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Chapitre -18 : Tel est pris...
Mais quel con je fais ! Me faire chopper au boulot avec le stagiaire du marketing en train de me pomper... Moi qui ne mélange jamais le boulot et le cul. Mais Damien m'avait fait un tel rentre-dedans que je me suis laissé faire : il était entré dans la salle de réunion où j'étais seul, s'était agenouillé, m'avait dégrafé le jean, sortit la queue et s'était activé. Sauf qu'une connasse de la compta a débarqué et s'est mise à gueuler, et que je me retrouve convoqué une heure plus tard à la DRH... sans même avoir eu le temps de gicler. J'en ai la queue encore à moitié bandée dans mon fut.
Lorsque j'entre dans le bureau du DRH, il est au téléphone. Le beau mec brun, look vachard, costume sombre, chemise blanche, cravate à la dernière mode. Il est concentré sur son échange et j'attends qu'il ait terminé. J'en profite pour remettre mon équipement en place. Je surprends un regard furtif de sa part... je suis en train d'aggraver mon cas.
Il raccroche. Pose ses coudes sur le bureau. J'essaye de garder une certaine contenance, planté debout à quelques pas de lui, mais la situation est quelque peu gênante. Je comprends vite qu'il doit être tout aussi gêné que moi. " Dites-moi, qu'est-ce qui vous a pris ? Pour ce qui est du stagiaire, son sort est réglé : il ne remettra plus les pieds dans l'entreprise. Mais vous ? Qu'est-ce que je vais faire de vous ? "
À ce stade, je ferme ma gueule. Je ne vais pas m'écraser devant lui, mais en même temps, je n'ai aucune envie de perdre mon job.
" Voyons un peu ", ajoute le DRH en lisant ses notes. " Le stagiaire affirme qu'il est seul responsable. En même temps, je suppose que vous étiez consentant. " Quant à Mademoiselle Dupuis, elle a déclaré, je cite ses propos : Je n'ai pas pu m'empêcher de crier quand j'ai vu ce sexe énorme forcer les lèvres d'un gamin. " Étrangement, le DRH a levé les sourcils quand il a évoqué la taille de ma queue...
Je réagis à ses propos : " Attendez, un gamin... il est majeur, il a 22 ans. Et effectivement, comme il l'a souligné lui-même, cela relevait d'un acte entre adultes consentants. Même si je refuse de lui en laisser la seule responsabilité. " J'ai l'impression qu'il ne m'écoute qu'à moitié. Son regard s'est posé brièvement sur mon paquet et je le vois avaler sa salive. Se pourrait-il que... ?
Il se lève, fait quelques pas et le tourne le dos, contemplant l'extérieur : " Je vous entends. Il n'en reste pas moins que cette situation est déplacée dans le cadre professionnel. Que diriez-vous si vous surpreniez un de vos collègues ou... même moi en train de pratiquer de tels actes ? "
Je ne sais pas si c'est mon sixième sens ou si ses allusions sont suffisamment explicites, mais je tente le tout pour le tout. Je m'approche de lui, qui me tourne toujours le dos, plaque une main sur son cul et lui réponds : " je ne dirais rien... je ferais ! " Tout en parlant je pose mon autre main sur son paquet. Bingo ! Il est tout aussi raide que moi. Il bredouille une protestation timide. Mon gourdin à la verticale vient se plaquer contre son cul qu'il recule pour bien sentir ma matraque se frotter contre sa raie à travers son pantalon de costume.
Il ne me faut que quelques secondes pour dégrafer sa ceinture et baisser sa braguette : il se retrouve le pantalon et le boxer sur les chevilles. Et là, un cul parfait : des hanches minces, des fesses musclées et rebondies, la marque du bronzage, pas un poil. On voit qu'il est sportif. Un de ces culs comme on en voit parfois dans les douches des vestiaires après l'entrainement. Toujours collé à lui, je lui bouffe la gueule qu'il a tournée vers moi tout en lui massant la rondelle. Et là, ça rentre comme dans du beurre... un " bubble ass " comme on dit. Il ne me faut que quelques secondes pour que trois de mes doigts soient dans la place et s'activent. Il gémit. Il lui en faut plus. Avec l'expérience, je suis devenu un roi de l'enfilage de capote. Un peu de gel et j'investis la place. Ça glisse comme dans du beurre ! Nous ne sommes plus que deux bêtes en rut. Incroyable, mais entre le moment où je me suis dit : " Je tente ma chance " et celui où je lime son cul, il se sera passé une à deux minutes tout au plus.
Je le ramone d'abord lentement, puis de plus en plus vite. Je ressors à plusieurs reprises pour le réembrocher aussitôt. Et il aime la queue, je peux vous le dire ! Ou plutôt, c'est lui qui le dit : " Oui, vas-y ! Bourre-moi le cul. Baise-moi bien. " Je le saisis par les hanches et plusieurs fois de suite le réenfile d'un coup sec. Il se met à bouger le cul autour de mon gourdin tout en continuant à bramer ses envies. Ce cul ! Il constitue la gaine parfaite pour mon engin. Quels que soient mes mouvements, j'ai l'impression qu'il le malaxe et fait tout pour lui arracher sa sève.
Je ressors de son cul, le saisis par la cravate et me mets à lui bouffer la gueule. Ma langue est tout aussi intrusive et brutale dans sa bouche que l'était à l'instant ma queue dans son cul. Le tenant toujours par la cravate, je le couche sur le dos sur son bureau, relève ses jambes et réinvestit la place. Et là c'est une véritable corrida. Je suis en train de le saillir comme il ne l'a sûrement jamais été. Agrippé à ses cuisses bien épaisses et imberbes, je baise mon DRH. Lui si hautain d'habitude avec nous, le petit peuple, se révèle être le bon coup de la semaine. Si on m'avait dit....
À un moment, il se cabre et commence à gicler sans même se toucher. Il en fout partout sur sa chemise, sa cravate et sa veste. Il va avoir du mal à expliquer ça à sa petite femme ce soir. Je me finis en trois coups de reins dans son fourreau et explose en lui. C'est la capote qui va être remplie !
Il reprend ses esprits, puis presque timide me décroche un sourire : " Merci. Pour une première, c'était une réussite. " " Une première ? Avec la souplesse de ton cul ? " " Et bien oui, j'en mourrais d'envie, mais je n'étais encore jamais passé à l'acte avec un mec. Et quel mec ! Oh je ne dis pas que je ne me suis pas amusé avec différents objets. Mais c'est ma première queue. Et qu'est-ce que c'est bon ! "
Il nous faut quelques minutes pour remettre un semblant d'ordre dans nos tenues respectives. Et là, il reprend un ton sérieux : " Pour votre histoire avec le petit stagiaire, on passe l'éponge. " Et il ajoute : " Vous terminez souvent tard le soir. Vous pourriez passer de temps en temps à la DRH après 20 heures... "
Avec un sourire en coin et en lui caressant le cul, je lui réponds : " À vos ordres, Monsieur le Directeur. " J'ajoute, plus sérieux : " Encore une chose : Damien. Je peux l'appeler pour lui confirmer qu'il reprend demain ? " Il n'a qu'un instant d'hésitation, pendant lequel je lui saisis la main et la plaque sur mon paquet. Dans un soupir, il bredouille un oui que je prends pour argent comptant, tandis qu'il s'agenouille et rouvre ma braguette.
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