Premier épisode | Épisode précédent
Cela fait, maintenant plusieurs semaines que je suis en convalescence. Mon maître, n'est pas venue me revoir après notre entrevue, ce jour où il m'a embrassé et où nous nous sommes branlé mutuellement. Est-ce qu'il s'en veut ? C'est vrai, que je ne suis qu'un esclave et Gallius ne peut pas m'aimer. Même s'il m'affranchit, je ne suis pas de la même tranche sociale que lui.
Par ailleurs, mon état de santé va beaucoup mieux, je n'ai plus de douleur. De mon agression, je ne garde qu'une petite cicatrice sur l'arcade sourcilière. Je pense que je vais bientôt reprendre mon service auprès de mon maître.
Ce soir, Gallius m'a fait appeler, je dois le rejoindre dans la salle où se trouve un carré rempli d'eau, où mon maître se baigne. Même s'il va aux thermes, il possède un bassin à l'intérieur de la villa.
J'entre dans la piece, Gallius est seul, assis dans l'eau.
Moi - bonsoir maître.
D'un ton très autoritaire :
Gallius - entre ! Déshabille-toi et vient me rejoindre dans l'eau.
J'hésite un instant, de toute ma vie je ne me suis jamais baigné, j'ai un peu peur.
Gallius -He bien qu'attends-tu ?
Moi - je ne suis jamais rentré dans l'eau maître.
Gallius - ne discute pas, aller vient !
Je me mets nu, puis entre doucement dans l'eau. La sensation de mon corps enveloppé par l'eau chaude est agréable.
Toujours d'un ton très autoritaire, il m'ordonne de lui masser les pieds.
Je me place à genoux devant lui, j'ai de l'eau jusqu'au torse. Il me tend son pied gauche , je le prends et commence par lui masser. Maria m'a expliqué comment faire. Mon maître apprécie et il me le fait savoir.
Gallius - hum, c'est bon, tu t'y prends bien.
Il a de grands pieds et je me surprends à aimer le masser. J'y met toute ma dextérité pour lui faire le plus grand bien. Après de longues minutes, il change et me présente son pied droit. Je m'exécute, sans un mot, je continue mon travail. Il me regarde, dans un silence pesant.
D'un coup, il se relève, debout, il a de l'eau jusqu'aux cuisses. Et là, je vois qu'il en totale et parfaite érection. Son gros et large sexe est tout droit, luisant d'eau et son gros gland décalotté bat au-dessus de son nombril. Il fait un pas vers moi. Je comprends vite ce qu'il veut. J'ouvre grand ma bouche pour accueillir sa grosse bite. Il me l'enfourne durement et je dois faire attention pour ne pas m'ettoufer. Puis, de mes mains, j'empoigne fermement sa queue et c'est moi qui vais entamer les va-et-vient de ma bouche sur son sexe. Enfin, il me laisse faire. J'ouvre extrêmement grand la bouche pour bien sucer cette énorme barre de chaire chaude. Mes lèvres bien serrées sur son manche glissent de bas en haut. Sa bite est si grosse que des filets de salive coulent le long de mon menton et sur ma gorge. Parfois, je la sors complètement de ma bouche pour la lécher de la base jusqu'au gland. En même temps de mes mains je le branle et malaxe tendrement ses grosses couilles. Je sens que mon maître apprecie, je l'entends seulement pousser de soupirs de bien-être.
De longues minutes s'écoulent et je commence à avoir mal à la mâchoire. D'un coup, il me prend par un bras me relève et me pousse vers un bord du bain. Je prends appui sur le rebord, lui se place derrière moi et glisse déjà sa queue entre mes fesses. Je cambre bien mon cul et me prépare mentalement à ce qu'il va suivre. J'entends qu'il crache et sa main enduit abondamment ma raie de salive. Son majeur touche mon anus et teste sa résisitance. Puis, avec délicatesse, son doigt entre en moi. Il entame de petits va-et-vient. Puis, il m'introduit un deuxième puis un troisième doigt. Je ressens aucune douleur, même du plaisir.
Après quelques minutes je souffle :
- allez-y mon maître, je suis prêt !
Il se campe fermement sur ses pieds. Il place sa queue entre mes fesses et son gland brulant sur mon anus palpitant. Il pousse et je sens mes chairs se dilater pour laisser entrer son membre en moi. Il enfonce toute la longueur de sa queue dans mon cul . Je ressens bien chaques centimètres qui prennent possession de mon intimité, jusqu'à sentir ses poils pubiens sur mes fesses. Il est entièrement en moi et s'immobilise quelques secondes. J'ai l'impression d'être bien rempli. Je l'entends pousser un long soupir.
Puis, il commence ses va-et-vient longs et puissants. Mon plaisir est immédiat, mais j'essaie au maximum de le cacher. Pourtant, j'aime qu'il me pénètre de la sorte, avec rudesse et machisme, tel l'homme, mon maître qu'il est.
Alors que ses coups de reins deviennent plus brutaux et rapides, la pièce resonne seulement du claquement se son bassin conte mes fesses et des clapotis de l'eau.
Maintenant, mon maître se déchaine entre mes fesses, sa grosse et longue bite cogne durement au fond de moi, il ne me ménage pas. Mais malgrès le traitement rude qu'il m'inflige, le plaisir est si bon et que je ne ressens aucune douleur. Je me laisse faire et je dois me mordre la lèvre inférieure presque jusqu'au sang, pour ne pas crier tout mon bien-être.
Je ressens que mon maître est prêt à jouir. Il me donne plusieurs coups de reins dévastateurs . Je sens sa queue se raidir encore un peu plus, j'ai même l'impression qu'elle double de volume. Sa bite crache et mon intimité est inondée de son sperme avec une force inouïe. Gallius décharge tout son jus en moi, en poussant un long et sourd gémissement, si proche de celui d'un animal en rut. Puis, il se retire et je sens couler son sperme le long de mes couilles et sur mes cuisses. J'ai mal aux dents, tellement que je les aie serrés pour ne pas exprimer ma jouissance.
Il sort du bain et me dit :
demain tu reviens à mon service et ce soir, tu dors sur ta couche prés de ma chambre !
Je reste quelques minutesdan sle bain le temps de reprendre mes esprits. Puis je sors du bain , je vais me coucher et je m'endors épuisé.
Alors que je dors, je ressens une présence tout près de moi. J'ouvre les yeux et la terreur s'empare de moi, Manius est là. Il est sale sa tenue est en lambeaux. Il me regarde fixement, de son visage se dégage un air furieux et ses yeux sont emplis de dégout, de haine et de colère mélangés. Il me crie :
- tout ça c'est de ta faute !!
J'ai juste le temps d'apercevoir la brillance d'un athanée, puis je ressens une vive douleur dans la poitrine. Manius vient de me poignarder, je crie de souffrance. Gallius, alerté par mon cri, sort de sa chambre. Il aperçoit Manius et voit ce qu'il vient de faire. Il le saisit et le projette violemment contre le mur. On entend le craquement sourd de son crâne sur le mur, puis son corps tombe à terre sans vie.
Mon maître vient vers moi et se penche sur moi . Ses yeux sont rempli de compassion. Et alors que je sens mes forces et ma vie me quitter, je dis :
maître je... je .
Seithan
seithan@orange.fr
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