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Le temps passait, et la relation qui existait entre Xavier et moi s'intensifiait davantage chaque jour qui passait. Il était soumis et aimait l'être, je n'en doutais plus à présent. Le paradoxe était qu'il ne perdait rien de sa masculinité extérieure. Aux yeux de tout un chacun, il apparaissait comme un vrai mâle sûr de lui, terriblement sexy et attirant, surtout pour les femmes qui le dévoraient littéralement du regard mais qui jamais ne l'auraient ni dans leur lit ni dans leur chatte. Pour rien au monde, je n'aurais voulu qu'il en soit autrement, qu'il donne l'impression un jour d'être une tapette musclée en attente de nouvelles bites. C'est pourtant ce qu'il était, et il n'en serait plus autrement, son destin était scellé. J'avais été jusqu'à exiger qu'il quitte sa femme et entame une procédure de divorce après lui avoir expliqué qu'il n'était pas celui qu'elle avait épousé, qu'il ne vivait que pour se faire démonter comme la dernière des salopes, et qu'il avait un maître auquel ses trous appartenaient. Je me souviens encore aujourd'hui de la peine que je lui ai causé, de la douleur qu'il a ressentie, non pas pour lui mais pour celle qui avait partagé sa vie durant des années. Mais c'était un passage obligatoire, il m'aurait été impossible d'aller plus loin dans notre aventure s'il avait refusé. Il était aujourd'hui un homme libre de toute attache, et à mon service à chaque instant, ce que je n'hésitais pas de lui rappeler régulièrement.
Posséder un soumis comme Xavier était une source de plaisir inépuisable. Il aimait ce qu'il était, et m'aimait pour lui avoir ouvert les yeux. Après autant d'années passées à se mentir, à se faire passer pour celui qu'il n'était pas, il avait trouvé en moi celui qui l'avait révélé et qui le poussait à aller encore plus loin jour après jour. Et les choses étaient pareilles en ce qui me concerne. Je m'étais découvert dominant, exigeant, dur, incapable de me satisfaire de tout ce qu'il m'offrait. À chaque fois que je voyais une queue s'enfoncer en lui, à chaque fois qu'un mec le baisait sans une seconde penser à ce qu'il ressentait, à ses envies, à ses besoins, je comprenais à nouveau que notre rencontre avait été inévitable, que sans elle nos vies auraient continué à être sans relief, d'une platitude et d'un ennui incommensurable. Chaque queue qui le perforait, chaque couille qu'il vidait nous rapprochait encore, faisant de nous un monstre à deux têtes que rien ne semblait pouvoir séparer.
Il était devenu un de ces bâtards que tous les mâles Alpha veulent féconder. Nombreux étaient les mecs qui avaient entendu parler de lui et qui me contactaient pour allonger la liste des tops qui l'auraient baisé. C'était incroyable, en quelque sorte il était devenu une star. Bien entendu, je ne lui en parlais pas, ça ne le regardait en rien. Lui devait se contenter de sucer lorsque je l'exigeais, et d'ouvrir sa chatte lorsque je l'exigeais. Il n'avait pas à avoir envie, il n'avait pas à vouloir, et surtout, il était hors de question qu'il refuse. C'était le contrat tacite que existait entre nous. Il m'était soumis, et sa soumission se devait d'être totale. Mon but était de l'amener à point tel qu'il soit malheureux sans avoir servi pendant une journée. Il était fait pour vider les hommes, ce qu'il n'était plus, lui, qu'en apparence.
Ce matin-là, je reçus un message d'un certain Fred. Celui-ci m'expliquait en quelques mots qu'il adorait défoncer un beau cul pendant des heures et qu'on lui avait dit que celui de Xavier était parfait, gourmand, et profond. Il ne se décrivait pas, mais il avait joint une photo de son chibre ce qui m'avait convaincu de lui offrir les trous de ma salope. Rendez-vous fut pris pour le milieu d'après-midi le même jour. Le dénommé Fred n'ayant eu aucune exigence particulière quant à un scénario précis, je décidai que Xavier attendrait dans le salon, à genoux, simplement vêtu d'un jockstrap. Cette tenue sur lui était un véritable appel au viol, et me rendait fou d'excitation à chaque fois. La queue de notre invité m'ayant donnée l'impression d'être particulièrement impressionnante, je me refusai à préparer la chatte de mon bâtard. Je me contentai de lui baiser la gueule avant que celui-ci n'arrive tout en lui expliquant qu'il allait payer cher. Dans son regard apparut un soupçon d'inquiétude, mais je savais pourtant qu'il ne me décevrait pas cette fois encore.
À quinze heure, Fred arriva, et j'eu un véritable choc quand j'ouvris la porte. Il était grand, immense même, et il était aussi particulièrement laid. Son visage était asymétrique, comme déformé par quelque infirmité, son ventre était énorme à un point tel qu'il n'arrivait pas à fermer sa veste. Il lui manquait des dents, certaines de celles qui lui restaient étaient cariées, et son haleine était nauséabonde. Si mon bâtard n'avait pas à choisir qui pouvait ou non le baiser, j'avais pour lui du respect, et lui imposer un tel monstre me dégoûtait. Alors que je me préparais à dire à Fred que malheureusement il y avait eu un contretemps, il sortit de son pantalon sa queue. Elle était énorme alors même qu'il ne bandait pas encore. "Je sais, me dit-il, que je suis immonde, mais ma bite devrait vous convaincre de ne pas changer d'avis." Et il avait raison, il était hors de question que ma salope ne se fasse pas mettre par un tel objet. C'est donc finalement ravi et impatient je fis pénétrer mon invité dans le salon où Xavier attendait dans la position et la tenue que je lui avais imposées. Fred émis un sifflement admiratif alors que mon vide-couilles m'implorait du regard de ne pas lui imposer de se donner à ce monstre. Mais il savait que son avis ne comptait pas, et il se résolut donc à m'obéir. L'homme se déshabilla rapidement, il était encore plus immonde nu que lorsqu'il était habillé. Son corps dévoilé était flasque, mou, poilu ici et là, mais ça n'avait plus à présent aucune importance, seule comptait sa virilité qui était désormais bandée. De ma vie entière je n'avais vu une queue aussi impressionnante, pas même celle d'Henri qui pourtant était déjà incroyable.
Fred contourna mon soumis, il voulait s'approprier sa chatte immédiatement et lui faire comprendre qu'il était là pour combler ses envies. Il s'agenouilla derrière ma salope, et d'une poussée dans le dos l'obligea à se mettre à quatre pattes. Puis il humidifia son membre et sans aucune autre forme de procès, il le pénétra d'une poussée longue et régulière. Pour l'empêcher de hurler, j'enfonçai ma bite dans sa bouche ouverte dont ne sortait aucun son. Je ressentais sa souffrance, j'imaginais la douleur que devait être la sienne, mais pas une seconde ne me vint à l'esprit l'idée de le libérer, au contraire même. L'homme agrippé à ses hanches donnait de grands coups de bassin, entrait et sortait du tuyau de chair comme si sa vie en dépendait. Il tapait, tapait encore, bourrait son cul magnifique, le déchirait autant qu'il le pouvait. Mais ça ne lui suffisait pas, il voulait aussi l'humilier. Alors il le retourna sur le dos, écarta ses jambes, et se réintroduit jusqu'aux couilles. Il voulait voir ses yeux plein de larmes, ses traits crispés, lui montrer qu'il l'utilisait pour se vider et qu'il l'utiliserait comme bon lui semble et aussi longtemps qu'il en aurait envie. Le message était clair, j'ai quitté la pièce pour le laisser profiter de ma salope.
De la chambre où je m'étais réfugié, je l'entendais le baiser comme un forcené. "Prends ça, salope, prends ça ! Ça te plaît de me donner ta chatte, hein ? Dis-le que ça te plaît, dis-le que tu en veux encore, dis-le que t'aime ma grosse queue et que tu veux que je te bourres plus fort et plus profondément !" Et il répétait entre deux hoquets, la voix étranglée, comme un automate. Ses mots arrivaient jusqu'à moi, et je savais qu'il ne se rebellait pas uniquement pour me plaire, pour mon plaisir, pour répondre à mes attentes. Il se faisait démonter comme il ne l'avait jamais été uniquement parce que je le lui avait imposé. Et il tenait le coup, il voulait me prouver que je pouvais lui faire confiance.
Ce n'est qu'au bout de plus de trois heures et une demi-douzaine d'éjaculations que Fred partit, laissant mon bâtard pantelant et le cul tellement distendu qu'il ne se refermait plus. Il laissa sur le meuble de l'entrée un petit mot laconique : "Une des meilleures chattes que j'ai baisé. À bientôt." Je m'approchais de Xavier qui relava son beau visage vers le mien. "Votre queue, donnez-moi votre queue, s'il-vous-plaît. J'ai besoin de vous sentir en moi, Maître, pour redevenir un être humain." Je sortis ma bite déjà dure de mon pantalon, et le pénétrai jusqu'à la garde et violemment."
"Merci, Maître, merci. Je suis à vous, ma chatte est à vous. Offrez-moi à qui vous voulez, ça m'importe peu, tant que vous continuerez à m'aimer autant que que je vous aime."
Nous n'avions jamais exprimé les sentiments que nous ressentions l'un pour l'autre. Il venait de le faire pour nous deux, et il avait raison. Je l'aimais, je refusais simplement de l'admettre.
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