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Chapitre -05
Métro, c'est trop !
J'avais passé la nuit chez Tony. Tony, c'est mon pote de baise : à la fois un vrai pote et le mec que je me tape régulièrement. Comme quoi il peut y avoir à la fois de l'amitié et du cul sans que ce soit de l'amour ! Il est d'origine irlandaise. Aussi grand et baraqué que moi, roux, les yeux vert très clair, des taches de rousseur et un nez retroussé, imberbe avec des beaux pecs bien dessinés et un cul à se pâmer. Lui est à la fois actif et passif et j'apprécie de pouvoir le baiser de temps en temps. Il nous arrive aussi de nous refiler l'un à l'autre un bon petit passif testé par l'autre au préalable.
Après s'être bien éclatés au pieu et avoir pioncé quelques heures, on avait prévu de se faire un tennis, après être passés chez moi pour récupérer mes affaires de sport. On s'est donc retrouvés dans le métro en pleine heure d'affluence. Et du monde, il y en avait ! On a réussi à monter dans la rame aux forceps. Et là le flash : à quelques centimètres de moi, un de ces petits canons ! Le minou dans toute sa splendeur et toute son innocence. 18 ou 19 ans, une belle petite gueule, à la fois poupine et virile, des cheveux bruns bouclés mi-longs, des grands yeux noirs aux longs cils. Plongé dans la lecture de son livre de poche, il semblait coupé du reste du monde... Il ne m'a fallu qu'un léger mouvement pour que le dos de ma main vienne frôler le haut de sa cuisse, puis se déplace millimètre par millimètre pour rejoindre son paquet. Pour l'instant, je l'avais joué discret et prudent. Mais quand j'ai retourné ma main pour que son paquet remplisse ma paume, il a eu un sursaut, m'a lancé un regard effaré... mais n'a pas protesté !
J'ai poussé l'avantage, caressant et massant le morceau à travers son jean, protégé par la foule compressée. Il a fermé les yeux quelques secondes. Du regard, j'ai montré à Tony ce qui se jouait, il a cru halluciner ! Mais cet affamé voulait sa part. Profitant du mouvement à la station suivante, il est venu se coller contre mon minou. Connaissant Tony, j'ai compris qu'il triquait déjà et que son engin à la verticale dans son pantalon était venu se loger contre la raie de notre conquête. La sienne aussi de teub avait raidi et c'est un barreau que je massais maintenant. M'adressant à Tony, j'ai prévenu notre proie : " C'est la prochaine. On va chez moi finir ce qu'on a commencé. " Le minou n'a pas vraiment eu le choix, coincé entre nous deux !
Nous avons parcouru les cent mètres qui séparent la station de mon appart d'un bon pas, sans dire un mot, visiblement tous trois aussi impatients de vivre ce qui allait suivre. A peine dans l'ascenseur, j'ai repris à pleine main le morceau du mec et lui ai roulé une pelle, forçant sa bouche de ma langue. Tony lui, lui pelotait le cul. J'ai vu le moment où nous n'allions plus nous retenir et où nous allions baiser dans l'ascenseur.
En entrant dans l'appart, j'ai un peu calmé le jeu, d'autant qu'il semblait tout intimidé. " Moi c'est Gilles, lui c'est Tony. Et toi ? " " Dimitri. " Ma main s'est posé sur sa joue : " Bonjour Dimitri... Tu as envie de quoi ? " Il a hésité : " Je sais pas. J'ai pas l'habitude. " Etonné, je lui ai demandé : " Tu veux dire que... c'est la première fois ? " J'ai entendu un oui gêné franchir ses lèvres. J'ai savouré le moment, puis lui ai dit doucement : " Tu vas voir, ça va être super. On va s'occuper de toi pour que ça te laisse un grand souvenir... " Pour son initiation, il allait être gâté : si Tony et moi on s'entend si bien physiquement, c'est parce qu'on ne baise pas mécaniquement. Ce qu'on aime l'un comme l'autre, c'est la sensualité, le contact des peaux, le plaisir de l'autre. Ça allait être sa fête !
Il ne nous pas fallu longtemps pour nous retrouver à poil tous les trois sur le canapé. A quatre mains, Tony et moi nous sommes occupés de lui en le palpant, le caressant, le massant. Il gémissait doucement quand nous travaillions l'un ou l'autre un point sensible. Nos bouches étaient aussi entrées en action, nos langues se rencontrant parfois sur une partie de son corps à lécher ou à sucer.
Cette mise en jambes a duré un moment. C'est Tony qui m'a imploré : " Tu me laisses y aller en premier ? Sinon, tu vas trop me l'élargir. Là au moins, je te prépare le chemin. " J'ai acquiescé. Tandis que Dimitri présentait son cul à Tony, je l'ai embrassé, puis ai glissé vers son oreille. " Tu vois, là, Tony te bouffe la rondelle pour préparer le terrain et que ça passe tout seul. " Tout en lui mordillant l'oreille, j'ai continué à commenter : " Le gel, c'est un peu froid, mais ça se réchauffe vite. Il t'a rentré un doigt pour t'élargir en douceur. Là, il t'en met un deuxième. Tu les sens bien ? Tu aimes ça ? " " Oh oui, c'est trop bon. " a-t-il soupiré. " Et maintenant, c'est sa queue qui coulisse sur ta raie. Il masse ta rondelle avec son gland. Il va te prendre. Tu veux ? " " Oui. Maintenant. Vas-y ! " Son regard a chaviré. Le gourdin de Tony avait trouvé sa voie et franchi les premiers centimètres. " Voilà, respire bien, détends-toi. Tu vas voir comme c'est bon. " Son souffle s'était accéléré. Il a fermé les yeux. J'ai pris sa bouche pendant que Tony commençait à bouger dans son cul. Dimitri était tout entier à ce mandrin qui le dépucelait. Pourtant, c'est lui qui a soupiré : " Ta queue. Je la veux dans ma bouche. Une dans le cul et une dans la bouche. Embrochez-moi. " Je ne me suis pas fait prier et ai enfourné mon gourdin. Tony comme moi avons accéléré le rythme, allant jusqu'à soulever Dimitri du sol. Tout en nous activant de concert sur ce joli puceau, nous nous sommes gamellés, Tony et moi.
Après quelques minutes à ce rythme, il a suffi d'un regard de ma part pour que Tony comprenne et que nous échangions nos places. J'ai allongé Dimitri sur le dos et lui ai relevé les jambes. J'y suis allé moi aussi en douceur. Avec la différence de calibre, Dimitri se faisait dépuceler la rondelle une seconde fois ! Tony avait suivi le mouvement et au dessus du visage de Dimitri lui présentait tour à tour sa queue, ses boules et sa rondelle. Et notre invité s'en donnait à coeur joie.
Je me suis activé un moment dans le cul de Dimitri. Quand je me suis senti prêt à cracher, j'ai demandé à Tony : " Maintenant ? " Il a acquiescé d'un signe de tête. J'ai déculé, enlevé la capote et il ne nous a fallu à l'un et l'autre que deux ou trois mouvements de poignet pour commencer à gicler sur le visage de Dimitri. Tony comme moi, nous sommes des gros juteurs et nous l'avons arrosé à grands flots. Son visage dégoulinait de sperme. Il a poussé un soupir, les yeux fermés. Mais Tony, lui, avait déjà repris l'initiative et commençait à s'empaler sur la teub bien raide de notre joli minou.
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