Salut,
Moi, je m’appelle William. J’ai 25 ans, je suis étudiant en médecine et je vis dans un petit appart du centre-ville de Lyon avec mon colloc. Il a 22 ans, il s’appelle Samuel- Il faut savoir qu’on s’entend bien. On parle de la fac, vu que Sam est aussi étudiant en médecine. Mais on sort aussi ensemble, on fait la fête, on fréquente le même groupe d’amis. Ce qu’il ne sait pas, c’est que je fantasme par moments sur lui ! Son corps musclé m’a toujours fait envie et j’ai souvent essayé de voir son morceau, sans succès.
Sam avait une petite amie, qui ne vivait pas sur Lyon. Elle fait ses études à Clermont-Ferrand. Il va souvent la voir le week-end, ce qui me rend souvent un peu jaloux de sa copine. J’ai parfois tenté d’avoir des détails sur leur vie intime mais Sam a bloqué immédiatement. Cependant, il m’a annoncé il y a 3 semaines qu’ils avaient rompu. Je l’ai consolé, je l’ai pris dans mes bras, et j’ai eu du mal à cacher mon érection.
Aujourd’hui, il est tard quand je sors de ma chambre et que je vais aux toilettes. Je passe alors devant la chambre de mon colloc... et j’entends des bruits. Je colle discrètement mon oreille contre la porte... et je peux constater que Sam est devant un porno. J’entends les gémissements d’une meuf en pleine action. Immédiatement, ma bite ne fait qu’un bond dans mon caleçon. Je la sors et je commence à me masturber. J’écoute et je m’imagine mon pote, une grosse bite en main, en train de se branler. J’aimerais tellement le rejoindre... J’éjacule très vite dans ma main et je me casse pour ne pas me faire prendre. Je rentre dans ma chambre après une petite toilette rapide et je me mets à échafauder un plan que je veux mettre à exécution...
Le lendemain, j’écris un message à Sam alors que je l’entends regarder une série dans sa chambre :
« Dis-moi, je peux te demander quelque chose »
« Oui, quoi ? »
« J’ai besoin d’un conseil. »
« Vas-y. »
« C’est un peu gênant. ».
« Pas de problème. »
Je fais genre de ne pas répondre pendant presque 5 minutes et je vois que j’ai piqué la curiosité de mon colloc car il m’envoie des « ??? ». Je reprends la conversation :
« Je crois que je souffre d’éjaculation précoce ... »
Pas de réponse de la part de Sam pendant bien une minute... Minute qui me paraît être une éternité. Puis, il reprend :
« Je m’y attendais pas... »
« Désolé ... »
« Non, mais c’est bien que tu en parles à ton pote 😉 »
Il commence à me donner quelques conseils qu’il doit avoir trouver sur Internet, j’en suis persuadé. Mais je compte bien profiter de la perche qu’il me tend quand il écrit :
« Tu pourrais aussi te branler plus souvent, comme ça, tu serais plus endurant. »
« Oui, c’est une bonne idée. Tu as vraiment de bons conseils. C’est ce que tu fais, toi ? »
« J’ai pas ce genre de problème »
« Non, je veux dire... tu te branles souvent ? »
« Au moins une fois par jour ! »
« Si souvent ? »
« Ben ouais, j’ai pas mal de pression ... surtout depuis que je suis célibataire ! »
« Ok ! Et tu fais quoi ? Tu mates des pornos ? »
« T’es bien curieux, toi !... Mais oui, je mate des pornos. Et toi... ? »
« Soit je mate des pornos, soit je lis des histoires sur Internet. Je trouve ça pas mal. Ça laisse pas mal de place à l’imagination. »
« J’ai jamais essayé... Faudra ! Et moi, des fois, je ferme simplement les yeux et je m’imagine des trucs ou je me rappelle d’une baise en particulier que j’ai vécue. »
Je me dis alors que j’y suis, j’ai réussi à aller plus loin avec mon colloc ! Je lui demande alors :
« Tu t’es déjà branlé dans une caleçon sale ? »
« Oui... »
« Moi aussi. »
« Cochon ! MDR »
Ces échanges commencent à vraiment m’exciter. Il reprend :
« T’as déjà utilisé un masturbateur ? »
« Non, mais j’ai vu ça sur Internet. Toi oui ? »
« Oui ! »
« C’est bien ? »
« Oui, j’en ai un ! Trop bon ! »
« Moi, je peux te conseiller te donner des petites tapes sur le gland, je trouve l’orgasme encore meilleur ! »
« Ah ouais ? Je savais pas... »
On continue de s’échanger sur nos pratiques de masturbation et on se donne des conseils. Au bout de 10 minutes, je n’en peux plus et je lui propose :
« Ça te dirait un petit jeu : qu’on se branle chacun de notre côté dans nos chambres mais en même temps... »
Il ne répond pas tout de suite... mais il finit par accepter. On se met alors à se branler et on s’échange quelques messages du genre à quoi on pense, quel genre de porno on regarde. Je trouve ça grave excitant ! Puis, finalement, il me dit qu’il va jouir.
« On jouit en même temps ? », lui proposé-je.
« Ok. A 23h11 pile, ok ? »
« Ok. »
Je me mets à m’astiquer, lentement, retardant mon orgasme. A l’heure dite, j’éjacule sur mon ventre 5 jets assez puissants, mais peu abondants. Je continue de me masturber un peu, puis j’arrête. Message de Sam :
« T’as joui ? »
« Oui, et toi ? »
« Oui. Une assez grosse quantité, je dois dire ... »
Putain, rien que de lire ça, je pourrais presque bander de nouveau.
« Moi, 5 jets, et toi ? »
« 3... mais bien juteux ! »
Je mets fin à la conversation en allant dans la salle de bains. Je rentre dans ma chambre et j’entends Sam aller se laver aussi.
Pendant bien une semaine, on se branle ainsi, chacun sur son lit, en même temps. Je trouve ça hyper bandant. J’attends chaque soirée avec impatience pour me livrer à ces petits jeux interdits entre colloc. A un moment, je lui demande :
« Et si on se chronométrait, pour voir lequel serait le plus rapide ? »
« Avec tes problèmes d’éjaculation précoce, tu vas gagner à coup sûr ! »
Je ne m’attendais pas à ce qui se rappelle de ça... Il faut savoir que c’était juste un prétexte pour entamer la conversation, je n’ai pas de problème de ce côté-là. Je dis alors :
« Je me suis branlé cet aprèm, vite fait, après les cours ! On va voir si tes conseils vont porter leurs fruits ! »
« Ok ! Tu bandes, là ? »
« Oui, et toi ? »
« Oui ! »
« Alors, c’est parti ».
Je n’ai pas besoin de porno. Je ferme juste les yeux et je m’imagine Sam en train de se masturber. Et il est le premier à envoyer un message : « 1 minute et 55 secondes ». Comme un coup de fouet, je me sens excité et j’éjacule un sperme épais et peu abondant sur mon ventre. Je lui réponds :« 2 minutes 10 ».
« Mes conseils ont marché alors ! »
« Oui, merci, mon pote ! »
Les soirées suivantes, on se branle en se chronométrant. Parfois, je gagne, parfois c’est Sam.
Je brûle depuis les premiers instants de lui poser LA question qui représente la prochaine étape de mon plan. Finalement, alors qu’on se masturbe « ensemble » depuis 2 semaines et demie, je décide de passer à l’étape suivant, ayant un bon feeling.
« Dis, ce soir, ça te dirait qu’on fasse une petite branlette ensemble ? »
Sam ne répond pas immédiatement. Après 5 minutes d’attente, il finit par répondre :
« Non, c’est dégeu ! »
« Pourquoi dégueu ? »
« Je sais pas... En parler devant un porno, c’est une chose... Mais le faire... Non ! »
« Ok, je comprends. »
« On se chronomètre cette fois aussi », reprend-il.
« Non, je vais dormir, je suis fatigué. »
« Tu m’en veux ou quoi ? »
« Je sais pas... Ça m’a coupé l’envie ! »
Et à mon grand regret, Sam arrête d’envoyer des messages. Deux jours se passent. Je me montre un peu froid avec lui. Je reçois alors le soir du troisième jour ceci :
« Tu fais toujours ta vexée ? »
Je ne réponds pas.
« J’ai maté des pornos où deux potes se branlent ensemble. Ça m’a un peu excité. Peut-être qu’on pourrait tenter. Par contre, chacun garde ses mains sur sa queue ! »
« Oui, ok. Et si ça te plait pas, on arrête. »
Sam accepte. Je lui propose de venir me rejoindre dans ma chambre. Il écrit tout simplement : « Ok ! »
Le moment tant attendu arrive enfin ! Sans rien dire, mon colocc vient de ma chambre et il s’assoit sur mon lit... tout habillé. Je prends mon ordi et je cherche un porno. Avec les informations qu’il m’a donnés par messages interposés, je trouve un truc qui lui plaira à coup sûr. Je pose mon ordi au bout de mon lit et on se retrouve tous les deux assis l’un à côté de l’autre. La situation est bizarre. Surtout pour Sam, je le sens. Il est assez distant. Mais quand l’action se met en route et que la meuf commence à sucer la grosse bite du mec, je sens mon pote se détendre. J’essaie aussi de porter mon attention sur le film. Je remarque un mouvement au niveau de son entrejambe... ce qui me fait bander immédiatement. C’est quand il commence à caresser son paquet que je sais que j’arrive à mon but.
Je prends alors l’initiative et j’ouvre la braguette de mon pantalon avant de le retirer. Je me retrouve en caleçon. Sam m’imite alors. Il se retrouve en boxer. Il se touche à nouveau la teub qui gonfle dans son boxer qui la moule bien, laissant deviner les moindres détails de sa queue qui est en demi-molle, de ses couilles et de son gland. Sa bite repose en effet sur de grosses couilles bien visibles. Son gland semble aussi très gros, le tissu le serre tellement bien... On voit le prépuce épais qui recouvre sa teub à moitié. C’est presque comme s’il était nu devant moi.
Je reste bouche bée. Quel paquet ! Et la demi-molle prend de plus en plus de volume. Le tissu du boxer se tend, sa barre s’allonge lentement. Finalement, il retire son caleçon. Je l’imite tout en admirant son morceau : il a une bite de 18 cm, et super large ! Il a aussi d’énormes couilles poilues. Elle est aussi épaisse qu’une bouteille de déo. Quant à ma queue, elle fait 16 cm, elle est fine et de couleur un peu foncée, avec un gros gland. J’enlève mon t-shirt et Sam fait de même. Moi, je suis poilu, châtain foncé, un peu enrobé. Mon colloc est plutôt musclé fin, avec une peau bronzée. Il a des cheveux frisés assez longs, et une barbe. Nous sommes tous les deux plutôt très poilus. Moi, je suis juste imberbe sur les fesses.
Nous voilà donc tous les deux à poil en train de bander. Sam saisit sa queue et il commence à se masturber. Je fais pareil et je me rapproche de lui. Nos jambes se frôlent mais il la retire. On a le regard rivé sur l’ordi mais j’ose du coin de l’œil des regards pour observer sa teub. Je me branle aussi, même si c’est plus la vision de sa bite que le porno hétéro qui me fait de l’effet. Au bout de quelques minutes, sa main droite lâche sa queue tandis que sa main gauche masse ses propres couilles. Il ne risque cependant aucun regard sur ma teub.
Quand la meuf se prend la queue du TTBM dans le cul, Sam commence à accélérer sa branle. Plus le mec baise fort la meuf, plus Sam accélère le mouvement. Je ne peux pas détacher mon regard de sa teub.
- Je vais jouir, Will...
- Vas-y !
Mon colloc accélère alors sa branlette. Il respire fort ... et d’un coup, sans un bruit, il éjacule. C’est un geyser ! Trois gros jets sont projetés sur son visage... puis trois autres, moins puissants, tombent sur son torse. Les quatre derniers tombent sur son ventre. Sam pousse un soupir de soulagement et il secoue sa queue. Quelques gouttes de sperme atterrissent sur ma bite... ce qui me fait jouir sur l’instant. Je jouis 10 jets puissants qui tapissent rapidement mon torse ainsi que mon ventre.
- Eh ben, on peut dire qu’on est deux gros juteurs !
Je me détends et on rigole, complices. On finit par se lever et par aller dans la salle de bains.
Ce jeu semble avoir bien plu à Sam, car il me propose de lui-même, le lendemain de remettre ça. Je laisse passer une semaine durant laquelle on se branle ensemble tous les soirs. J’essaie chaque soir de poser ma jambe contre la sienne... et un soir, il ne la retire pas. Il semble tout de même tendu. On regarde le porno en silence, notre queue dans la main. Après peu de temps, je sens mon colloc se détendre. Il continue de se branler, en silence. Mais son regard se porte de temps en temps sur mon morceau. C’est la première fois qu’il tourne la tête comme ça ! Je jubile. A un moment, nos yeux se rencontrent et on se sourie, complices. Sam pose alors sa jambe sur la mienne, ce qui m’électrise tellement que j’en jouis ! Je gicle 8 grosses rasades qui atterrissent sur mon torse et mon ventre. Mon pote éjacule deux minutes plus tard. Il pousse un gémissement et un grand jet de sperme gicle dans ses cheveux et sur son front. Le deuxième gicle dans sa bouche. Puis, il lâche une douzaine de jets de sperme sur son corps.
Je laisse encore passer 3 soirs où on se branle, très proches l’un de l’autre. Nos jambes se touchent, la peau de son bras caresse ma peau, sous l’effet des mouvements de nos mains. Finalement, je décide de passer à la vitesse supérieure. Aujourd’hui, il entre dans ma chambre, il se fout à poil et il se place directement sur mon lit. On est assis à côté l’un de l’autre et on commence notre branlette devant un porno.
On se branle, nos bites sont bien dressées. Je me suis imaginé des milliers de fois cette scène... et j’ose enfin le faire. Alors que Sam se masturbe, j’avance ma main vers ses boules ... et je me mets à les caresser.
- Tu fais quoi, là ?
- Rien... je croyais que...
- Putain, t’es chiant ! Je t’ai dit que je voulais pas ça ! T’es un gros dégueu !
Il sort alors de ma chambre, me laissant penaud. On reste deux jours sans se parler. Il m’envoie au bout de trois jours un message, me disant qu’il veut venir dans ma chambre ce soir. On reste un peu loin l’un de l’autre et on éjacule devant un porno. Au bout de 4 jours, on finit par se rapprocher. Nos jambes et nos bras se touchent. Et à un moment, ne pouvant plus résister, je tends de nouveau ma main et je saisis sa queue, bien décidé à aller plus... cependant conscient que ça pourrait mettre fin à nos branlettes communes. Et là, pas de réaction de sa part. Alors que je veux la retirer, il murmure :
- Continue, c’est trop bon !
Je jubile intérieurement ! Je masse ses boules pendant qu’il se masturbe... puis, je remonte plus haut. Sa main lâche son morceau que je prends en main. Il est lourd et massif. C’est la première fois que je tiens en main une queue autre que la mienne. Je commence alors à la faire monter et descendre. Mon colloc se détend et il ferme les yeux. Je masturbe ma bite et la sienne ! Excellent !
- Tu aimes ?
- Oui c’est trop bon !
Je fais bien monter et descendre ma main sur sa teub bien dure. Ses grosses couilles rebondissent sur le lit.
Au bout de 5 minutes à le branler lentement, je me penche sur sa queue tandis qu’il a toujours les yeux fermés. J’enfonce alors son gland dans ma bouche. Sam a un petit sursaut. Il s’écrie :
- Tu fais quoi ?
- Je te fais du bien...
- Non, c’est dégueu !
Je n’insiste pas. Je continue de le branler et il jouit au bout de 10 minutes sous mes caresses tout en tirant sur ses couilles. Je le masturbe avec des mouvements réguliers et plutôt lents. J’admire mon pote qui a les jambes écartées. Il gicle 5 gros jets qui forment un arc-de-cercle au-dessus de sa tête et qui retombent sur le lit derrière nous. Je garde sa bite en main pendant que je me branle. Excité par cette grosse queue que je viens de branler, j’éjacule une dizaine de giclées qui ont éclaboussent mon corps entièrement.
Les soirs suivants, on se masturbe ensemble. Je le laisse prendre les devants. Parfois, c’est chacun pour soi, parfois, il prend ma main et je le branle. Un mois et demi après le début de cette expérience, mon colloc m’envoie un message :
« Je peux t’avouer quelque chose ? »
« Oui ... »
« Je ne cesse de repenser au moment où t’as pris mon gland en bouche. »
« Oui désolé ... Les hormones, je pense ! »
« Ca m’a assez plu, en fait. J’aurais presque joui sur le moment. »
« Tu te fous de moi ? »
« Non ! Je repense à la sensation... C’était trop bon... J’ai jamais ressenti ça !
« Ok ! »
« Si jamais tu réessaies, je crois que je te repousserai pas. »
« Ce soir alors ! »
Le soir arrivé, on se met à poil, comme d’habite, devant un porno. Je prends sa bite en main quand il bande et je le branle... Et, je finis par me pencher et par prendre son gland en bouche.
- T’es un gros cochon, toi !
Ce n’est donc pas un « non » ! Je jubile. De la main gauche, je m’empare de ses énormes couilles qui sont posées sur le lit, bien pendantes. Je me mets à les masser. Sa queue raide est trop bonne. Je l’enfonce dans ma bouche, je le suce. J’arrive à prendre les deux tiers de son chibre dans ma bouche.
- Tu fais ça trop bien, poto !
Heureux d’entendre ça, je continue de le sucer. Je lui jette des regards de temps en temps mais il est occupé à regarder son porno. Il ne me calcule pas du tout. D'une main, je lui tiens la queue et de l'autre, je lui caresse les couilles. Il semble apprécié, les jambes écartées en grand. Il gémit de temps en temps. Mais bout de cinq minutes, il plonge son regard brûlant dans mes yeux et il me caresse la nuque, m’encourageant à le sucer.
Finalement, j’arrive à prendre ses 18 cm entièrement dans ma bouche et je lui fais quelques gorges profondes. Il gémit fort. Le plaisir se lit sur son visage.
- Oui, c’est ça, occupe-toi de ma bite !
A ma grande surprise, il sort sa bite de ma bouche... et il se met debout sur le lit. Il me présente sa queue devant mon visage... J’ouvre ma bouche dans laquelle sa teub s’engouffre. Il entame alors une baise de ma bouche. Il adopte rapidement une cadence puissante. Ses couilles rebondissent contre mon menton. Ses poils de pubis me chatouillent le front. Et j’avale sans difficulté sa grosse teub. Il me fait faire des gorges profondes, Il ressort rapidement, ne voulant pas éjaculer trop tôt.
Ensuite, il me place ses couilles devant la bouche. Je les lèche, je les gobe... Mais il fait glisser son cul en avant et ma langue se promène sur son périnée avant de se retrouver dans sa raie ! J’ai toujours adoré ses fesses, fermes et musclées, recouvertes d'un duvet de poils noirs, qui s'épaississent à l'approche de sa raie ! Je n’hésite pas et j’enfonce ma langue dans sa raie, bien fournie en poils noirs et drus, que je lèche. Je titille sa rosette, ce qui le fait gémir un peu... Puis, je me mets à me délecter de son trou. La pointe s’y introduit doucement... et il ne bronche pas quand ma langue entre entièrement dans son intimité. J’entame alors un bouffage de cul de malade. Je ne contrôle plus ma langue qui tournoie en lui.
Après bien 5 minutes de ce traitement, Sam se place de nouveau sur le lit et je reprends ma suce. Très vite, il soupire fort, je sens sa queue gonfler.
- Attention, je vais jouir !
Il veut me retirer la bite de ma bouche mais je résiste et là, c’est l’explosion. Un sperme liquide jaillit de sa queue comme l’éruption d’un volcan. Le premier jet sort de sa teub et va se perdre au fond de ma gorge. En l’espace de 5 secondes, 7 jets jaillissent en saccade dans ma bouche. Puis quatre autres sortent et tombent lourdement sur ma langue. Son corps se détend. Sous le coup de l’excitation, j’enfonce sa queue dans ma bouche pour en lécher sa précieuse semence. Puis, ma langue descend le long de sa teub pour la nettoyer. Je me pose sur le lit, heureux ! Mon colloc s’exclame :
- Et toi alors ?
Il avance alors sa main droite vers ma queue et il la prend en main. Il se met à me branler, vigoureusement. Je jute en un temps record, tellement l’expérience m’a plu, une quantité énorme de sperme. Ce ne sont pas des jets, c’est tout simplement une pluie de jus blanc liquide qui jute sur mon torse et sur mon ventre ... ainsi que sur mon visage et dans mes cheveux. Sam me branle jusqu’à ce que je lui dise d’arrêter. On admire alors le sperme couler le long de mon corps et de mon visage. On rigole de bon cœur.
Une fois remis de son orgasme, Sam se lève et il se dirige vers la salle de bain. Je reste sur le lit, hyper heureux d’avoir réussi ce que je voulais depuis si longtemps ! Je pense que mon colloc et moi venons de passer une étape toute particulière dans notre relation amicale !
Merci à Will pour ses idées.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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