Ce midi, j’ai filé à la forêt des Essarts, près de Grand-Couronne, après avoir posté une annonce sur un site de plans cul. J’avais balancé un message clair : "Salope en cage dispo cet aprèm dans la clairière des Essarts, venez me défoncer, pipes sans capote, sodo avec, gros juteurs bienvenus." J’me suis garé sur le parking de la D13, sac à dos en main, le cœur qui cognait déjà. Y’avait quelques caisses, des mecs qui mataient depuis leurs sièges. J’ai marché direct vers les bois, jusqu’à cette clairière cachée que je connais, entourée de chênes et de fougères épaisses, un coin parfait pour un plan crade.
Arrivé là, au milieu de l’herbe aplatie, j’ai posé mon sac près d’un tronc couché. J’me suis désapé direct sous les regards des voyeurs qui commençaient à rôder. J’ai viré mes pompes, mon fute, mon t-shirt, et j’ai tout plié bien comme il faut dans le sac. Ma cage de chasteté brillait sous le soleil qui filtrait à travers les branches, ma queue coincée dedans. À poil, pieds nus dans l’herbe humide, j’me suis posé contre le tronc, jambes écartées, le cul à l’air, prêt à encaisser ce que mon annonce avait rameuté.
L’ambiance était lourde, odeur de terre et de foutre dans l’air, des craquements autour. Les mecs avaient lu mon post, ça se voyait. Un premier a déboulé, un costaud, la trentaine, genre mec de chantier. "T’es la pute de l’annonce, hein ? T’attends qu’on te remplisse !" Il a sorti sa bite, un truc épais, veineux, déjà raide. J’ai ouvert la bouche, et il m’a enfoncé son chibre jusqu’à la gorge, sans capote, brutal. "Suce, salope, fais pas semblant !" qu’il a grogné en me chopant les cheveux. J’bavais partout, la salive coulait sur mon menton, sur mon torse, mais putain, j’kiffais. Il me traitait de "sale chienne", me forçait à aller plus loin, et moi j’prenais tout.
Les voyeurs rappliquaient, attirés par l’annonce ou le bouche-à-oreille. J’entendais l’herbe craquer, des "vas-y, défonce-le" murmurés, des bruits de branlette. Un deuxième mec s’est pointé, un gros porc mal rasé, une queue énorme, un juteur comme j’avais demandé. "À quatre pattes, sac à foutre, t’as voulu du lourd !" J’me suis mis direct dans l’herbe de la clairière, le cul en l’air, ma cage qui pendait. Il a enfilé une capote, m’a craché sur le trou, et m’a enculé d’un coup sec. J’ai gueulé, mais il a rigolé : "Ta gueule, lopette, t’as posté pour ça !" Il m’a pilonné fort, ses grosses mains sur mes hanches, ses couilles qui claquaient. Mon cul brûlait, l’herbe me piquait, mais j’gémissais comme une pute, j’en redemandais.
Le premier s’est retiré de ma bouche. "Ouvre grand, pétasse, j’te repeins !" J’ai tiré la langue, et il a lâché son jus, des jets épais qui m’ont giclé sur le visage, dans la bouche, sur les cheveux. Y’en avait partout, ça coulait sur mon torse, sur ma cage. Le gros derrière moi accélérait, ses grognements remplissaient la clairière. "J’vais jouir, salope !" Il a sorti sa bite, viré la capote, et m’a arrosé le dos et les fesses. Un déluge, des litres de sperme chaud qui dégoulinaient dans l’herbe.
Un troisième, un voyeur qui avait dû voir l’annonce, a craqué. Un mec maigre, nerveux, avec une queue longue et courbée. "À moi, enfoiré, t’as appelé, j’suis là !" Il m’a chopé par les cheveux, m’a remis sa bite dans la bouche, sans capote. Il puait la sueur, un truc fort qui m’a fait tourner la tête. Il m’a baisé la gorge en me traitant de "vide-couilles" et de "sale pédé". En deux minutes, il a joui, un cri rauque, et m’a rempli la bouche. Son foutre débordait, coulait sur mes lèvres. J’ai tout avalé, pendant qu’il me tapait la joue.
D’autres arrivaient encore. Un vieux, bedonnant, s’est avancé en se branlant. Il m’a pas touché, juste maté avant de balancer son jus sur mon torse, des jets collants qui ont coulé sur mon ventre. Un jeune, genre timide mais excité par l’annonce, m’a fait mettre sur le dos dans l’herbe. "T’es qu’une chiotte en cage !" qu’il a dit en se branlant au-dessus de moi. Il a joui sur mon ventre, un truc clair et abondant qui a dégouliné jusqu’à mes cuisses.
J’me suis relevé, à poil, le corps couvert de foutre séché – visage, torse, dos, jambes. J’ai récupéré mon sac, intact près du tronc, et j’suis retourné à la caisse, cul trempé, un mélange de lubrifiant et de sueur qui coule encore. Ma cage me serre, j’ai le fion qui palpite, et j’suis excité comme un dingue. Cette clairière aux Essarts, avec mon annonce, c’était un carton, un spot parfait pour se faire défoncer. J’revois leurs bites, leurs insultes, leurs jets de sperme, et j’pense déjà à reposter pour demain. Ces mecs m’ont traité comme une sous-merde, un trou à remplir, et putain, j’ai kiffé chaque seconde.
Neron-23 monssieurj@gmail.com
Neron_23
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