Deux flics

1 | Le stagiaire converti

Il est 17 heures passées quand nous quittons la banlieue pour rejoindre le commissariat de Police. Mais, arrivés à proximité de celui-ci, je braque soudainement à droite pour prendre la route qui sort de la ville. Mon adjoint se tourne vers moi : « Vous allez où, lieutenant ? »

Je ne réponds rien, me contentant de le regarder du coin de l’oeil… Ce jeune homme est mon stagiaire depuis une semaine. C’est un beau mec de 23 ans, tout juste sorti de l’école de Police. Il n'est pas très grand, 1,70 m environ, mais finement musclé, un peu gras ; ses bras et ses jambes font de jolis reliefs sous son uniforme. Sa braguette semble prometteuse et son cul est bien rebondi.

Lucas, c’est son prénom, ne sait pratiquement rien de moi, surtout pas que je suis à la voile et la vapeur et que je suis le queutard du commissariat… En cette fin de journée, j’ai besoin d’en avoir le cœur net… il faut que je sache si ce jeune mec qui semble gêné quand il me regarde et qui lorgne avec assiduité sur le relief de ma braguette n’est pas un ganymède pratiquant ou refoulé. « Il faut que je te montre un truc… », lui dis-je simplement.

Après cinq minutes de route dans la campagne, je quitte la départementale pour m’engager sur un chemin de terre, bordé de champs et au bout duquel se tient une vieille grange abandonnée, environnée d’arbres. C'est un lieu que je connais bien… très pratique pour se faire sucer, bouffer une chatte ou défoncer un cul, entre deux missions.

Je coupe le moteur après avoir garé le véhicule sous le porche du vieux bâtiment. « Qu’est-ce qu’on fait là ? », me demande Lucas, éberlué.

Je ne réponds pas tout de suite. Nos regards se croisent. Il règne une chaleur incroyable dans l’habitable. J’ouvre les fenêtres et l’air frais de la grange pénètre dans le véhicule, accompagné d’une odeur de foin. « J’ai chaud, pas toi ?!
- Quoi ?
- Je sais que tu me regardes… »

Je déboutonne le haut de ma chemise, laissant mes pecs apparaître, ma chaine en or reposant sur mes poils noirs bouclés. Puis je porte ma main droite à la braguette saisissant le volumineux paquet. « Ca fait une semaine que tu regardes ici, n’est-ce pas ? »

Lucas reste interdit. Des perles de sueur apparaissent sur son front, ses joues deviennent rouges. Il bafouille, sans toutefois détacher son regard de ma braguette, les lèvres entrouvertes. « Je… Non… Qu’est-ce vous racontez ?! »

Je bande déjà à fond et sans rien répondre, je baisse lentement la fermeture éclair de mon pantalon de serge bleu, déboucle la ceinture, défais le bouton et d'un coup brusque, soulevant mon bon cul, je glisse mon fute sur le bas des cuisses. J’achève de déboutonner ma chemise. Je suis en slip blanc, déformé sur le côté droit par une érection vigoureuse. « C’est beau hein ? Ça te plaît ? », lui dis-je en caressant ma barre et en la pressant au niveau du gland avec le pouce pour bien en faire ressortir la forme.

Lucas ne dit rien… je le sens troublé et sa main droite s'est crispée sur le haut de sa cuisse, à proximité de son entrejambe.

Alors, je baisse mon slip et ma queue bandée vient claquer sur le bas de mon ventre. Je la saisis doucement de ma main gauche, achève de décalotter le gland, et commence à imprimer un léger va-et-vient, du bout des doigts, pour que Lucas puisse admirer ma bite correctement. Je pousse de légers soupirs de plaisir. Lucas ne dit rien, mais je le vois déglutir. « C'est ce que tu voulais voir ? … Elle est belle, … hein ? »

Lucas a les yeux fixés sur mes dix-huit centimètres à la peaune brune... Une douce odeur de queue de fin de journée, subtil mélange de transpiration, de mouille, de saveur de couilles et d’urine, commence à envahir l’habitacle, tandis qu'une goutte de rosée pointe au bout de mon gros gland. « Tu veux la toucher ? … Savoir ce que ça fait de la tenir entre tes doigts ?... Avoue ça fait longtemps que t’en as envie ?
- Je… Je ne sais pas si je dois faire ça… je ne sais pas si… ».

Malgré son bafouillage, je sens mon jeune hétéro vaincu. Mon autorité et la soumission au chef accroissent son trouble. A en juger par l'état de sa braguette, il bande maintenant complètement. Ses yeux sont rivés sur ma queue. La goutte de mouille a fini par grossir et a glissé sur mon gland et avec mon pouce je l’étale sur celui-ci pour le faire reluire. « Allez ! Touche- là ! Essaie… Essaie, c'est le moment de savoir ! », lui dis-je, sur un ton autoritaire, mais empreint de lubricité.

Lucas avance doucement sa main vers ma bite et la saisit. Puis, après quelques secondes d'hésitation pendant lesquelles il semble éprouver la fermeté de mon sexe, et la texture de sa peau, il commence à me branler. « Oui, c'est bon mec… hum… continue comme ça… ça te plaît ?
- Oui… Elle est belle votre queue, lieutenant !
- Merci Lucas… Hum… T’arrêtes pas… Ah… c'est bon… »

Mon gland est devenu énorme… ce gland qui plaît tant aux mecs et aux nanas avec qui je baise. Je transpire beaucoup. Ma toison est humide et je sens de grosses gouttes de sueur perler le long de ma colonne vertébrale jusqu'au creux de mon cul déjà moite. « Sors ta queue maintenant… putain c'est bon… montre-la moi… hum tu branles bien… Et ouvre ta chemise ! »

Lucas abandonne ma bite. Lui aussi est complètement transpirant. Il déboutonne rapidement sa chemise, un torse musclé, légèrement poilu, aux tétons érigés apparait. Ca sent la transpiration… Ca sent le jeune mec en rut. Une ligne de poils descend vers son pubis. Il baisse son fute sur les cuisses ; il porte un boxer gris, délicieusement déformé par son excitation, maculé de sueur et mouillé à l’endroit du gland.

Il sort sa bite, une jolie bite d’environ seize à dix-sept centimètres, épaisse, légèrement foncée, renflée en son milieu, au gland de taille moyenne, rond et luisant. Il a beau tapis de polis bruns et frisés au-dessus de la queue. Je plonge directement dessus et commence à lui taillera une pipe en règle, tout en le branlant. Il ne s'y attendait pas : « oh… ah… c’est bon ! ».

Puis je m'arrête un moment... j'aime bien mater de près les bites qui me plaisent ; ça décuple mon excitation. Son gland est très agréable à regarder et sent bon quand j'y colle mon nez dessus ! Je me remets à le sucer… il pousse des soupirs de plaisir… je le sens bientôt proche du point de non retour, alors je m'arrête et je m’écarte brusquement. « Continue… c'est trop bon… j’allais venir !
- Justement… c'est pas encore le moment. Tu veux me sucer ?
- Je ne sais… j'en ai envie, mais…
- Mais quoi ? T’as jamais sucé ? Il y a un début à tout !
- Mais, je ne suis pas pédé !
- Ah ah ! C'est parce qu'on suce une bite qu'on est pédé… je sais que tu as une nana… Au pire, t’es bi !
- Tu crois ?! »

Je sens que je l'ai rassuré… ce jeune mec aime la bite et bientôt plus que la chatte. Ça fait une semaine qu'il me matte quand je suis en slip dans les vestiaires… Malgré toutes les précautions qu'il prend, j'ai remarqué les coups d’œil vers mon corps musclé et mon entrejambe. Je l’ai abondamment testé en mettant un nouveau slip blanc d'une marque différente tous les jours… Tout mon tiroir de slips y est passé !

Je tiens ma queue dressée dans ma main gauche. Une grosse coulée de mouille a glissé le long de la hampe et est venu s'écraser sur mes doigts. Ça sent maintenant bien le mec et la bite dans la voiture. Du bout des doigts de la main droite je caresse sa nuque. Il bande bien lui aussi, mais il ne tient plus sa queue. Je tire fermement sur sa nuque, et amène sa bouche juste au dessus de mon gland. « Suce… allez… sors ta langue ! … Tu en as envie !
- Oui… »

Il commence à me lécher le gland, comme si c'était une glace. « C'est bon, continue… enfonce- là ! ». Et sans ménagement, j’appuie sur sa tête et toute le colonne rentre entre ses lèvres charnues et humides. Sa pipe est d'abord moyenne, mais il s’améliore au fur et à mesure, si bien que je finis par lâcher sa tête et à m’abandonner à sa bouche.

Au bout de quelques minutes, il s'arrête. J’en profite pour sortir du véhicule, venir à son niveau, et ouvrir sa portière, la bite à la main. Il se tourne vers moi, se lève. Son pantalon tombe sur ses chaussures, son boxer est baissé au dessus des genoux, sa chemise ouverte. Sa bite se tient toute droite, le bout humide. Il est très beau et bien bandant.

Nous nous branlons mutuellement… les yeux rivés dans le regard de l’autre. Je m’approche et, de ma main droite, positionne nos queues l'une contre l'autre pour les branler en bouquet. Lucas est aux anges, tout son visage exprime un grand plaisir, ses lèvres sont entrouvertes, ses yeux mi-clos, son front trempé. Je suis dans le même état.

J’approche ma bouche de la sienne, incline mon visage. Il a un moment d’hésitation, mais nos lèvres s'unissent dans un baiser viril et incroyablement excitant. Ma main gauche quitte sa nuque et descend le long de son dos moite, puis sur sa raie humide, cherche son trou et s’y arrête. La jouissance est proche. Mais il faut voir une dernière chose… il me faut voir son cul !

Alors, je m’accroupis et le retourne sans ménagement… « Qu’est-ce que vous faites chef ?
- Je veux voir ton beau cul de près !
- Je… Mais… oh… mmm... »

Il ne dit plus rien, si ce n'est des râles de plaisir. J'ai ma langue sur sa rondelle… Sa raie humide et poilue sent fort le cul de mec. Instinctivement, il se penche pour me permettre de mieux accéder à ses fesses légèrement velues, fermes, musclées et délicatement potelées. « C'est trop bon chef… Hum… Mais… Qu’est-ce… »

Les deux phalanges de mon majeur pénètrent son petit trou rose, net et serré ! Je ressors mon doigt, crache sur sa rondelle, et le ré-enfourne sans ménagement ou presque dans son trou, j’atteins directement sa prostate ! Lucas n'est plus qu'un pantin animé par son plaisir. « Oh, putain… mais qu’est-ce vous me faîtes ?... Je… Ah !

- Je touche ta prostate, Lucas… Ce que les nanas devraient toutes faire à leur mec !... Voilà, c'est bien… Détends-toi… Oui, elles devraient toutes faire ça, au lieu de se contenter de mater leur cul et de s'en venter auprès de leurs copines : un cul de mec ça se lèche et ça se doigte ! »

Sous mon doigt expert, sa prostate à pris du volume, sa queue est dure comme un bout de bois. Son anus se contracte à plusieurs reprises autour de mon majeur, comme s'il essayait de le faire rentrer encore plus loin. Lucas fait mine de vouloir se branler. « Non ! Laisse ta main où elle est ! Tu t'en n'as pas besoin », je lui ordonne. Je ressors mon doigt, et attrapant ma paire de menottes, je lui entrave les mains dans le dos, en deux temps trois mouvements, comme un pro. J'ai décidé que la fin allait être plus sauvage, plus virile, plus dominatrice !

Lucas n'a pas bronché. Il semble apprécier la tournure de cette découverte du sexe entre hommes, lui qui est un stagiaire docile et admiratif de ma personne. Il a le torse couché sur le siège passager. Ma bite lourde et suitante se tient au garde à vous devant son trou qui clignote. Je déroule une capote. Je crache abondamment sur sa rondelle dilatée et positionne mon gros gland dessus. C'est la partie la plus difficile à rentrer pour un cul vierge, surtout avec les dimensions du mien ! Lucas gémit et agite la tête... J’approche ma bouche de son oreille et lui susurre : « Ça va ? … tu veux que j’arrête ? … Ou tu veux ma queue ?!
- Non allez-y chef ! »

Pour tout réponse, je pousse mon bassin d'un coup sec. Lucas laisse échapper un cri grave… tout le gland entre, comme avalé par l’adorable sphincter rougi de mon bel éphèbe. Lucas, le bel hétéro, fraichement sorti de l'école de Police, m'appartient définitivement. Après l'avoir soumis à mon autorité de chef, le voilà soumis à ma bite !

Celle-ci progresse dans le conduit anal désormais apprivoisé mais encore bien serré. Tellement serré, que je dois me contenir pour ne pas jouir dans ce trou si chaud et humide. Quand mon pubis atteint sa raie, je m'arrête quelques secondes pour que le rectum finisse de s’adapter à la colonne de chair. Puis je commence de grands va-et-vient, ne laissant que le gland coincé derrière le sphincter dans mes mouvements de recul.

Lucas tremble de tout son corps et pousse des râles de plaisir. Sa queue est bien dure et mouille le siège passager. Son dos est constellé de sueur. Quand je sens le conduit bien apprivoisé, j'accélère mes coups de bite, faisant claquer mon bas ventre contre son cul dont la chair ondule délicieusement !

Je ramène mes mains de son dos à ses fesses et écarte largement celles-ci pour permettre une meilleure pénétration, mais aussi pour admirer le travail de ma bite dans son adorable trou du cul. C'est toujours très excitant de regarder sa queue pénétrer les chairs intimes et moites d'un beau mec ! Je suis en nage et alors qu’habituellement je suis très endurant, je sens que je ne vais pas tenir longtemps.

C'est Lucas qui donne le signal de la fin, car sa prostate ravagée par le passage répété de mon gland finit par céder et expulse le plaisir accumulé pendant cette longue séance de sexe… Lucas pousse un grand râle de plaisir, le visage tourné vers moi, les yeux blancs, la bave au lèvres, le visage rougi… Son cul se contracte à plusieurs reprises autour de ma queue, au rythme des giclées que la sienne déverse sans vergogne sur le siège passager. Le plaisir me happe à mon tour…

Je sens ma bite durcir, mon périnée se contracte à une demi-douzaine de reprise, expulsant mon foutre chaud au fond de la capote tandis que je donne de derniers coups de bassin désordonnés, les mains crispées sur le cul de Lucas, les doigts blancs tellement ma prise est ferme… Avachi sur le dos trempé de Lucas, je savoure les minutes qui suivent cet intense orgasme.

En cette fin d'après- midi, Lucas vient d'avoir le meilleur aperçu du sexe entre hommes… Le seul vrai plaisir sexuel qui existe !