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Loin de son village
Le lendemain de ce mardi, je n'avais qu'un cours à donner en matinée, un professeur que je connais bien me demanda si j'avais encore une chambre de libre.
- Oui, il m'en reste une à louer.
- J'ai un élève du Brésil qui cherche à se loger à bon prix.
- Parle-t-il français ?
- Il parle portugais et se débrouille bien en français et aussi la langue de son village dont il est natif, car c'est un Indien.
- Juste à le rencontrer pour voir.
- Je te connais trop bien, quand tu vas le voir tu vas lui dire oui !
- C'est un super beau mâle. Juste en voyant la bosse de son jeans, tu vas capoter.
- Donne-lui mon téléphone.
- Viens, je vais te le présenter, il est à la bibliothèque en attente de ma réponse.
- Allons-y.
Comme de fait, de ses 22 ans, il mesurait surement 6 pieds, un vrai beau mec, bien musclé et avec un jeans bien rempli et une poignée de main virile. Belle peau couleur bronze, des yeux bleus brillants et un sourire à me donner une érection.
- Je te présente Marco qui possède une grande maison et qui loue des chambres à des étudiants comme je te le disais.
- Et voilà Abigaël.
- Enchanté, Monsieur !
- Merci, il ne me reste qu'une chambre de libre, si tu veux venir avec moi, je te fais visiter.
- Oui monsieur.
Mon copain, le professeur me fait un clin d'oeil, qui en dit beaucoup.
Je l'ai invité à me suivre.
- Je dois aller faire des achats et après chez moi.
- Bien monsieur.
-
J'en ai profité pour faire un achat de trois boxers sexys pour Pascal. Tous surpris de voir le prix que je les payais, il regardait sans rien dire.
- Dis Abigaël, en as-tu besoin pour toi ?
- Non Monsieur, c'est trop dispendieux pour moi ça.
- Choisis-toi une paire, je te l'offre.
- Merci, monsieur je ne peux pas accepte cela.
- Ça me fait plaisir, j'aime bien gâter mes chambreurs, choisis-toi une paire.
- Mais ce n'est pas nécessaire.
J'ai jugé sa taille comme la mienne et j'en ai ajouté deux autres à mes achats.
Rendu chez moi, il accepta de la louer. Après l'avoir mis au courant des règlements de la maison, il me confirma qu'il emménagerait en fin de semaine.
À son départ je lui fis la bise sur les deux joues, ce qui le surprit.
Pour Pascal sachant qu'il n'avait pas les moyens de se payer un tel achat, je n'ai pas fait allusion à ce que j'avais entendu la vielle au soir, entre lui et Jeremy. Dès son retour je lui fis la surprise et il me remercia avec un baiser langoureux et s'empressa de me dire qu'il n'avait pas couché avec Jeremy. Il ajouta :
- Je ne me suis pas encore lavé depuis hier, c'est la première fois que je fais cela, mais je voulais me sentir possédé comme hier soir. Là, je vais aller me doucher.
- Parfait, mon beau ; vas-y et tu étrenneras un de ses boxers.
- Bien sûr Marco.
À son retour de la douche. Il me dit :
- Marco, je peux te parler ?
- Bien sûr ! Que se passe-t-il ?
- Hier soir en sortant de ta chambre, tu sais Jeremy le Français.
- Oui, oui Jeremy.
- Il m'a traité de salope et de chienne en chaleur, je ne suis pas une fille, je suis un gars et suis bien dans ma peau d'homme.
- Je te comprends très bien, mais les Français aiment traiter les soumis, de cette manière-là.
- Je ne veux pas entendre cela.
- C'est un bon gars, explique-toi clairement avec lui, il va te comprendre, j'en suis persuadé.
- Tu crois ?
- Tu peux garder un secret, je l'ai moi-même enculé avec un autre. Nous l'avions ligoté et baisé de force !
- Sérieux ? Lui qui se dit hétéro à 100 % !
- Il a une fiancée en France et devrait se marier, à son retour. Dis-toi bien qu'un homme bandé raide et en manque, sa testostérone lui impose de se vider et la majorité succombe, même avec un autre homme. En plus il m'a avoué qu'il était bi.
- Ha oui, il cache bien son jeu !
- Hier soir, j'ai pratiquement entendu toute votre conversation dans les escaliers, fais comme il t'a dit ce soir : descends en boxer, tu verras bien qu'il va bander sur toi.
- Tu penses cela ?
- J'en suis sûr et si cela se termine dans sa chambre, n'oublie pas les condoms. En plus, il va vouloir t'enculer, mais alors exige de l'enculer en premier !
- Dis Marco, me trouves-tu sexy avec ce beau boxer ?
- Tu es super bandant ma petite salope !
Il partit à rire et se mit genoux moi même en boxer, devant ma queue semi-bandée, léchant avidement, baignant ma queue de sa salive, ce ne fut pas long de se retrouver nus en soixante-neuf, lui me suçant à fond et moi, instinctivement lui mangeant la rosette s'ouvrant sous ma langue. Quel beau petit cul à consommer, propre et savoureux, tout en me faisant sucer par mon beau Pascal qui venait à peine de découvrir le sexe et qui en demandait encore.
Il ne fut pas long à s'allonger sur le dos avec les jambes en l'air. Il soulevait son cul à la bonne hauteur pour y glisser ma queue, dans un intérieur toujours aussi serré. Il me faisait bander encore plus en voyant son sourire et ses yeux scintiller de satisfaction... Quelques petits cris de sa part me rendaient encore plus impitoyable pour le bourrer à fond, à ma façon, en entrant et en sortant complètement de son postérieur.
- Marco, je vais jooouuuiiiir !
En sentant son anus se serrer à chaque jet de sperme, je ne pus m'empêcher de moi-même jouir en lui.
Je me suis étendu à ses côtés et il se pencha pour lécher ma queue et la nettoyer de mon sperme, à la saveur de son propre cul.
- J'ai pensé aux massages que tu veux donner, je peux te faire une place dans la petite pièce à côté de ma chambre. Laisse-moi le temps de déplacer mes affaires et tu pourras te faire un genre de thermomètre au montant du prix de la table de massage pour demander simplement une petite participation.
- Merci Marco et c'est une bonne idée ça.
- La semaine prochaine tu pourras surement t'y installer quelques heures par jour, le sachant d'avance, car je dois laisser mon bureau là.
- Parfait Marco. Encore merci !
Il retourna dans sa chambre pour étudier et moi à la préparation de mon cours du lendemain.
La semaine se poursuit normalement, moi avec mon petit Axel, toujours affamé de ma queue en lui et bien sûr de l'argent que je lui donnais. Pascal est venu me dire qu'il avait pénétré Jeremy pour ensuite lui offrir son petit trou du cul. De plus en plus, les chambreurs se promenaient en boxer et même en jockstrap dans le logement. En plus je les voyais pratiquement tous les soirs se masturber dans la douche, je me constituais ainsi de bonnes petites vidéos.
Je fus obligé de faire venir Bruno dans ma chambre pour lui dire qu'il était en retard pour payer sa quote-part de loyer. Il n'a pas apprécié cette remarque. Il était en boxer moulant. En se tripotant le paquet, il me dit :
- Tu paies combien pour ça ?
- Pardon, que veux-tu dire au juste. ?
- Tu paies des jeunes mecs pour les avoir dans ton lit. Ma queue ne t'intéresse pas ?
- Tout dépend de ce que tu veux dire.
- Je t'offre ma queue à sucer moyennant finance.
- Toi tu fais quoi, côté sexe avec moi ?
- Rien, je ne suis pas gai.
- Suces-tu, au moins ?
- Non, pas question, je me laisserais sucer pas plus.
- Pas intéressé. Je paie des mecs qui sont actifs et qui font tout au lit.
- Pas question pour moi, jamais de la vie.
- C'est bien comme ça, retourne dans ta chambre et n'oublie pas que tu es en retard ta quote-part. Si tu veux continuer à demeurer avec nous, paie comme tous les autres, surtout que je vous fais déjà un bon prix.
- OK, bye !
- Bonne soirée !
Il repartit penaud, comme on dit, la queue molle entre les jambes.
À suivre.
JeanMarc
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