Chapitre-2
Salut,
Moi, c’est Thibaut. J’ai 32 ans, je fais 1m78 pour 68kg. Je suis châtain, j’ai les cheveux frisés mais assez courts, j’ai une barbe de trois jours. Je suis plutôt musclé, j’ai un physique élancé. Je ne suis pas vraiment poilu, juste un peu sur le torse et sur le pubis. J’ai une bite de 18 cm, assez fine, avec des couilles plutôt fermes.
Lors d’une soirée avec des potes, j’ai fait la connaissance de Thomas. Quand j’ai su qu’il était artisan électricien, j’ai pris son numéro de téléphone, car je savais que mes parents en cherchaient un. Très vite, on a sympathisé et il a vite capté que j’étais homo. Il m’a alors dit que ce qu’il kiffait, c’était de « soumettre les actifs gays pour en faire de bonnes femelles sur sa queue ! » Bien que je lui aie dit que je n’étais pas intéressé car j’étais seulement actif, il a finalement bien réussi à me soumettre et à me baiser !
Après m'être fait défoncer comme une pute par Thomas, j'ai besoin de me retrouver, je suis un peu déboussolé. Ma virilité en a pris un sacré coup, il m'a bien lopé, humilié, soumis... et j'ai aimé ! Mon corps a pris du plaisir, beaucoup d'ailleurs. Quand je repense à cette baise intense, ça me met mal à l'aise... mais je bande quand même en m’imaginant sentir sa peau, ses mains, sa queue, en entendant sa voix virile... C’est bizarre !
Quelques jours après cet expérience incroyable, je me reprends et je baise des mecs, autant que je peux, comme pour me prouver que je suis encore un actif, un vrai, un pur, un dur ! Je reste plus d'une semaine sans avoir de nouvelles de Thomas. Il m’envoie un texto pour me dire qu'il irait bien courir, et il me demande si ça m'intéresse. J’hésite quand même, puis j’accepte. On court ensemble, c’est cool, pas un mot de notre baise. Je suis finalement soulagé. Mais en me quittant, il me propose :
- Ça te dit qu’on se retrouve demain soir autour d'un verre dans un bar
- Oui, avec plaisir.
Le lendemain, je débauche et je rentre me doucher, me changer, me parfumer, me peigner convenablement. Puis, je vais ensuite le rejoindre. Il vient d'arriver, je m'installe sur un tabouret à côté de lui, on commande, on boit, on discute comme deux potes. L’ambiance est détendue et sympa. A un moment, je reconnais un mec que je vois de temps en temps au sport. Il est avec des potes, on échange quelques mots. Puis, il finit par partir en nous lançant :
- Bonne soirée !
Thomas répond alors :
- Ça devrait aller !
Là, il se penche vers mon oreille, il pose sa main sur ma cuisse et il me chuchote :
- Tu me viderais pas les couilles, là ? J'ai grave envie de ton petit cul de chienne ! Touche, je bande !
Il prend ma main et il la pose sur son paquet déjà bien dur. La situation, sa voix, son ton de mâle domi, son parfum, l'alcool.... Je finis mon verre cul sec, je le mate en descendant sur son paquet et je dis :
- Bon, je crois que je vais passer à la casserole !
Il rigole, il finit son verre et on quitte le bar. Il me pelote le cul dans la rue. A un moment, il me plaque contre une voiture pour me galocher. On va chez moi. Heureusement que je n’habite pas loin du bar, les fringues volent.
Thomas a 41 ans, il est typé méditerranéen, il a les cheveux et les yeux noirs, le teint légèrement halé, il alterne avec une barbe de trois jours ou rasage de près. C'est un mec de plus d'1,85m, bien charpenté qui dégage une virilité et une autorité naturelles. Il a un torse musclé, un peu poilu sur le haut. Une fine bande de poils part du nombril. Il a un beau morceau de 19 cm, assez large, veinée, un gland dur et rose, presque rouge d'envie. Il a deux belles couilles rondes et un peu pendantes.
Thomas lève son bras et il plaque ma tête contre ses aisselles que je lèche. Puis, je passe à ses tétons et son ventre. Je me retrouve à genoux et il se met à me biffler avec sa queue tout en m’insultant.
- Ouvre ta bouche, dit-il soudainement.
J’obéis et il crache un gros mollard dans ma bouche... avant d’y planter ses couilles, puis sa grosse queue dure et luisante de mouille. Je le suce avec envie. Il me met des baffes et il me félicite de le sucer aussi bien. Mais tout d’un coup, il prend ma tête dans ses mains et il commence à me baiser la gueule. Il se défoule dans ma bouche. Ses couilles me frappent le menton. Je bave de partout. Et comme la dernière fois, je bande sous le traitement dominant de ce mâle !
Ensuite, il me laisse le sucer tandis qu’il se baisse au-dessus de mon cul et qu’il se met à me doigter. Il me met directement 3 doigts ! Je sursaute mais je le laisse faire. Son majeur va titiller ma prostate, ce qui me fait gémir. Mais sa teub empêche les sons de sortir de ma bouche. Puis, il passe derrière moi et il admire mon cul. Il se met à le fesser en disant :
- T’as un beau cul de femelle ! Je crève d’envie de le défoncer et de le remplir au jus !
Ses fessées deviennent plus intenses, je ne peux m’empêcher de crier. Il continue :
- Tu la veux ma bite, hein, salope ?
- Oui, hurlé-je
Alors, il me soulève littéralement et il me plaque le dos au mur. Mes jambes s’entourent autour de sa taille. Il m’avance le bassin vers lui et je sens son gland contre mon trou. Il pousse alors comme un malade et sa queue s’enfonce entièrement en moi. Je pousse un cri mi-douleur mi-plaisir. Il s’écrie :
- Ta gueule, encaisse et fais-moi jouir, salope !
Je le cramponne fermement tandis qu’il se met à me démonter le cul. Je bouge mes hanches pour accentuer ses va-et-vient. Il semble kiffer :
- Oh putain, t'es bien chaude en plus, vas-y, bouge ton cul, c'est bon !
Il me baise ainsi, adossé au mur, accroché à lui pendant un bon moment. Je me sens vraiment comme une pute. J’apprécie ce gros morceau qui fait des allers-retours en moi. Je sens son souffle puissant sur ma joue. N’en pouvant plus, je lui roule une grosse pelle. Il me rend à ma grande surprise mes baisers.
A un moment, il s’enfonce bien au fond de mon cul et il jouit poussant un long soupir. Tout son corps tremble sous l’effet de son orgasme. Je sens mes entrailles se faire mitrailler par 6 giclées qui me remplissent. Il reste quelques secondes ainsi, savourant sa jouissance, puis il sort doucement sa queue. Il me lâche, je repose mes pieds au sol. Son sperme coule sur mes cuisses. J’ai joui sur mon ventre et le sien, sans me toucher. Il me dit :
- Oh, tu nettoies ça !
Je lèche sans hésiter son ventre en me faisant traiter de bonne lécheuse de sperme. Il me fait aussi nettoyer sa queue et ses couilles. Il me demande :
- T'as aimé te faire casser le cul, hein ?
- Oui, c'était bon !
- T'es une putain de bonne femelle, toi, je te veux au bout de ma queue en régulier !
Sur le moment, je ne sais pas quoi dire. Il me prend alors le menton entre ses doigts, il me soulève la tête, il approche son visage très près du mien, il me regarde intensément dans les yeux et il me dit :
- T'as compris salope ? Je te siffle, tu ramènes ta chatte de pute sur ma queue !
- Oui, dis-je instantanément
- Ben voilà, t'es bien à ta place, là !
Il s’habille et il part, me laissant le cul dégoulinant de sperme, complètement déboussolé. Et depuis, j'ai une boule d'excitation à chaque fois que je reçois un message !
A suivre...
Je tiens à préciser que cette histoire est réelle !
Merci à Thibaut pour ses révélations.
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