Mohammed, mon propriétaire que vous connaissez si vous me lisez régulièrement, est parti profiter de quelques jours dans sa famille à Paris. Il me manque déjà mais peut-être plus encore en ce moment. J’ai une fuite d’eau dans la salle de bain. La tuyauterie n’est plus en bon état dans l’immeuble et mes essais ne suffisent pas à faire couler l’eau qui s’échappe du robinet de la douche. Que faire ? Ce que je fais quand j’ai besoin de conseils pratiques, appeler ma mère. Coquine elle a tout raconté de sa visite avec moi au dispensaire à ma sœur et mon père. J’avais déjà une étiquette de chèvre dans la famille et cela ne va pas arranger mon image. Elle est incapable de garder sa langue quant à ma vie sexuelle. Elle ne le dit pas mais elle se montre fière de mon succès auprès des hommes avec mon corps lisse et mince, juvénile à souhait. Après un bref moment d’hésitation, je l’appelle. « Coucou c’est Damien, j’ai besoin de toi dans l’ap
part. Mohammed est parti quelques jours et j’ai un souci de plomberie. Tu aurais un ouvrier à me conseiller, pour qu’il puisse venir rapidement ? »
A l’autre bout du fil j’entends ma mère rigoler, un rire presque moqueur. « Mais oui Damien, ne t’inquiète donc pas comme cela. Tu sais que je connais beaucoup d’ouvriers, vu que les membres mâles de la famille ont deux bras gauches. J’ai Momo comme contact pour la plomberie. Je l’appelle et nous viendrons cet après-midi. Pour le paiement, il s’arrangera avec toi. Un conseil, effectue un lavement intime. Ton petit corps efféminé risque de l’intéresser. » Sur ces mots ma mère raccroche.
Et allons donc, je sens que je vais encore devoir me faire prendre. Dans l’attente de la venue du plombier et de ma mère, je procède à un peu de rangement dans l’appart. Rangés les magazines cochons donnés par Mohammed, mais aussi les accessoires utilisés quand il vient avec ses amis. Dans la salle de bain je range ma lingerie. Mais je laisse ma collection de godes dressée sur l’étagère au-dessus de la baignoire. Pour le côté fun, je laisse un string ficelle sur le bord du lavabo. Au tour de mon lavement maintenant. Je me déshabille rapidement, ne sachant pas quand mes hôtes vont débarquer. Nu dans la baignoire, je glisse l’embout spécial de la douche dans mon anus pour un lavement intime approfondi. J’imagine mes amis lecteurs que vous faites souvent cela aussi quand vous servez de passif. L’eau chaude qui jaillit en moi m’excite. Je continue jusqu’au moment où l’eau qui s’écoule est devenue claire. Je m’essuie rapidement, avant d’enfiler un
tshirt et un minishort blanc. Le reflet dans le miroir renvoie l’image d’une belle petite salope, avec cette bosse à l’avant du short.
J’ai bien fait de ne pas tarder car la sonnerie de l’interphone résonne presque aussitôt. Il s’en est fallu de peu que je ne sois pas prêt. « Montez, j’ouvre » dis-je dans le haut-parleur de l’immeuble. Des voix, des rires se sont entendre dans l’escalier. Et voilà ma mère entrer dans l’appart avec le plombier. La grosse cinquantaine, bedonnant, nord-africain et poilu comme en témoigne la touffe qui déborde de sa chemise. Avant de me dire bonjour il me détaille de haut en bas, en s’attardant sur mon pubis. Ma mère est en petite robe d’été même si nous sommes encore qu’au tout début du printemps. A voir ses tétons pointer à travers le tissu elle n’a rien dessous. « Bon Damien, où est le souci » me demande le plombier, la trousse à la main. « Je vous guide » je lui réponds en passant devant. Dans le couloir qui mène à la salle de bains je sens le regard du plombier sur mon petit cul moulé. Arrivé dans la salle de bains je m’écarte po
ur laisser entrer le plombier et ma mère qui ferme le ban. « C’est là, sous le mitigeur de la douche que cela coule » dis-je en me baissant au-dessus de la baignoire, mon short descendu un peu par la pose. J’imagine que le plombier a vu la naissance de ma raie. Lui ne semble pas m’écouter et mate les godes alignés. Il comprend qu’il peut profiter de la situation. Aidé par ma mère : « ah oui Momo, je te l’avais dit, Damien aime les jeux sodomites. Si tu savais ce que j’ai vu avec lui… D’ailleurs il va te montrer son œillet, tu le constateras toi-même. Allez Damien, déshabille-toi. Montre à Momo cet orifice dans lequel tu invites tes amants. » Sans devoir me le dire deux fois, je baisse mon short devant Momo. Je devine une érection naissante dans pantalon, baissé assez bas sur ses reins. Par la même occasion je retire mon tshirt. Nu, offert, je me baisse sur le bord de la baignoire. Ma mère pose ses mains sur mes fesses et les écarte au maximum, au
point de me faire presque mal. Le spectacle doit plaire à Momo au vu de sa langue passée sur ses lèvres. C’est vrai que mon cul est plutôt appétissant avec mes globes fessiers bien ronds, blancs et si doux. Quant à mon petit trou il témoigne du passage important de phallus depuis mes premières années et mon coming out familial. Serré, étoilé et dépourvu de poils mon anus constitue ma fierté, cette source de désir. Momo glisse une main entre mes fesses, un doigt frotté sur l’anus. Puis retrouve son côté professionnel. Il prend ses outils et en quelques minutes répare la fuite. Penché sous le mitigeur il dévoile, involontairement sa raie fessière. Un beau et gros cul de mâle. Poilu. Je glisse une main devant lui et je déboutonne son pantalon. Lui laisse faire, tout occupé à visser un nouvel embout. De mes deux mains je fais glisser le pantalon de Momo, puis son slip. Le voilà cul nu devant moi et ma mère. Des fesses imposantes s’offrent à moi.
Sans hésiter je me penche pour brouter la raie offerte, ma langue atteint l’anus de l’ouvrier. Une odeur virile me pénètre dans la bouche. Momo laisse faire, ouvre les cuisses. Ma mère ne reste pas inactive. Elle s’approche, fait glisser sa robe et, toute nue, glisse une main entre les cuisses de Momo pour serrer le gros membre poilu avant de le masturber. Momo gémit. Autant du fait de ma langue entrée en lui que par les caresses masturbatoires de ma mère dont la chatte épilée ruisselle de jus. Je reprends mon souffre et je croise son regard. Momo se relève. Je m’écarte un peu. Lui est en grosse érection et il semble ne pas savoir choisir entre moi et ma fente de ma mère. Qui aura doit aux premiers assauts du plombier. Il la pousse contre l’évier et la pénètre tout en malaxant ses beaux gros seins. Elle crie e,t après quelques coups de phallus, jouit. Son jus s’écoule sur le carrelage de la salle de bains. « Lèche-le Damien, jusqu’à la dernière g
outte » m’ordonne Momo. Vu sa carrure je n’ose refuser. Et à quatre pattes je lèche les taches de cyprine abondamment versées sur le sol. Mon cul offert par la position prise donne envie à Momo, qui m’encule d’un coup, jusqu’à la garde. J’en ai le souffle coupé tant le phallus prend de la place dans mon œillet, ouvert au maximum. A part les queues de mes amants africains rencontrés lors des vacances passées à Dakar je n’avais jamais eu un tel sexe en moi. Il prend plaisir à me dominer le coquin, et prend son temps. Il ralentit la cadence pour durer. Ma mère s’occupe de ma verge, comme elle l’a fait avec Momo. Elle me masturbe, je jouis vite. Mais elle continue. Elle sait que j’aime cela, quand le gland devient sensible, douloureux. Je crie, je gémis sous l’emprise de Momo et de ma mère.
Elle a toujours aimé cela, s’occuper de mon corps épilé. Elle qui a débuté cette pratique de me débarrasser de mes poils, pour me féminiser et me faire ressembler à Dominique ma sœur. Quand le docteur Ali au dispensaire a parlé de m’opérer pour me couper le pénis elle a eu une étranger lueur dans le regard. Combien de temps a duré cette séance, je ne sais plus. Mais elle m’a laissé vidé, en sueur, nu, couché sur le sol. Et excité par le spectacle de ma mère en train de sucer Momo, penchée entre les cuisses du plombier et me laissant voir sa raie et deviner son anus. Après avoir remis leurs tenues en ordre mes deux visiteurs me laissent dans la salle de bain, presque en état de choc par ce moment. « Damien, la douche est à toi, réparée. Tu vas en avoir besoin pour te refaire une beauté ma belle. Merci pour ce moment. Je repasserai plus tard pour ton évier de cuisine, je vois qu’il goutte aussi » me lance Momo en traversant l’appart pour sortir
. Ma mère, encore toute nue, la chatte mouillée me précède dans la douche. Elle en a aussi besoin que moi. Et si je la rejoignais ? Son regard semble approbateur. Nous l’avons tant fait quand j’étais étudiant.
Colinot
tonlibertin@netcourrier.com
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