Chapitre-4
Salut,
Moi, c’est Thibaut. J’ai 32 ans, je fais 1m78 pour 68kg. Je suis châtain, j’ai les cheveux frisés mais assez courts, j’ai une barbe de trois jours. Je suis plutôt musclé, j’ai un physique élancé. Je ne suis pas vraiment poilu, juste un peu sur le torse et sur le pubis. J’ai une bite de 18 cm, assez fine, avec des couilles plutôt fermes.
Lors d’une soirée avec des potes, j’ai fait la connaissance de Thomas. Quand j’ai su qu’il était artisan électricien, j’ai pris son numéro de téléphone, car je savais que mes parents en cherchaient un. Très vite, on a sympathisé et il a vite capté que j’étais homo. Il m’a alors dit que ce qu’il kiffait, c’était de « soumettre les actifs gays pour en faire de bonnes femelles sur sa queue ! » Bien que je lui aie dit que je n’étais pas intéressé car j’étais seulement actif, il a finalement bien réussi à me soumettre et à me baiser ! Après m'être fait défoncer comme une pute par Thomas, j'ai besoin de me retrouver, je suis un peu déboussolé. Ma virilité en a pris un sacré coup, il m'a bien lopé, humilié, soumis... et depuis, j’adore me faire prendre par ce mâle.
Aujourd’hui, Thomas n’a que 20 minutes. Je le rejoins au bord d’une route. Je monte directement à la place du passager, il ouvre alors sa braguette en me disant :
- Vas-y, pompe ma queue ! Je veux trop ta bouche, là !
Je sors sa queue que je commence à la lécher. Très vite, il me dit :
- Suce-la !
Soudain, il me prend la tête et il m’impose un sacré rythme. Il gémit et il dit :
- Je vais t'apprendre à bien sucer une bite, toi, tu vas être accro !
Il bande bien dur rapidement. Il me fait bien baver. Il m’enfonce sa bite très loin dans ma gorge. Je ne maîtrise rien du tout !
A un moment, il ressort quasiment sa queue, juste le gland reste dans ma bouche et il me dit :
- Joue avec ta langue !
J’obéis et je la fais tourner autour de son gland. Il s’exclame :
- Putain, c'est trop bon, t'arrête pas !
Je m’occupe ainsi de son gland pendant quelques minutes. A un moment, il cramponne ma tête et sans un gémissement, il éjacule 6 gros jets qui jaillissent dans ma bouche. Ils rebondissent sur mon palais, j’ai l’impression qu’il ne va jamais s’arrêter d’éjaculer, ma bouche se remplit de plus en plus. Finalement, il arrête de jouir, il sort doucement sa queue de ma bouche et il me dit :
- Fais voir ta bouche !
Je lui montre le résultat et il dit :
- Hummm, bien remplie ! Avale, salope !
Je n’ai pas vraiment envie mais je n’ai pas le choix. J’avale tout. Son sperme est salé, épais, un peu gluant. Il me dit :
- Voilà, tu m’as bien vidé et je t’ai bien nourri, ma salope ! Allez, dégage, faut que je taffe !
Depuis, Thomas a pris l'habitude de me contacter quand il a une pause entre deux rendez-vous. Il m’envoie un message avec le lieu et le temps qu'il a. Je comprends très vite que si nous avons plus de 30 minutes, je me fais sodomiser. Si c’est moins, je le suce simplement.
Mais voilà, ce sont les vacances de Noël. Thomas est parti dans sa famille. Quand il revient, après une semaine sans me baiser, on passe à la vitesse supérieure.
Le jeudi soir, je vais faire un peu de sport avec des potes, il nous arrive de prolonger mais là, vu le temps pourri et les températures basses, on a juste envie de rentrer chez nous. C’est en arrivant que je reçois un appel de Thomas :
- T’es chez toi, là ?
- Presque, je rentre du sport.
- Cool, prépare-toi ! J’arrive dans une demi-heure.
- Ok, je t’attends.
- Dis-le que t’as envie de ma queue !
- Oui, j’ai envie de ta queue, viens me la mettre.
- Hummmmmn ! T'es chaude, je bien te baiser, salope !
Je me dépêche de finir d'arriver, je saute dans la douche, je me fringue comme il aime, c'est-à-dire en mec ! Boxer, jean, pull. L’idée de dominer un mec l'excite, donc il n’aime pas les mecs habillés « en salope », comme il dit. Il m’a souvent répété :
- Ce qui me fait bander, c’est de mater le cul d'un mec style hétéro, de l'embrouiller pour en faire une bonne salope et une vraie femelle au lit !
J’avoue que c’est ce qui m’est arrivé.
Il arrive comme prévu, je lui ouvre, il ferme la porte derrière lui, il me colle à lui, il me roule une grosse pelle, ses deux mains sur mon cul. Il commence à frotter son paquet gonflé et déjà dur contre mon ventre. Je me mets à bander comme un âne. Il ouvre alors mon jean, il glisse ses mains dedans pour palper mon cul, un doigt dans ma raie. Il décolle sa bouche de la mienne et il me dit :
- Hummm, t’as la chatte bien chaude ! T’as envie de te faire démonter, toi !
- Oui, je veux que tu me baises.
Il m’embrasse à nouveau tout en continuant à me caresser le cul, puis il se recule un peu et il me dit :
- Y a un truc que j’aimerais que tu fasses pour moi.
- C’est quoi ?
- Bon, ok, t'es pas très poilu mais je voudrais que tu te rases la raie jusqu’aux couilles, j’aimerais que ta chatte soit bien lisse !
- Ben, écoute, je sais pas trop, je pensais que t’aimais mon cul de mec avec quelques poils, non ?
- Ce sera notre petit secret. Avec tes fringues, t’as un cul de mec et devant ma bite, ça devient une vraie chatte de femelle.
Je reste un peu sans voix, trouvant ça assez humiliant... Une perte supplémentaire de ma virilité. Il se penche vers mon oreille, il me caresse la queue et il me dit :
- Allez, fais ça pour moi ! Je vais bien te récompenser après, tu vas pas regretter ce que je vais te faire.
Je me fais de nouveau avoir. Mais j’accepte et je me rends dans la salle de bain. Je me rase la raie ainsi que le périnée. Quand j’ai fini, je touche : c’est tout lisse, ça me fait un peu bizarre, j’ai l'impression de quelque chose de différent. Je me regarde dans la glace en faisant quelques contorsions et en écartant mes fesses : je vois mon cul tout lisse qui laisse bien apparaître mon petit trou. Ça me rappelle des petits culs que j’ai baisés... ça me fait bander direct. Je me dis qu’au pire, ça repoussera !
Je renfile mon boxer et je rejoins Thomas dans le salon. Il est en train de regarder un match à la télé. Je me pose à côté de lui. Il plaque sa main sur l’intérieur de ma cuisse. Puis, elle remonte, il se penche sur moi pour m’embrasser sur le ventre, sa main baissant délicatement l’arrière de mon boxer. Son majeur caresse ma raie toute lisse :
- Hummm ! C’est bon ça, ma belle. Fais voir, écarte tes fesses pour me la montrer !
Je me mets debout devant lui, de dos et j’écarte mes fesses. Il se met alors à siffler et il me dit :
- Cambre-toi !
Je me penche en avant, je cambre mon cul. Je me sens humilié de m’offrir comme ça. Cependant, je dois avouer que la situation m’excite pas mal.
Sans que je pressente quoi que ce soit, sa langue se pose alors sur mon trou. Je ressens comme une décharge électrique. Je gémis fort, tellement c’est bon. Il me fait un anulingus de malade, sa langue rentre en moi, c’est l’extase ! Jamais je n’aurais imaginé prendre autant de plaisir à me faire bouffer le cul ! J’ai toujours pensé que les mecs à qui je le faisais exagéraient un peu dans les cris ! Mais non, c’est un plaisir extrêmement puissant !
Thomas se met à alterner entre sa langue et ses doigts. Durant de longues minutes, il me lime avec sa langue, je pousse des cris dans les aigus, je ne maîtrise pas mon plaisir. Il finit par me dire :
- Putain, tu t’ouvres bien là et tu mouilles, salope ! Je vais la défoncer ta chatte !
Il se rassoit sur le canapé, il baisse son pantalon sur ses cuisses, il sort sa queue bien raide. J’admire ce beau mec : Thomas a 41 ans, il est typé méditerranéen, il a les cheveux et les yeux noirs, le teint légèrement halé, il alterne avec une barbe de trois jours ou rasage de près. C'est un mec de plus d'1,85m, bien charpenté qui dégage une virilité et une autorité naturelles. Il a un torse musclé, un peu poilu sur le haut. Une fine bande de poils part du nombril. Il a un beau morceau de 19 cm, assez large, veinée, un gland dur et rose, presque rouge d'envie. Il a deux belles couilles rondes et un peu pendantes.
Thomas reprend :
- Viens t’empaler dessus, dos à moi, je veux voir ma queue exploser ta chatte de femelle en chaleur !
J’enjambe ses jambes, je pose sa queue sur mon anus et je m’empale dessus. Sa bite rentre toute seule. J’adore la sensation de la sentir progresser au fond de moi. Une fois que je suis assis sur ses 19 cm, je sens ses poils de pubis contre mon cul. Je vois ses grosses couilles pendre entre ses jambes... sous ma queue tendue. Les mains de Thomas se posent sur mes hanches et, d'un coup, il donne un grand coup dans mes entrailles. J’en ai comme le souffle coupé, il me possède entièrement.
- Vas-y, monte et descends, bouge ton cul, baise-toi !
Je commence alors des va-et-vient, d’abord lents. J’adore sentir sa grosse queue me ramoner le cul. C’est comme si j’en sentais chaque veine ! Je mouille vraiment bien, sa bite coulisse à merveille. Je prends mon pied et je savoure cette sensation. Cependant, assez vite, il imprime un rythme plus rapide avec ses mains. Je sens sa queue me défoncer le trou. Mon cul rebondit sur son ventre... Trop bon ! Je vois ma queue et mes boules bouger de haut en bas au rythme de la baise.
Puis, il se met à me donner des ordres :
- Allez, encore plus vite ! Plus fort, salope ! Je veux entendre ton cul claquer sur mes cuisses ! Ressors entièrement et remets-toi dessus à fond ! Bien ! Maintenant, recommence, plus vite, plus fort ! Voilà, c’est ça ! Hummmm ! C’est bon !
Je me donne à fond. Heureusement que je suis sportif car je sens mes muscles de jambes souffrir. Je chevauche sa queue rapidement. Je monte et descends vite, sur presque toute la longueur de son morceau. Mon cul, que j’adore sentir s’enfoncer dans ses poils de pubis, claque contre ses cuisses. Mes propres couilles viennent cogner contre les siennes. Je bande à mort. J’ai les cuisses en feu, j’ai chaud. Ses mains triturent mes tétons ou, parfois, il me fout des fessées.
Ma chevauchée dure un long moment. Au bout d’une dizaine de minutes, il saisit de nouveau mes hanches pour me tenir et il se met à donner des coups de reins secs et puissants. Je l’entends haleter de plus en plus fort. Je comprends que son plaisir monte.
Soudain, il s’enfonce en moi très profondément deux ou trois fois puis, il pousse un long râle en jouissant longuement en moi, tout en m’embrassant dans la nuque et en me caressant le dos. Finalement, je calme ma chevauchée et il me dit :
- Vas-y ressort doucement... Serre ton cul, je veux pas voir une goutte de sperme s’échapper de ta chatte !
Je m’exécute et il dit :
- Voilà c'est bien, ta chatte est inaugurée et bien fécondée !
Il se lève, il se rhabille, il m’embrasse tout en caressant mon cul et il ajoute :
- Tu entretiens bien ta petite fente pour moi ! Je reviens bientôt m’en occuper !
Un fois seul, je me branle deux fois pour faire retomber la pression.
A suivre...
Je tiens à préciser que cette histoire est réelle !
Merci à Thibaut pour ses révélations.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
Autres histoires de l'auteur :
Signaler aussi tout texte incitant à la haine, au racisme, à la violence et à la cruauté. Sous peine de fermer ce site !
Cyrillo.biz ne revendique aucun droit sur les textes publiés.
Les textes publiés ont tous été envoyés directement à cyrillo.biz
Les auteurs sont libres de retirer leurs textes sur simple demande à cyrillo@cyrillo.biz
IMPORTANT
Rêve ou réalité, ces histoires ne sont pas un art de vivre
N’oublie pas les dangers d'une relation sexuelle sans protection,
que tu sois sous Prep ou pas.
PROTEGE-TOI ET METS DES CAPOTES !
|