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Chapitre -15 : Un sacré coup de matraque
" Gilles ! " Sur ce quai de la gare du Nord, je me retourne à l'appel de mon prénom. C'est un CRS qui m'interpelle... Pas vraiment mes fréquentations habituelles. " Tu te souviens de moi ? Benjamin ! On était au bahut ensemble jusqu'en troisième. " Incroyable, le petit Benjamin que je protégeais de ceux qui le bousculaient et qui faisait 50 kilos tout mouillé, en pèse plus de 90 aujourd'hui ! Le CRS dans toute sa caricature : baraqué, musclé, la gueule carrée. En même temps, c'est bien lui, avec les mêmes yeux bleus immenses qui lui mangent le visage. On échange deux minutes, et c'est lui qui propose : " Je finis à 20h et j'ai une perm On se prend un verre ensuite ? " " Super... Écoute, t'as qu'à passer chez moi, j'habite à côté. Je te note mon adresse. " Je rentre ensuite, quelque peu troublé par cette rencontre.
Il est 20h30 quand il sonne. Après quelques minutes d'échange un peu artificiel, les bières que nous nous enfilons détendent l'atmosphère. Et nous en sommes à rigoler franchement ensemble à l'évocation de nos souvenirs quand il prononce une phrase qui me refroidit : " Fais chier, samedi je suis de service chez les tarlouzes, à cause de leur gay pride... "
On a beau avoir sacrément picolé, c'est sans hésitation que je me lève de mon fauteuil, que je me penche vers lui et qu'à quelques centimètres de son visage, d'un ton calme mais sans réplique, je lui dis : " Une tarlouze, comme tu dis, t'en as une en face de toi. " Je laisse passer quelques secondes, le temps qu'il digère l'info, puis j'ajoute : " Et je sais, je sens, que toi aussi, t'en es une. Tu le sais peut-être pas. Mais moi déjà à l'époque, je savais que tu en étais. Et c'est le moment de passer à l'acte : dans moins de deux minutes, t'auras ma matraque bien profonde dans ton cul de CRS. " Sans lui laisser le temps de réagir, je saisis sa nuque et écrase mes lèvres sur les siennes. Il tente de se dégager, mais je le maintiens. Nos dents crissent. Je me prends son coude dans l'estomac, je ne lâche pas. Il faut bien qu'il respire : ma langue finit par trouver le passage. Et d'un coup tout bascule. Ce sont nos langues qui se battent maintenant. Il n'y a plus là que deux mâles en rut qui se bouffent la gueule.
Je prends son cul à deux mains et plaque son bassin contre le mien : j'ai une gaule d'enfer. L'idée de casser un boule de CRS m'excite grave. Nous nous séparons et nos vêtements volent. Il ne nous faut que quelques secondes pour être à poil. Ce que laissait présager sa silhouette à travers ses fringues ajustées se confirme : il a un corps superbe. Pas un gramme de graisse, rien que du muscle. Des pecs, des abdos et des bras parfaits !
Nous nous faisons face, la teube dressée tous les deux. Mais je garde la direction des opérations. Des deux mains, je le retourne. Et le pousse à me tendre son cul. Putain de boule ! D'autant qu'il creuse les reins et écarte ses fesses des deux mains comme s'il avait fait ça toute sa vie. Ce qui ne l'empêche pas de me dire : " Vas-y mollo, je suis puceau de la rondelle. " Je m'équipe en trois mouvements et ne prends pas le temps d'explorer le chemin. Sans forcer je le pénètre à mon rythme, centimètre par centimètre, jusqu'à l'avoir complètement investi : " Tu vois, je te l'avais dit ! Tu la sens bien ma matraque ? " " Oh oui, elle est énorme ! Vas-y, active-toi ! " Le torse collé à son dos, une main branlant sa teube pour bien le détendre et l'autre lui massant les pecs, je me mets à le limer. Ça lui plait, et il ne se gêne pas pour le dire : " Putain, que c'est bon ! Continue, ouais, déglingue-moi ! Elle est trop bonne ta queue. T'aimes ça, hein, bourrer mon cul ? Il est bon, mon boule de CRS. Baise bien ta salope ! Je suis ta chienne. Éclatez-moi le fion. Oh oui, encore ! "
Moi, voir un mec comme ça se comporter en vraie femelle, ça me chauffe grave. Ma queue est dure comme du béton, et c'est une sacrée tringlée qu'il se prend. Il doit sentir son cul de pucelle chauffer ! Tout en le ramonant, je lui pince les tétons, ce qui le fait hululer. Ce mec n'attendait qu'une chose : se voir révéler sa véritable nature. Désormais à chaque coup de reins, je sors de son fourreau pour mieux y re-rentrer et c'est peu dire qu'il apprécie : sa respiration rauque et ses gémissements en témoignent.
Je le retourne et l'allonge sur le dos. Il me laisse à la manoeuvre et c'est moi qui relève ses jambes et les pose sur mes épaules pour pouvoir le pénétrer à nouveau. C'est en le regardant bien droit dans les yeux que je le réinvestis d'un coup, plus profondément encore. Il écarquille les yeux. Tout en recommençant à le labourer, je lui balance une baffe dans la gueule pour lui faire payer son attitude homophobe, puis j'écrase mes lèvres sur les siennes et réinvestis sa bouche. Mes mains massent ses pecs, puis s'agrippent à ses cuisses. Sacrés jambonneaux ! Tous ses muscles sont tendus par ce qu'il ressent.
A un moment, j'interromps mon mouvement et nous immobilise. Que voulez-vous, je suis joueur et je veux bien lui montrer qui est maître de la situation ! " Alors comme ça, t'aimes pas les tarlouzes ? On va arrêter là alors... " Et là, il prend le dessus. Enfin, façon de parler. Usant de toute sa force, il nous renverse, et m'allongeant sur le dos, il vient se réempaler sur mon pieu. Clairement, il lui en faut ! C'est maintenant lui qui se pistonne au-dessus de moi, donnant son rythme, et c'est peu dire qu'il y va. Il va me la raboter le pollux s'il continue comme ça !
Nous sentant tous deux à deux doigts d'éclater, je reprends l'initiative. À mon tour, je le fais basculer, arrache ma capote d'un geste, lui saisis la nuque et lui enfonce mon morceau jusqu'aux amygdales ! Il a voulu goûter de la queue, il va en avoir. Lui tenant la tête à deux mains, je baise sa gueule comme je bourrais son cul il y a quelques secondes. Il se laisse faire, une vraie poupée gonflable. Mieux : tandis que je lui défonce la glotte, il me regarde de ses grands yeux bleus, montrant combien il est soumis à mon mandrin. Lui qui ne s'était jamais tapé du chibre, c'est un véritable fond de gorge que je lui fais. Il ne va plus rien pouvoir avaler dans les prochains jours... pas plus qu'il ne pourra s'assoir !
Après quelques minutes à ce rythme, je n'y tiens plus, je sens que je vais tout larguer. Et effectivement, je décolle et me mets à gicler dans sa bouche. Croyez-vous que ça le calme ? Il continue à téter. Mais je suis un gros juteur : après les 3 ou 4 premiers jets bien fournis, il ne peut plus absorber et tout lui dégouline de la commissure des lèvres. Je n'attends pas qu'il reprenne ses esprits et lui donne ma teube à nouveau, cette fois-ci pour qu'il la nettoie de la langue. Et c'est peu dire qu'il s'applique. Je vous dis, il va finir par me l'user.
Quand il a fini de bien me la remettre au propre, je repasse mon boxer, puis me tourne vers lui. " Tu vois que t'aimes ça. T'attendais seulement de trouver ton mâle. Et pour un débutant, je dois reconnaitre que c'est pas mal. Je ne me doutais pas que tu pouvais être une vraie femelle sous l'homme. "
Il me regarde fixement et me répond d'un seul mot... : " Encore ! "
XXL
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