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HISTOIRE

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Jeux interdits à l'aéroport

Le hall d’aéroport bourdonne de l’activité fébrile des départs et des arrivées.
Valises à roulettes, annonces vocales indistinctes, brouhaha des conversations...

J’attends mon vol, assis sur une banquette en métal froid, le regard perdu dans le flux incessant des voyageurs, tentant d’échapper à l’ennui et à l’impatience de l’attente. Les sièges sont presque tous occupés, côte à côte, par des voyageurs anonymes, chacun enfermé dans sa bulle, ignorant ses voisins.

Je suis vêtu d’un blouson gris léger sur un t-shirt blanc à la coupe ajustée, jean bleu clair qui moule avantageusement mes cuisses musclées et mon paquet et d’une paire de baskets blanches. Je porte mes ray ban, remontées sur le devant de mon crâne.

C’est à cet instant précis qu’il s’assoit à côté de moi. Un homme entre trente-cinq et quarante ans, silhouette athlétique, costume de cadre soigné, mais décontracté. Une aura de virilité tranquille émane de lui, une confiance en soi un peu distante qui ne me plaît guère. Je parierais qu’il est hétérosexuel : son allure, sa façon d’occuper l’espace, l’indifférence apparente qu’il affiche à mon égard.

Nos jambes se frôlent... Immobile, je fais mine de consulter mon téléphone, mais sa proximité m’est palpable, la chaleur de sa cuisse contre la mienne, à travers le tissu léger de nos pantalons. Un contact banal, certes, mais qui résonne étrangement en moi, dans cette atmosphère neutre et impersonnelle de l’aéroport.

Je perçois un léger déplacement de sa jambe, comme un ajustement, mais il ne la retire pas. Ce subtil signe me trouble : est-ce une coïncidence, ou une forme d'acquiescement passif ?

Le contact se prolonge, légèrement... Est-ce intentionnel ? En effet, nos cuisses se touchent désormais pleinement, la chaleur se propage, discrètement, sous le regard indifférent de la foule. Un trouble léger s’insinue en moi, une tension dans le bas ventre, fruit de cette proximité inattendue et persistante..

Sous le prétexte de scruter le panneau des horaires de vol, je jette un coup d’œil discret dans sa direction. Son profil est ferme, viril, la mâchoire carrée, le regard concentré sur un point lointain dans le hall : rien ne trahit qu’il perçoit le contact de nos cuisses, la tension subtile qui se tisse entre nous...

Pourtant, le contact de nos cuisses se fait plus insistant, plus délibéré, car en tentant de resserrer les miennes, la sienne reste obstinément collée. Ma queue fait un léger un soubresaut dans mon slip.

Je jette un nouveau coup d’œil furtif vers lui et je me demande s’il ressent la même chose... Puis, presque imperceptiblement, sa propre braguette gonfle légèrement sous le tissu de son pantalon... Une bosse discrète, mais révélatrice : il bande lui aussi dans l’anonymat de l’aéroport ! L’incongruité de la situation ajoute une dimension excitante et interdite à l’instant. Son regard insistant, chargé d'une promesse silencieuse, amplifient mes propres désirs.

Un frisson d’excitation me parcourt, mêlé à une dose d’appréhension et d’audace. Le jeu est lancé, désormais explicite, même s’il reste muet et clandestin. Qu’ allons-nous faire ? Jusqu’où oserons-nous aller dans cet espace public, sous le regard potentiel de centaines de voyageurs indifférents ? L’homme pose alors négligemment sa sacoche sur ses genoux, et se tourne légèrement vers moi, me lance sourire, dirige son regard vers ma braguette puis ver la sienne.

Lentement, délibérément, je laisse alors ma main glisser le long de ma cuisse, puis je la fais remonter subtilement jusqu'à sa braguette. Mes doigts palpent délicatement le relief de sa bosse, une caresse à peine perceptible mais chargée d’intention. Une infime tension crispe déjà son corps.

Avec une audace croissante, mes doigts se font plus pressants sur sa braguette. J'esquisse un mouvement circulaire et je sens le volume de sa bite s'affirmer sous mes doigts...À cet instant précis, sa main se pose sur ma propre braguette. Ses doigts, chauds et fermes, encerclent délicatement la base de ma queue, exerçant une légère pression qui me fait frissonner et je pousse un léger souffle coupé de contentement.

Un contact mutuel et clandestin s’établit. Nos doigts explorent chacun la braguette de l’autre. Un frisson d’excitation pure me parcourt. Le jeu est pleinement engagé, nos braguettes devenant des zones de chaleur intense. Nos bouches s’entrouvent et laissent échapper de légers souffles.

Poussé par une excitation irrépressible, je laisse mes doigts glisser plus loin sur sa braguette, son érection s’accentue, sa bite grandit rapidement et mes doigts explorent sa longueur. J'effleure la base, la rondeur moite de ses couilles.

En réponse, ses doigts sur ma braguette gagnent en précision, esquissant de lents mouvements de va-et-vient le long de ma queue, couchée sur le côté de mon bas-ventre et complètement bandée... Sa pression se fait plus intense et la chaleur à l'intérieur de mon pantalon s’accentue.

De mon côté, j'intensifie la pression de mes doigts sur sa braguette, observant son corps se tendre davantage et sa respiration devenir haletante. Je pose mon pouce sur son gland qui pointe désormais le long de son aine droite, et j’effectue des mouvements circulaires dessus... je sens une légère moiteur à travers le fin tissu de son pantalon de costume.

Nos deux mains sur nos verges respectives sont le centre de notre monde secret, dissimulé aux yeux du monde par une simple sacoche. Dans le brouhaha indifférent de l’aéroport, nous sommes liés par ce jeu tactile et brûlant, prêts à franchir les dernières limites du désir interdit : l’orgasme n’est pas loin.

La tension est à son comble, un souffle court et rapide m'échappe, et je sens son corps se contracter légèrement sous ma main, signe que l'orgasme est tout proche, tandis que mon propre bassin commence à se contracter involontairement.

Mais, presque simultanément, comme si un signal invisible avait circulé, nous nous levons en silence, ménageant une distance qui ne trahisse rien, mais nos corps restent aimantés, unis par une attraction aussi invisible que puissante.

Sans un mot, sans un seul regard qui pourrait éventer la nature de notre accord tacite, nous prenons la direction des « Toilettes », discrètement signalées au fond du hall, pour achever plus tranquillement ce jeu érotique.

J’avoue que cette marche côte à côte, au milieu de la foule anonyme, avec le secret brûlant de notre jeu clandestin vibrant sous nos vêtements, ajoute une dimension nouvelle à mon excitation, un frisson d’audace et de pure transgression.

Le seuil des toilettes est franchi sans un regard, sans une hésitation, nous glissant dans un espace plus intime, plus confiné, mais paradoxalement public et chargé de risques...

L’atmosphère ici tranche avec le tumulte du hall. L’air, saturé d’un mélange âcre de désinfectant et d’une forte senteur d’urine, rappelle la fonction première de ces lieux et la reliant de manière excitante à notre propre jeu érotique.

Par chance, l’espace est clairsemé. Seuls quelques hommes, absorbés par leurs besoins, évoluent avec indifférence. Des rangées d’urinoirs en émail blanc renvoient la lumière blafarde des néons, tandis que des portes closes marquent l’alignement des cabines.

Devant une série de cabines inoccupées, nous stoppons notre avancée. Un silence lourd s’installe, uniquement ponctué par le gargouillis lointain des chasses d’eau et le murmure étouffé du hall. Nos corps sont proches, la chaleur de nos peaux traversant les habits. Nos yeux explorent le corps de l’autre, s’attardant sur nos braguettes, déformées de manière obscène par notre érection tenace depuis de longues minutes.

D’un hochement de tête très discret, il m'indique une cabine isolée, au fond de l’allée. Sans attendre ma confirmation, il s’avance d’un pas décidé, ouvre la porte et disparaît à l’intérieur. Je le suis sans hésitation.

Désormais coupés du monde extérieur, nous voici face à face. Nos corps se frôlent et la tension palpable se mue en une énergie sexuelle incandescente, prête à exploser. Sans un mot, il déboucle sa ceinture, puis fait glisser la fermeture éclair de son pantalon de costume. J’imite son geste, synchronisé par un désir irrépressible, ouvrant ma ceinture et déboutonnant la braguette de mon jean.

Nos sexes s’échappent, jaillissant de la prison de nos slips tachés de mouille comme des bêtes sauvages. Son pénis se dresse, court et massif, d’un brun chaud, le gland rougi et brillant de mouille. Le mien, plus sombre, au gland généreux et bien dessiné, est tout aussi dur et excité : deux bites dressées qui se font face, offertes à nos regards avides, palpitantes sous l’afflux sanguin, dans l’intimité défendue de cette cabine de toilettes.

Un silence empreint d’une tension érotique intense emplit l’air confiné. Nos regards s’aimantent, tandis que nos mains, presque machinalement, se referment sur la queue de l’autre... La branle commence, d’abord lent et exploratoire, puis s’accélérant. Nos mouvements gagnent en vitesse et en insistance à mesure que l’excitation nous submerge.

Ma main se pose sur son torse, déboutonnent deux ou trois boutons, glissent sous sa chemise et vient caresser ses pectoraux poilus. De son côté, je sens sa main remonter le long de ma cuisse et venir se poser sur mes fesses ce qui m’arrache un petit soupir de plaisir.

L’odeur de nos queues, subtil mélange de mouille et de moiteur viriles sature l’espace exigu, tandis que l’odeur d’urine ambiant ajoute une touche sauvage et interdite à notre étreinte clandestine. Je perçois aussi une légère odeur musquée émanant de sa peau, un parfum animal qui excite encore davantage mes sens.

Je peux désormais observer sa bite de près : les veines bleutées sous sa peau mate, le gland rouge et humide, les couilles tendues, le pubis poilu... La mienne répond à son désir, gonflant davantage sous ses caresses, la peau sensible frémissant à chaque glissement de sa main. De sa main libre, il parcourt doucement la rondeur de mon cul, une sensation électrique me parcourt.

Nos respirations se font plus courtes, plus haletantes, nos gémissements contenus se mêlant en un souffle chaud et vibrant. La tension monte par vagues de chaleur de plus en plus pressantes, rythmées par nos mouvements frénétiques. L'air autour de nous semble vibrer de notre excitation commune.

Nos mains travaillent en parfaite harmonie. Le rythme s’emballe, nos corps se tendent, les gémissements étouffés frôlent l’explosion. La chaleur atteint son paroxysme, une vague de spasmes me parcourt, puis lui aussi.

Au moment où mon orgasme me submerge, mes doigts triturent son téton droit, sa tête bascule en arrière. De son côté, ses doigts s'insinuent dans ma raie, se posant sur ma rondelle. Je sens mon cul se contracter involontairement sous cette caresse inattendue, une vague de plaisir intense se propageant dans tout mon corps.

Nos mains se crispent sur nos queues, nos respirations deviennent saccadées, puis un long râle contenu résonne dans l’espace clos, le sperme jaillit sur nos doigts, souillant nos verges, tombant au le sol avec un bruit mat, tachant le bas de nos pantalons...

Un instant, nous restons figés, les corps encore vibrants, les mains agrippés aux bites, nos regards perdus dans le vague. Un instant de connexion silencieuse et charnelle gravé dans l’intimité suffocante de la cabine.

Nos regards se décollent enfin, une pudeur soudaine remplaçant la flamme du désir. Sans un mot, nous nous séparons, chacun se tournant vers la cloison pour se rhabiller en silence.

Le retour au monde extérieur est étrange, presque irréel. Nous sortons de la cabine l’un après l’autre, sans un regard, sans un signe, laissant derrière nous l’odeur entêtante de notre sperme mêlé.

Le hall d’aéroport nous engloutit à nouveau, son brouhaha indifférent effaçant les traces visibles de notre rencontre clandestine. Chacun reprend rejoint sa porte d’embarquement, redevient un étranger parmi des milliers d’autres...

Jerem384

frenchbi69@laposte.net

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