave l’entre-jambe, sa trompe molle se balance d’avant en arrière. Il la lave puis il la fait retomber et elle pendouille de facon flasque sous ses couilles. Son pubis est très velu : des poils noirs et frisés, longs. Il a des cuisses puissantes et poilues.
Je repasse sa main sur son morceau. Il le nettoie… Il insiste bien.
- Je suis sûr que t’as envie de la voir bander !
- Pourquoi pas.
Le jardinier sourit. Il reprend :
- Viens alors m’aider…
- Vous êtes sûr ?
- Allez, fais vite avant que je change d’avis.
Je veux m’approcher mais il m’arrête :
- Tu vas venir habiller dans la douche ?
Je me déshabille alors et je me retrouve devant lui. Il s’exclame :
- Mais t’es pas mal non plus.
- Je vous remercie…
Moi, j’ai 38 ans, je suis blond aux yeux bleus, monté 17 cm, à la corpulence normale. Je suis un peu poilu, surtout au niveau du sexe.
Il se laisse faire quand je passe ma main sur sa bite. Elle est lourde et molle. Il écarte les jambes et je passe à ses grosses boules que je soupèse. Puis, je remonte vers sa queue que je saisis et que je me mets à faire coulisser. Très vite, son morceau prend du volume, durcit… et il se déploie. Putain, quel anaconda ! Il a une énorme bite, marron, de bien 28 cm, hyper épaisse. Elle est un peu recourbée vers le bas. Il a d’énormes couilles velues, aussi grosses que des kiwis, bien pendantes, bien lourdes.
Je m’occupe de sa massue et de ses boules. Je caresse et malaxe son intimité. Puis, je remonte vers son ventre que je caresse. Ensuite, je me mets à toucher ses bras et ses pecs musclés. Pendant ce temps, le jardinier commence à me masser les fesses. Ses doigts vont se perdre dans ma raie et ils me frôlent l’anus. Je reprends la parole :
- Tu sais, je t’ai vu me mater hier quand je me godais.
- Putain ! J’aurais dû m’en douter !
- Tu veux savoir ce que j’ai imaginé ?
- Oui…
- Alors… j’étais en jock-strap dans ma chambre. Je te regardais, la fenêtre grande ouverte alors que tu étais en train de tailler mes haies, torse nu. Je suis venu te servir un rafraichissement, seulement vêtu de ce bout de tissu. Je t’ai donné ta boisson et je suis retourné dans ma chambre. Tu as regardé mon cul vaciller... et finalement tu m’as suivi. J’étais penché sur mon ordi, le cul bien en évidence. Tu t’es mis à bander, tu t’es approché de moi et tu as frotté ta bite tendue, encore enfermée dans ton pantalon, dans ma raie, tandis que je cambrais bien mon cul. Quand j’ai senti ton morceau, je me suis mis à faite des aller-retours dessus. Je t’ai demandé si tu aimais ça. Tu as répondu que oui. Tu m’as laissé faire quelques minutes, puis tu as commencé à me malaxer le cul. Finalement, tu as sorti ta grosse teub et tu m’as baisé, sans capote, pendant bien 5 minutes jusqu’à ce que tu te vides en moi. Ensuite, tu es reparti, sans un mot...
- Trop fort… Dis-moi… c’est quoi ton petit nom ?
- Nico et toi ?
- Jérémie… Nico… remets ton jock-strap.
- D’accord.
Je sors le bout de tissu d’un tiroir et je l’enfile. Jérémie sort alors de la douche et il se met à me malaxer les fesses.
Finalement, il me dit :
- Suce-moi !
Je me mets alors à genoux et je m’approche de sa queue raide. Je la tiens en main et je l’admire.
- Putain ! Quel morceau !
J’enfonce le gland dans ma bouche. Je le titille avec ma langue, puis je descends sur son anaconda. Je prends la moitié dans ma bouche et je me mets à faire de lents allers-retours, tout en branlant le reste de sa teub. Quand il commence à me caresser la tête, je prends ses grosses burnes en main et je les masse... ce qui le fait gémir fort.
Finalement, il m’entraine dans ma chambre et il me fait mettre à quatre pattes sur le lit. Il se pose, à genoux, derrière moi et il se met à mordiller mes fesses. Puis, sa langue passe dans ma raie et elle titille ma rosette. Il prend mes deux miches en main et il enfonce sa langue dans mon anus... dans lequel elle tourne.
Il se redresse au bout de quelques secondes et il badigeonne sa queue du lubrifiant que je lui tends. Il me travaille le trou, avant d’enfoncer sa queue lentement dans mon anus, sans capote. Je sens sa massue forer mes entrailles, m’écarter les sphincters. Elle descend petit à petit, centimètre par centimètre. Parfois, il ressort et il se renfonce en moi. Je gémis fort quand je sens enfin ses grosses couilles contre mon périnée. Il entame alors de petits allers-retours. Je crie fort sous l’effet de cette énorme bite.
Il pose ses mains sur mes hanches et cette fois, il augmente la cadence. J’en ai le souffle coupé. Son tronc d’arbre me perfore le cul, me ramone de long en large, me massacre la prostate. Il se penche au-dessus de moi et il se met à me mordiller l’oreille tout en me baisant. Il grimpe au-dessus de mon lit et il se met à me ramoner, à me défoncer le cul avec sa queue qui me fait l’effet d’un énorme piston. Quelle sensation démente ! Je me fais secouer comme un prunier. Je cambre bien le cul. Puis, il s’affale sur moi et je me retrouve à plat ventre. Il colle son corps musclé contre mon dos, ses bras m’enlacent et il se met à donner de petits coups de reins, tout en m’embrassant dans le cou.
Au bout de quelques minutes, il me fait mettre sur le dos, le cul au bord du lit, et il se renfonce en moi, debout. J’admire dans le miroir son énorme gourdin qui va et vient dans mon trou, le déformant comme jamais. Il fait entièrement sortir sa queue avant de la faire re-rentrer dans mon anus. C’est impressionnant de voir ça... de voir comment il doit partir en arrière. Il y va doucement avant d’accélérer le rythme. Ses couilles tapent doucement, au début, contre mes fesses, avant de me les fouetter bruyamment. Ensuite, il sort lentement, comme s’il prenait de l’élan, pour replonger brusquement en moi. Je crie fort mon plaisir. A un moment, il ressort, il me bouffe de nouveau le cul avant de monter sur le lit aussi et de replonger sa teub en moi.
Il se met à faire des abdos dans mon cul tout en me regardant droit dans les yeux.
- T’encaisses trop bien, toi !
Je me mords simplement les lèvres, sans répondre. Mes mains passent sur son magnifique corps. Il accélère le rythme, me défonçant bien. Sa queue entre et sort rapidement, je me fais défoncer tel un marteau-piqueur. Ma prostate se fait aussi bien pilonner. Il donne maintenant libre court à ses pulsions, il me démonte comme jamais. Moi, je crie mon bonheur.
Finalement, il éjacule. Je sens sa bite et surtout son gland prendre du volume et il m’injecte sa semence directement au fond des entrailles. 4 gros jets puissants me mitraillent le cul. Il jute 3 autres giclées, peu puissantes, qui s’échappent abondamment de sa teub. Je me sens bien rempli. Jérémie reste quelques secondes sans bouger, savourant son orgasme.
Il sort de mon trou, un torrent de sperme en sort et dégouline par terre. Il joue avec son gland sur mon anus qu’il titille, et il se renfonce, faisant tomber plus de sperme sur le sol. Il recommence à me baiser. Il saisit ma bite et il la branle à fond pendant que son jus sort de façon ininterrompue de mon anus. J’éjacule dans un grand cri. Ce sont 8 jets qui viennent tapisser mon ventre et mon torse. J’ai rarement ressenti un orgasme aussi intense !
Jérémie tasse son jus jusqu’à ce que sa teub se ramollisse. Il me la donne à lécher... et je me régale de son nectar. Je me relève et je remarque une mare de sperme sous mes fesses. Je tâte mon trou : il est béant, grand ouvert. Il se pose à côté de moi et il reprend son souffle. Je lui propose une autre bière, ce qu’il accepte. Il finit par se remettre au travail. Quand il a fini, je lui offre une autre bière... et lui m’offre sa queue... que je suce jusqu’à ce qu’il me jute en bouche. Mon jardinier repart finalement ... me promettant d repasser très vite ! J’ai hâte !
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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