Chapitre-5
Salut,
Moi, c’est Thibaut. J’ai 32 ans, je fais 1m78 pour 68kg. Je suis châtain, j’ai les cheveux frisés mais assez courts, j’ai une barbe de trois jours. Je suis plutôt musclé, j’ai un physique élancé. Je ne suis pas vraiment poilu, juste un peu sur le torse et sur le pubis. J’ai une bite de 18 cm, assez fine, avec des couilles plutôt fermes.
Lors d’une soirée avec des potes, j’ai fait la connaissance de Thomas. Quand j’ai su qu’il était artisan électricien, j’ai pris son numéro de téléphone, car je savais que mes parents en cherchaient un. Très vite, on a sympathisé et il a vite capté que j’étais homo. Il m’a alors dit que ce qu’il kiffait, c’était de « soumettre les actifs gays pour en faire de bonnes femelles sur sa queue ! » Bien que je lui aie dit que je n’étais pas intéressé car j’étais seulement actif, il a finalement bien réussi à me soumettre et à me baiser ! Après m'être fait défoncer comme une pute par Thomas, j'ai besoin de me retrouver, je suis un peu déboussolé. Ma virilité en a pris un sacré coup, il m'a bien lopé, humilié, soumis... et depuis, j’adore me faire prendre par ce mâle.
Thomas ne me lâche plus. Quant à moi, je crois pouvoir dire que j’ai vraiment pris goût à sa queue et à sa domination. Il m'envoie des messages très laconiques du genre : « Dans une heure chez toi ! » ou « Parking.... à 13h ». D'autres fois, il me demande de lui envoyer une photo de « ma chatte », pour voir si elle est bien lisse et encore ouverte après qu'il m'a baisé. Il me téléphone et il me fait faire des trucs hards : « Vas-y, doigte-toi avec deux, trois doigts », « Lime à fond », « Sors tes doigts et lèche les ! », « T'aimes ça, lécher ta mouille, salope ? », « Vas-y, branle-toi, jouis dans ta main et avale », ou bien « Fais couler ton jus dans ta chatte ! ». Quand il me fait faire ça, il arrive un peu après, ma chatte doit être lubrifiée, il rentre direct, il me baise et il jouit en moi en me disant : « Je te féconde, salope ! Tiens, prends ça ! ».
Aujourd’hui, je reçois un colis. Je suis surpris car je n'attends rien. J'ouvre le paquet : il y a deux godes dedans ! Un de taille « normale »19x5, l'autre colossal ! 25 cm par 7 ! Je reste un moment sidéré devant ces deux godes avant que j’envoie une photo à Thomas. Un moment après, il me renvoie : « Ah cool, t'as reçu mon cadeau ! Tu vas pouvoir bien travailler et ouvrir ta chatte ! Je passe voir ça tout à l'heure ! »
Il arrive le soir après son boulot. Il arrive et direct, il me plaque contre lui, une main sur mon cul et sa langue dans ma bouche. Il me baisse mon survêt et il se met à me caresser la raie. Rapidement, il me doigte, ce qui me fait gémir. Puis, il me lime et il me dit :
- T'as encore un petit cul de mec ! Avec mes cadeaux, dans peu de temps, t'auras une vraie fente de femelle qui prendra ma queue direct !
Il m’excite direct en me disant ça mais il m’effraie aussi un peu quand je pense à ce qu'il va me faire. Il se fout à poil et je peux de nouveau l’admirer :
Thomas a 41 ans, il est typé méditerranéen, il a les cheveux et les yeux noirs, le teint légèrement halé, il alterne avec une barbe de trois jours ou rasage de près. C'est un mec de plus d'1,85m, bien charpenté qui dégage une virilité et une autorité naturelles. Il a un torse musclé, un peu poilu sur le haut. Une fine bande de poils part du nombril. Il a un beau morceau de 19 cm, assez large, veinée, un gland dur et rose, presque rouge d'envie. Il a deux belles couilles rondes et un peu pendantes.
Une séance de près de deux heures commence où il me travaille le trou avec les godes. D’abord le plus petit, juste avec le gland pour m’ouvrir et me faire mouiller. Puis, il m’écarte le cul, il l’introduit bien au fond en poussant fort, en m'obligeant à le garder un moment pour ensuite me demander de pousser d’un coup pour le faire sortir. Il me le remet par la suite. Et je dois dire que mon cul gagne petit à petit en souplesse. Quand il remarque ça, il entame de longs va-et-vient, de plus en plus rapides, jusqu'à ce que je sente mes couilles taper contre le gode qui maintenant glisse tout seul en moi.
Une fois dilaté par le premier, il commence à introduire le deuxième gode. Thomas insère le gland dans mon trou mais la douleur m'envahit déjà. Il continue d’enfoncer lentement le gode. Je crie de douleur :
- Arrête, j’ai trop mal !
Il fait une pause avant de reprendre lentement : il pousse plus lentement le sex-toy que je finir par tâter le gode... Je peux sentir que la moitié est dans mon cul. Je le sens en moi et je suis certain qu’il n’ira pas plus loin, mon trou étant trop serré. Mais Thomas continue pourtant, il force, le gode rentre un peu plus. Heureusement qu’il prend son temps pour que je m’y habitue. Je sens alors le gland du gode buter en moi, je pense qu’il est impossible d'aller plus loin. Mais le gode plonge encore plus dans mes entrailles. Et au bout de quelques minutes, me voilà empaler sur le gros gode dont je sens le gland encastré dans mon ventre. Thomas le retire après quelques minutes. Mon cul est largement ouvert.
Pendant deux heures, on fait les mêmes exercices : Je suis épuisé, j’ai mal au cul mais il me maintient en excitation en me branlant un peu, arrêtant juste avant que je jouisse. Il me branle d’une main et il me lime avec le gode de l'autre.
Après ce très long travail, il abandonne les godes, me pose assis sur le bord de la table, les cuisses écartées, les pieds posés sur ses épaules. Sa queue entre alors en moi d’un coup, sans résistance. Il se met à me baiser à grands coups de reins en me regardant droit dans les yeux, d’un regard de mâle dominant qui a soumis sa femelle. Ses mouvements se font vraiment longs et brutaux. Il tape fort au fond de mon cul. Il me pine comme un malade, en me donnant de gros coups de butoirs. J’entends le claquement de sa peau contre la mienne. Pendant une dizaine de minutes, il me baise comme un fou. Il se déchaine en moi. Je suis sur le dos, je sens bien sa queue taper tout au fond de moi et ses grosses couilles bien remplies me frappent sans arrêt le cul et font ce bruit spécifique que je kiffe… Les poils de ses couilles, que je sens à chaque mouvement, me frôlent le cul… J’adore aussi cette sensation. Ses coups de boutoir se font plus amples, plus rapides. Il sort entièrement sa queue, il attend quelques secondes puis il la re-rentre d’un coup sec.
Finalement, je sens une sensation intense monter dans ma queue. Je gicle sans les mains, seulement sous l’effet de cette grosse teub qui me lime et me massacre la prostate. Ma tête est pleine d’étoiles... Je n’ai jamais ressenti de telles sensations. Ma bite laisse échapper une dizaine de jets de sperme qui atterrissent sur mon ventre ainsi que sur mon torse... et même sur mon cou. Une vraie jouissance anale comme je n’en ai jamais connu ! Les contractions de mon cul précipitent sa jouissance. Il jouit en moi, de longs jets de sperme chaud. Je les sens sortir de sa bite en grandes giclées et monter vers la sortie de mon anus. Le jus abondant sort en explosant tel un volcan hors de mon cul.
Il ressort sa queue, il me la donne à nettoyer, puis il se rhabille tranquillement tandis que je me redresse. Mon trou est béant, complètement explosé et le jus en coule telle une fontaine. Je peux à peine tenir sur mes jambes.
Avant de partir, il me dit :
- C'était bon, tu travailles ta chatte comme on a fait là, un peu tous les jours ! Maintenant je veux rentrer en toi comme tout à l'heure ! Ok ?
Exténué, vidé, comblé et encore tremblant, je réponds simplement :
- Oui.
Thomas part avec le sourire aux lèvres. Je prends une longue douche. Je touche alors mon trou qui est encore ouvert, boursoufflé, humide... Je kiffe trop !
A suivre...
Je tiens à préciser que cette histoire est réelle !
Merci à Thibaut pour ses révélations.
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