Je m’appelle Neron, et j’ai chopé ce Maître sur un site qui recense les lieux de drague, un truc bien glauque où les mecs balancent leurs plans cul hardcore. J’ai la trentaine, je suis grand, 1m89, avec des cheveux blonds qui partent un peu en vrac, et un corps plutôt musclé grâce au sport que je fais depuis des années. Mais là, ça comptait pas : pendant des semaines, on a tchatté, il m’envoyait des ordres qui me faisaient bander direct. Il m’a forcé à mettre une cage de chasteté trois jours avant, et il m’a filé rencard dans une forêt paumée aux alentours de Rouen, un spot qu’il avait trouvé sur ce site. J’y suis allé, le bide serré, ma queue coincée dans le métal qui me râpait à chaque pas. Ce mec que j’avais jamais vu en vrai me tenait déjà par les couilles, et j’adorais ça.
Avant de partir, je lui avais lâché un truc bien clair sur le tchat : "Dresse-moi, fais de moi une vraie lope soumise, pousse-moi dans la dégradation, j’veux aller au bout du truc." Il m’a répondu en se marrant : "T’inquiète, tu vas prendre cher." Et putain, il a pas menti. Dans cette forêt près de Rouen, il faisait sombre, juste un peu de lumière qui passait entre les arbres. J’étais là depuis une heure, à genoux dans la boue, à flipper et à kiffer en même temps. Mes fringues étaient trempées, mes mains pleines de terre, et je sentais la cage qui me serrait encore plus à force d’attendre.
Puis j’ai entendu ses pas, lourds, qui faisaient craquer les branches. Il a débarqué, grand, baraqué, avec une laisse en cuir qui pendait dans sa main. Il m’a maté de haut, un sourire dégueulasse sur la gueule, et il m’a collé le collier direct autour du cou. Il a tiré un coup sec, ça m’a fait mal. "À quatre pattes, sale lope," qu’il m’a balancé, sa voix bien grave qui m’a fait frissonner. J’ai obéi, je rampais dans la merde, mes genoux s’enfonçaient dans la terre molle du coin, et lui, il marchait à côté, tranquille. "T’es qu’une merde, une chienne bonne à rien," qu’il m’a dit en rigolant, même si avec ma taille et mes muscles, j’aurais pu le démonter. Mais non, j’étais là, à ramper pour lui.
Il m’a traîné jusqu’à une clairière, un de ces spots chelous autour de Rouen qu’on trouve sur le site de drague. Là, y’avait des mecs planqués dans l’ombre, des voyeurs qu’il avait rameutés en postant l’annonce en ligne. J’ai vu leurs silhouettes, et mon cœur a cogné comme un taré, mélange de honte et de kiff. "T’as voulu jouer la pute sur le site, hein ? On va voir si t’assumes," qu’il m’a lancé. Il a sorti une petite bouteille de poppers de sa poche, l’a ouverte et me l’a collée sous le nez. "Sniffe, salope, ça va t’ouvrir la tête." J’ai inspiré fort, le truc m’a brûlé les narines, et d’un coup, tout a tourné, ma tête était légère, mon corps prêt à tout encaisser.
Il a baissé son froc et m’a collé sa bite devant la bouche. "Suce, et vite." J’ai ouvert grand, encore stone du poppers, et j’ai pompé sans capote, sa queue bien dure qui me remplissait la gorge. Les mecs autour mataient, je sentais leurs yeux sur moi, sur mon corps musclé plié en deux comme une lope, et ça me faisait vriller. Il m’a chopé les cheveux, il guidait ma tête, et il se foutait de ma gueule pendant que je m’étouffais dessus. "T’aimes ça, sale chienne, t’es faite pour bouffer du foutre." À un moment, il m’a repris du poppers, m’a forcé à sniffer encore, et j’étais complètement parti, la bouche ouverte, prêt à tout.
Puis il a lâché le signal aux autres : "Venez, profitez de cette lope." Ils se sont ramenés, un par un, ils m’ont baisé la bouche sans pitié. Y’en a qui me tenaient la tête, d’autres qui me traitaient de pute ou de sac à sperme. Le Maître leur filait du poppers aussi, l’odeur flottait partout dans cette clairière près de Rouen, et moi, j’étais dans un brouillard, à encaisser leurs bites, les joues en feu, les yeux qui coulaient. Ma cage me faisait un mal de chien, ma queue voulait exploser mais pouvait pas, et ça me rendait encore plus dingue.
Il ramassait les capotes que les mecs balançaient après s’être vidés sur moi ou dedans. Il les ouvrait une par une, versait tout dans une gamelle en métal, un truc bien gluant qui puait la baise. Entre deux, il me remettait du poppers sous le nez, "pour que t’oublies qui t’es," qu’il disait. Quand le dernier voyeur a fini, il a posé la gamelle devant moi. Ça brillait sous la lune, dégueulasse. "T’as été une bonne salope, mais t’as pas fini. Bouffe tout, jusqu’au bout."
J’étais crevé, la tête en vrac, mais il m’a claqué le cul avec la laisse. "Magne-toi, sac à foutre, ou je te laisse pourrir dans cette forêt de Rouen." J’ai sniffé une dernière fois le poppers qu’il me tendait, et j’ai plongé la gueule dans la gamelle. J’ai léché cette merde, ça collait, ça puait, ça me brûlait la gorge, mais je l’ai fait. Il rigolait, les derniers mecs qui restaient se barraient en se marrant aussi. J’étais là, à quatre pattes, à tout avaler comme un chien, et je kiffais malgré tout.
Quand j’ai fini, il m’a relevé par le collier, brutal. "T’es une lope minable, Neron, mais t’as assuré. Rentrons." Il m’a tiré comme un clebs jusqu’à la sortie de la forêt, mes jambes tremblaient, j’étais défoncé par le poppers et l’humiliation. J’étais sale, plein de boue et de foutre, mais j’en voulais encore. Je lui ai demandé de me dresser, de me pousser plus loin, de me faire tomber encore plus bas dans la dégradation. Et là, je sais qu’il va le faire. J’suis prêt à tout pour lui, même dans ces bois pourris autour de Rouen qu’on trouve sur ce site de drague.
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