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Chapitre-6
Je m’appelle Youness, je travaille comme plombier et j’ai 30 ans lorsque je fais la connaissance d’Alexis sur une application de rencontre. Moi, au début, je faisais 1,80 m pour 85 kg tandis que lui a 29 ans, il est plutôt petit (1,70m) et il fait 75 kg. Son profil sur l’application le décrivait comme étant un « bodybuilder ».
J’ai fait la connaissance d’Alexis, un mec super mignon qui après plusieurs rencontres, a voulu faire de moi un pacha rebeu. Depuis, il me fait suivre depuis un régime spécial à base de nourriture riche en protéines et de shakes afin que je prenne de la masse et que je jute plus de sperme. En gros, il veut que je devienne son « taureau reproducteur ». Il me sert, mais en contrepartie, mon jus n’appartient qu’à lui. Au bout de 10 semaines, j’ai emménagé chez lui. Et finalement, au bout de 4 mois, je me suis bien transformé : j’ai pris du muscle et aussi du poids : je suis passé de 85 à 115 kg. Malgré mon scepticisme, Alexis m’a convaincu de continuer et je me suis rendu compte que je me transformais en véritable taureau reproducteur : chaque soir, j’arrive à jouir bien 8 fois d’affilée. Et quelques semaines plus tard, mon alimentation est devenue toujours plus riche. J’ai atteint les 125 kg. J’ai fini par me rendre compte que pour moi manger et être excité sont étroitement liés. Mais un jour, Alexis m’a surpris en train de manger en cachette, ce qui l’a mis bien en colère. Pour me faire pardonner, j’ai dû me faire tatouer sur le torse : « cumslave – propriété d’Alexis ». Et au fil du temps, je suis vraiment devenu la propriété d’Alexis. Je lui ai offert tout contrôle sur mon salaire, sur mes papiers etc. Pour me remercier, il m’a amené dans un bar où j’ai pu donner libre court à mes envies sexuelles !
Durant les semaines qui suivent voici de quoi sont faites mes journées : je vais travailler, je m’entraine 3 à 4 fois à la salle de sport selon le programme établi par Alexis. Le soir, les bières et le repas sont sur la table. Cependant, je ne suis satisfait sexuellement que lors du repas. Alexis me trouve trop gras, dit-il. Moi, je n’ai jamais voulu devenir gras. Il a fait de moi ce que je suis devenu ! Le week-end, on sort et Alexis me « prête » à d’autres mecs à qui il donne à la fin sa carte de visite.
Au bout d’un mois, un week-end, Alexis me dit de mettre mon harnais qu’il m’a fait faire sur mesure. Je lui demande :
- Il se passe quoi ce soir ?
- Tu verras. Tu n’as pas besoin de toujours tout savoir !
Il me guide dans ma chambre et il fixe mon harnais à mon lit. Puis, je l’entends aller dans la cuisine pour préparer à manger.
Quelques minutes plus tard, on sonne à la porte. Alexis va ouvrir et j’entends la voix d’un autre mec. Ils vont dans le salon et ils se mettent à parler. Je ne capte pas ce qu’ils se disent. Puis, leurs pas se dirigent vers ma chambre. Un mec ouvre la porte. C’est un grand gaillard musclé. Il porte seulement un jean. Il tient une tablette dans ses mains. Dessus, il y a une grosse pizza, une bière et des barres chocolatées. J’observe son corps : il est musclé mais son ventre dur est un mélange de graisse et de muscle. Il fait dans les 1,90m. Je le reconnais. Je l’ai défoncé il y a 2 semaines dans le darkroom. Ma surprise doit se lire sur mon visage car il s’explique :
- Alexis m’a donné votre carte de visite et il m’a dit que si tu me plaisais, je pourrais venir me faire baiser tant que je veux. Il a ajouté que t’es un gros producteur de sperme et que t’es sans arrêt en manque. Il faut juste que t’es à manger. C’est correct ?
- Oui... j’adore baiser pendant que je mange.
Rien que de voir le plateau et les mets, ma queue se met en demi-molle.
- Ok ! Donc, ouvre ta bouche !
Il me nourrit. Il me donne d’abord des morceaux de pizza, de la bière de temps en temps. Je me mets à bander et le mec s’empale sur ma teub. Le mec s’assoit sur ma queue. Une fois qu’il l’a au fond du cul, il se met à monter et descendre dessus tout en caressant mon ventre. Ma peau claque contre ses fesses pendant qu’il malaxe mes gros seins. Il m’enfonce petit à petit les morceaux de pizza en moi tout en se faisant plaisir sur ma teub, hyper dure. Il entame une chevauchée sauvage, rapide, sur toute la longueur de mon membre. Il me donne la dernière part et il accélère encore plus. Je termine la pizza et c’est là que je jouis dans le cul du mec : ma queue se retrouve au fond de ses entrailles où j’éjacule une grosse quantité de sperme. Je ressens les soubresauts de ma queue qui expulse le jus dans son anus et qui semblent bien le remplir. Je ressens un long orgasme. Ce sont bien 16 giclées qui l’ensemencent.
Il se retire et je vois son cul dégouliner de mon jus. Il se dirige vers le plateau et il réfléchit. Puis, il revient vers moi. Pour le dessert, il se pose sur le dos, il lève les jambes et j’enfonce lentement ma bite dans son anus, sans capote. Je soulève mon ventre et je le pose sur sa bite qui se fait frotter par ma bedaine. Ma queue, bien dure, entre en lui et j’entame des va-et-vient. Elle nage dans ma semence et elle la fait sortir par vagues. Je reprends la baise pendant qu’il m’enfonce une barre chocolatée dans le gosier. Mon ventre gras frotte sa queue comme s’il la caressait. Une fois que j’ai avalé deux barres, j’adopte un rythme plus rapide. Mes coups de reins secouent bien le lit. Tel un taureau, je souffle fort. Mes grosses cuisses claquent contre ses petites fesses. Mes couilles claquent contre son périnée. Mes grosses mains saisissent ses hanches et elles les agrippent fort. Quand il m’enfourne la dernière barre dans ma bouche, je lui lâche ma semence dans les entrailles. Dans un ultime coup de bite, je m’enfonce profondément en lui et je lâche une grosse quantité de jus. Ma queue ne semble pas s’arrêter de cracher mon foutre. Je dois bien juter une dizaine de jets puissants et liquides.
Après ma deuxième jute, le mec se pose à côté de moi tout en caressant ma queue. Il se met à raconter ce qu’il ferait si j’étais son mec :
- Je te gaverais tellement que tu ne pourras plus marcher. Je me servirais de ta queue non-stop... et je me déchargerais dans ta bouche... Tu serais mon esclave... tout simplement là pour mon plaisir...
Il remarque que je bande de nouveau et il se met à me sucer. Entre deux pauses, il continue de me dire ce qu’il ferait si je lui appartenais :
- Ton ventre serait si gros que je te baiserais ton nombril... que je me branlerais avec tes seins.
D’abord le mec se met à lécher mon gland tout en caressant mes couilles. Puis, il enfonce ma teub et il commence ses va-et-vient. Son récit m’excite. Je m’imagine avec un énorme ventre. Sa suce est accompagnée de caresses de mon bide. Très vite, je murmure que je vais éjaculer et le mec enfonce ma queue dans sa gorge, avec son nez dans les poils de mon pubis et le front contre ma grosse bedaine. Je jouis abondamment dans sa bouche. Mes jets jaillissent directement au fond de sa gorge et il les avale avec délectation. Les premiers jets sont hyper puissants et ils jaillissent directement dans son œsophage. Les 5 suivants fouettent abondamment le fond de sa gorge. Et les autres retombent sans pression sur sa langue. Je jouis au total 11 giclées que le mec avale avec plaisir.
Je vois alors qu’il bande. Il présente sa queue devant ma bouche et c’est moi qui le suce pendant qu’il continue de fantasmer. Sa teub fait dans les 19 cm. Je n’arrive qu’à en encaisser la moitié. Il me caresse la tête et aussi le ventre pendant ce temps. Il éjacule au bout de 5 minutes son sperme dans ma gorge. Je sens 4 jets puissants qui jaillissent dans ma bouche. Ils sont liquides et savoureux. Je continue de sucer sa teub tant qu’elle est dure et j’avale sa semence.
Il sort sa bite de sa bouche, il se lève, il s’habille et il me dit :
- A la semaine prochaine, mon taureau !
Il disparait comme il est venu... Peu après qu’il a quitté la pièce, Alexis rentre et il me donne un gant de bain ainsi qu’une serviette. Il défait le lien et mon bras droit se retrouve libéré. Alexis dit :
- Nettoie-toi, ton dessert arrive, mon gros cochon.
Je suis rassasié... mais en entendant le mot « dessert », ma queue se met à frétiller.
- Tu veux me chevaucher ?
- Tu le remarqueras bien quand on baisera ensemble !
Alexis me regarde me nettoyer... quand on sonne de nouveau à la porte. Alexis sort en prenant soin de refermer la porte. Très vite, elle se réouvre et un mec vêtu d’une combinaison de biker rentre. Il est vraiment beau gosse ! Il tient une jatte dans les mains. Il s’approche de moi et il s’assoit sur mon entre-jambe. Il se met à frotter son pantalon en cuir contre ma queue.
- C’est ça que tu veux, gros cochon ?, demande le mec en me montrant la jatte.
- J’en ai besoin !
- Et moi, j’ai besoin d’une grosse cochonne qui veut devenir plus grosse et plus grasse !
Il prend la cuillère et il me nourrit : c’est de la mousse au chocolat. Elle est vraiment très bonne. Ma bite se redresse. Je dis alors au mec :
- Déshabille-toi et je te défonce !
- Eh, mon gros, dit le mec en rigolant. Regarde-toi ! C’est pas comme si tu étais en position de me donner des ordres ! Je veux te voir bouffer ! C’est seulement après que t’auras mon cul ! Quand je le veux. Compris ?!
- Oui, chef !, murmuré-je.
Le mec continue de me nourrir. Ça semble lui plaire... et son rythme s’accélère. J’ai à peine le temps d’avaler que la cuillérée suivante arrive. Lorsque la moitié de la jatte est vide, il ouvre la fermeture éclair de son pantalon qui libère son cul et il s’assoit sur ma bite. J’entame alors de lents va-et-vient. Une fois que son trou s’est habitué à sa queue, il monte et descends plus rapidement sur ma teub. Il se branle en appréciant ma grosse queue. Il chevauche sa qui avec un plaisir non dissimulé. Ses fesses rebondissent sur mes grosses cuisses. Mes grosses couilles rebondissent contre son cul. Trop bon ! Et en moins de deux minutes, je lui envoie 6 jets au fond de son trou. J’éjacule rapidement, ce qui ne semble pas le déranger. Il se retire et je vois mon jus dégouliner de son anus.
- Je veux que tu continues de bouffer !
Il défait alors les liens de mes pieds et de mes mains. Il se met de la mousse au chocolat sur son ventre et sur sa queue, après s’être déshabillé. Je ne me fais pas prier et je m’occupe d’abord de son ventre. Ensuite, vient le tour de sa bite. Je bande de nouveau et le mec remet sans arrêt de la mousse sur sa teub et je le suce avec envie. Il me fait m’arrêter et il se tartine la poitrine. Je fais lécher tout ça. Je m’applique à ce que sa peau soit bien propre... et je sens que mon ventre frotte contre sa queue. Il murmure :
- Continue !
Au bout d’un moment, sous l’effet des frottements de mon ventre contre sa bite, il éjacule contre mon ventre et le sien : je sens un premier jet chaud jaillit contre mon ventre et qui atterrit sur le sien. S’en suivent quelques coulées de sperme avant que 4 autres giclées puissantes éclaboussent nos ventres et son torse.
Pour la première fois, ça me plait d’avoir un gros ventre, de l’avoir utilisé pour branler un mec... Je remarque que je bande aussi : mon ventre est devenu une zone érogène. En effet, je me rends compte pour la première fois que dès qu’on le touche, ça m’excite ! Le mec se positionne sous ma queue, il la suce et j’éjacule de nouveau : ce sont 7 jets qui giclent au fond de sa gorge. Ils sont tellement puissants qu’il n’a même pas besoin d’avaler : ils atterrissent directement dans son œsophage. Ravi, le mec lèche ma queue de rebeu. Puis, il se redresse et il s’exclame :
- C’était trop bon ! J’aimerais bien te réserver pour un week-end entier ! Je te donnerais à bouffer du matin au soir. Tu serais mon esclave... On baiserait sans arrêt ! Et tu repartirais chez toi avec 5 kg de plus !
Il se rhabille et il s’en va. Putain, j’ai les couilles vides ! Les deux mecs m’ont fait jouir 5 fois une totalité de 50 jets !
Mais les paroles du mec résonnent encore à mes oreilles... « Réserver ? » Est-ce qu’il a payé ... ? A ce moment, Alexis rentre dans la pièce :
- Alors, ça va, mon gros taureau ? Ils t’on bien vidé les couilles ?
- Oui !
- T’as été bon aujourd’hui ! T’as gagné 100€ en 3 heures.
- 100€ ? Tu m’as « loué » ? Mais... on sort ensemble ! Tu vas pas me faire faire le trottoir !, balbutié-je.
- Si, depuis aujourd’hui, je suis ton maque. T’en a le potentiel ! Tu es un beau prostitué ! Les mecs dans le bar te courraient après ! Y a pas beaucoup de prostitué gras comme toi ! On va ramener beaucoup d’argent !
- Mais... je dois aller bosser... et m’entrainer !
- Non ! Si t’es bon, tu pourras bientôt poser ta démission. Imagine : 300€ en 8 heures. On exigera plus si tu te déplaces ! Si tu travailles 20 jours par mois, tu pourras te faire 6000€ ! Et en plus, tu as besoin de jouir 8 à 10 fois par jour... et moi, je n’ai plus envie de me faire baiser comme ça ! Je préfère profiter de ton talent pour gagner du fric !
- Et moi, je gagne combien ?, demandé-je.
- T’as pas besoin d’argent ! Je te donne tout ce dont tu as besoin : le gîte et le couvert, les fringues, le sexe...
- Oui, mais...
- Pas de mais ! Je te nourris depuis 8 mois, je t’entraine, je te transforme en taureau reproducteur ! Tu es mon « cumslave » ! Et je suis ton maître... et désormais ton gigolo ! C’est clair !?
- Oui !
Les deux semaines qui suivent se déroulent ainsi : je travaille, je m’entraine tous les deux jours et une fois à la maison, je me fais directement ligoter au lit. Chaque soir, 2 ou 3 mecs me rendent visite. Je passe les week-ends avec Alexis. Et voilà qu’arrive la pesée mensuelle. J’ai déjà remarqué que j’ai pris du poids : mes habits de travail sont devenus plus étroits et Alexis a dû desserrer les liens du harnais. Pas étonnant : rien que le mec en combinaison en cuir vient chaque semaine, il apporte de gros shakes bien caloriques... ce qui ne me dérange pas car j’ai décidé, sans le dire à Alexis, que je voulais avoir un plus gros ventre. Donc, je me pèse. La balance affiche 145 kg.
- Putain !, s’écrie Alexis. Gros porc ! Tu dois perdre du poids !
- Pourquoi ?, demandé-je. Je me sens bien comme ça.
- C’est ça ... Continue comme ça et dans 3 mois, t’es qu’un gros tas de graisse qui ne peut plus se bouger !
C’est reparti pour un régime..., me dis-je.
A suivre...
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Meetmemz
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