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Chapitre -14 : Train de nuit
Rentrant de Bayonne à Paris, je m'apprêtais à passer une nuit tranquille, seul dans le wagon couchette, quand la porte s'est ouverte et qu'il est entré. Le beau gars nordique typique : des cheveux bouclés d'un blond très clair, des yeux bleus et un superbe sourire Colgate. Bien bâti en plus, avec des fringues qui laissaient deviner une jolie musculature, sans pour autant qu'il soit massif. Il s'est adressé à moi d'un français hésitant et marqué par son accent : " Vous êtes seul ? Je peux coucher avec toi ? " J'ai éclaté de rire, et devant son regard perplexe, lui ai expliqué la différence entre " dormir dans le même wagon que toi " et " coucher avec toi. " Il ne s'est pas démonté : " Oh oui, bien sûr, je voulais dire dormir... Mais tu es mignon. Si ça te dit... coucher aussi ! " Pour être direct, c'était direct. J'ai refermé la porte du compartiment, ouvert d'un coup sec la braguette de mon jean et sorti ma queue. Il a soupiré : " nice cock... " et s'est agenouillé. Il a commencé à donner des petits coups de langue sur le gland, faisant grossir la bête. L'a ensuite léchée tout du long, bouffant mes couilles au passage. Il n'en était pas à son coup d'essai ! Et il aimait ça, clairement. Il a descendu mon jean d'un coup sec et tout en allant et venant de la bouche sur mon mandrin, s'est mis à me caresser la rondelle. Il m'a longuement astiqué le manche de la bouche tout en me fixant dans les yeux.
Nous nous sommes retrouvés tous deux à poil, allongés sur la couchette. Après nous être bien palpés sous toutes les coutures, je me suis collé à son dos, ai relevé une de ses jambes et ai pointu mon gland sur sa rondelle : " Je vais te l'enfoncer profond, mec ! " " C'est quoi, enfoncer profond ? " " C'est ça ! " lui ai-je répondu en l'enfilant. Il était suffisamment large pour bien m'accueillir et je l'ai limé un bon moment, changeant de position régulièrement. Il savourait son plaisir, l'exprimant par des soupirs, des gémissements ou des petits cris. J'étais en train de l'astiquer debout quand la porte du compartiment s'est ouverte. Le contrôleur a ouvert des yeux hallucinés, avant de refermer en bredouillant qu'il repasserait plus tard. Dommage... il était plutôt appétissant. Ce n'est qu'une heure et demie plus tard que nous sommes endormis sur la couchette, rassasiés l'un et l'autre. Du moins le croyais-je.
Dans mon rêve, Brad Pitt est en train de me bouffer le cul... Le Brad Pitt des débuts, celui de " Thelma et Louise ", le film qui m'a tellement chauffé quand j'étais ado. Et il sait s'y prendre, le salaud ! Je me dis même que pour la première fois de ma vie, je vais gicler tellement c'est bon. Et c'est à ce moment-là que mon rêve se transforme en cauchemar : Brad Pitt m'enfonce un tournevis dans le cul ! Je me réveille en hurlant. Il ne me faut que quelques secondes pour réaliser : après m'avoir bouffé la rondelle dans mon sommeil, mon beau scandinave vient de m'enfoncer d'un coup sa queue dans mon boule d'actif. Et il est en train de s'activer et de me limer. Pour un dépucelage du cul, on a vu mieux ! Écrasé pour son poids, je comprends qu'il ne sert à rien de résister. J'essaie d'ajuster ma position pour avoir moins mal, mon cul toujours écartelé. Et c'est là que j'ai une première bouffée de plaisir. La douleur est toujours là, mais moins forte, et elle se mélange au plaisir.
Je réalise aussi à ce moment-là que nous avons un invité et que le beau contrôleur de tout à l'heure est en train de gameller mon enculeur tout en se tirant sur le poireau. Malgré la douleur toujours présente, j'éprouve du plaisir et je sens ma queue durcir. Je nous fais basculer sur le côté, mon niqueur et moi, sans le faire déculer, et dégage ma queue sur laquelle se jette le contrôleur affamé. Pour la première fois, j'ai en même temps une queue bien profond en moi et la mienne au fond d'une bouche. Je me laisse aller au plaisir et je dois reconnaître que c'est puissant. Certes, ma rondelle est en feu de ce passage en force, mais sentir un mec en train de me baiser, de me niquer, de m'enculer, de me défoncer, de me ramoner, moi l'actif sans concession, tout ça avec une bouche qui s'active sur mon barreau... Et bien oui, je découvre des sensations nouvelles. Je sens le plaisir monter par vagues et à un moment, je n'y tiens plus, je jouis. J'éclate à gros bouillons. Chaque jet est plus abondant que jamais et mes réserves semblent inépuisables, il en dégouline de partout sur le visage de mon contrôleur, il en étoufferait presque. Il aura du mal à reprendre ses contrôles dans cet état ! Mon niqueur se retire, arrache sa capote et je sens ses giclées s'écraser sur mon dos.
Je n'en suis pas resté là. Il était hors de question que l'agression que j'avais subie soit impunie. Et mon beau nordique s'est tapé une double pénétration, la teube du contrôleur et la mienne accolées pour bien le limer, malgré ses tentatives pour l'éviter. Lui aussi a gueulé. D'une certaine manière, il s'est fait dépuceler du cul une seconde fois, tellement il a dû engranger.
Depuis cette nuit-là, je suis revenu à mon rôle d'actif exclusif. Non pas que je n'ai pas aimé ce qui s'est passé. Mais mon pied à moi, c'est quand même de fourrer un cul, de bien l'investir et de faire couiner de plaisir son propriétaire.
XXL
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