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Chapitre -03 : TV Show
Je suis technicien dans une société de production télé. J'aime mon métier, même si je suis discret au boulot sur ma vie sexuelle. Je ne me cache pas, je ne m'affiche pas non plus. Mon look plutôt mec-mec fait qu'autour de moi, on ne m'imagine pas gay.
Ce jour-là, on avait passé l'après-midi à mettre en boite une émission de variétoches, avec en vedette la star latino du moment. Je ne mélange jamais travail et cul, mais en filmant ses déhanchements, avec mon début d'érection, je comprenais qu'il fasse fantasmer les minettes. On était en train de tout remballer quand un gars de son équipe avec qui j'avais sympathisé le midi m'a glissé un papier en susurrant : " Si ça te tente, on fait une touze ce soir à cette adresse. Y' aura de la meuf de premiers choix. " Je l'ai remercié distraitement en ajoutant que je ne pensais pas pouvoir me libérer.
Pourquoi y suis-je finalement allé, moi que ce monde d'hétéros supposés libérés n'intéresse aucunement ? Sans doute plus par ennui que parce que j'imaginais ce qui s'est ensuite produit. Lorsque je suis entré dans l'appart, les choses étaient déjà bien engagées. Dans une semi-pénombre, une trentaine de participants, pour moitié hommes et femmes, s'activaient dans différents coins du salon.
J'ai fait le tour du propriétaire à pas lents, et ai fini par me poser sur un canapé, à deux pas du mec qui m'avait fait fantasmer durant la journée, le fameux latino, celui qui faisait mouiller dans les lycées. Il était en train de limer une jolie blonde, couché sur elle et la labourant à grands coups. Je dois reconnaitre que le spectacle de ce beau mec qui s'activait ne m'a pas laissé indifférent et que je me suis bien vite retrouvé avec le barreau. En le matant en train de se démener sur cette meuf, je me sentais comme chauffé à blanc. Et je n'ai pas maitrisé ma main lorsque, profitant de l'obscurité, elle s'est posée sur son cul et que j'ai commencé à le caresser, massant tour à tour ses deux globes charnus et musclés. Il n'a pas changé de rythme. J'ai mouillé de salive mon majeur et suis revenu à son cul, massant sa pastille d'un mouvement circulaire. J'ai profité d'un de ses coups de reins pour forcer le passage et le pénétrer de tout le doigt. Il s'est figé et je me suis dit que j'allais me prendre son poing dans la gueule, mais j'ai compris qu'il était en train de jouir et d'arroser la nana lorsqu'il s'est mis à beugler de plaisir. J'ai dégagé mon doigt, me suis levé et éloigné avant qu'il s'en prenne à moi.
J'ai fait le tour de l'appartement à pas lents, retardant le moment de me casser. Et c'est en revenant sur mes pas que je suis tombé nez à nez avec lui, campé à l'entrée d'une des chambres. " Viens ici, toi ! " m'a-t-il dit. Je me suis approché, prêt à l'affronter. Mais son ton a changé : " Tout à l'heure, a-t-il murmuré, ton doigt... C'est toi qui m'as fait jouir ! " Je m'attendais tellement peu à ça que je suis resté scotché par la surprise. C'est lui qui a pris l'initiative : " Viens. On va finir ce que tu as commencé. "
Il s'est effacé et je suis entré dans la chambre. Il m'a plaqué contre la porte et a écrasé ses lèvres sur les miennes. Nos langues se sont mêlées. J'ai aimé son goût. J'ai saisi son cul à pleines mains, à travers le slip qu'il avait réenfilé entre-deux. C'est lui qui a chuchoté à mon oreille : " Je veux que tu me baises. Que tu m'enfiles bien profond. Ce n'est pas ton doigt que je veux, mec, c'est ta queue. Ce sera une première, mais je veux me faire baiser !
Il ne nous a pas fallu longtemps pour nous retrouver tous les deux à poil. Je l'ai fait basculer sur le pieu, l'écrasant de tout mon poids. J'ai léché et bouffé ses pecs. Ce mec était tout entier une zone érogène ! Il avait sacrément l'air d'aimer ça, une révélation pour lui. Il a enfourné maladroitement ma queue lorsque je l'ai présentée à sa bouche et a commencé à me pomper comme un affamé. Mon doigt avait repris sa place initiale, enfoncé bien profond dans son cul et vite rejoint par d'autres pour préparer le terrain. C'est en le regardant droit dans les yeux que j'ai déchiré d'un coup de dent l'enveloppe de la capote, puis l'ai enfilée. J'ai fait durer le plaisir : "T'en as envie, hein ?" lui ai-je dit, provocant. "Oui, viens. Baise-moi, mec !" Je ne me suis plus fait prier. J'ai posé mon gland sur sa rondelle et ai forcé le passage, progressivement, mais avec détermination. "Tu sens comme elle est dure pour toi, mec ? Tu sens comme tu me fais triquer ? Tu sais que je vais te ramoner bien à fond ?" Mes mots l'ont excité encore plus et c'est son cul qui s'est enfoncé sur mon gourdin et l'a avalé.
Je me suis mis à le limer lentement : le but n'était pas qu'il ait mal. Il ouvrait des yeux écarquillés. J'ai accéléré le rythme, savourant le moment : j'étais en train de limer le mec qui faisait mouiller une génération entière de minettes (et de minets !) Après quelques minutes à ce rythme, je nous ai fait basculer, de manière à ce qu'il me chevauche. Il s'est réempalé sur mon morceau et s'est mis à aller et venir sur moi aussi vite qu'il le pouvait. Je sentais son cul enserrer ma teube. À un moment il s'est figé : "ah, je jouis..." J'ai vu son corps saisi de tremblements et il s'est mis à gicler pendant que je faisais de même.
Nous avons passé une bonne partie de la nuit dans cette chambre. Je dois reconnaitre que j'ai fait preuve d'imagination pour que son initiation soit la plus complète possible. Nous ne nous sommes quittés qu'une fois essorés l'un et l'autre jusqu'à la dernière goutte.
Lors de son dernier voyage à Paris, nous nous sommes occupés de lui à deux, avec mon pote Tony. Et c'est peu dire qu'il était chaud. Aimant la teube comme trop peu de mecs l'aiment. Nous l'avons fait couiner dans toutes les positions. Et je garde l'image de cette icône de la chanson, le visage dégoulinant de nos spermes respectifs et en redemandant encore.
Je dois reconnaitre que depuis, chacun de ses passages radio ou télé me fout la trique direct !
XXL
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