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Chapitre -19 : Au feu les pompiers
Je les croise très régulièrement faisant leur footing, lorsque je cours moi aussi. Pas étonnant, leur caserne est à 200 mètres de chez moi. Et je dois reconnaitre que je ne peux que me retourner pour mater leurs superbes culs sportifs, moulés par un joli short ou un cycliste bleu et rouge. Avec l'un d'entre eux, on échange parfois un petit salut, depuis qu'une de mes accélérations les a laissés sur place, alors que je courais moi aussi. Nous avons même fait nos étirements ensemble, il y a quelques semaines. Il m'a dit s'appeler Mark, et à ses sourires, je me suis dit que j'avais peut-être mes chances.
Ce jour-là, alors que je rentre par une chaleur écrasante, ils sont trois en civil à être attablés devant une bière à la terrasse du café juste en bas de chez moi. Je suppose qu'ils ne sont pas de service. Je ne vais pas laisser passer l'occasion : je salue Mark et engage la conversation. Ils me proposent de commander la tournée suivante avec eux et je m'aperçois assez vite qu'ils sont déjà bien partis, voire bourrés.
Mark, Thomas et Camille. L'échange est très sympa. Et à plusieurs reprises, je vois le regard de Mark posé sur moi. Le plus lucide est Thomas, qui s'inquiète d'un retour à la caserne dans leur état. Avec beaucoup de naturel, je leur propose de se remettre en forme en se douchant rapidement chez moi, deux étages au-dessus. Mark emporte la décision en se levant, tout en titubant. Les deux autres suivent.
Je viens de faire refaire l'appart et j'y ai fait installer une douche à l'italienne de 4 mètres carrés. Il nous faut peu de temps pour être tous à poil, sans la moindre gêne, sans doute comme à la caserne. Mais alors que l'eau coule, je peux découvrir le physique de chacun dans tous ses détails. Thomas est le plus musclé, taillé en V, un torse large, des cuisses épaisses et un cul de statue grecque. Camille est beaucoup moins large, mais très bien dessiné. Ses hanches sont minces, avec un fessier rebondi. Le plus à mon goût est sans conteste Mark. Outre son corps parfait, il émane de lui, de ses gestes, une force qui me rend dingue.
Comment voulez-vous que je ne réagisse pas ? Alors que chacun de nous quatre se savonne, je me mets à triquer comme jamais. Camille est le premier à le voir et son regard ne quitte plus mon gourdin, au vu de la taille qu'il a prise. Voyant son collègue interloqué, Thomas se retourne et interrompt lui aussi ses gestes. C'est là que tout se joue. Vais-je me prendre un pain dans la tronche ?
Et là tout s'enchaine. Sans doute encore sous l'effet de l'alcool, Thomas ose se saisir de mon gourdin et le caresser. Camille, aussitôt tombe à genoux et commence à me pomper tandis que la bouche de Thomas trouve la mienne. Ce n'est pas du goût de Mark, qui sort de la douche, l'air furieux, se sèche en trois mouvements, enfile ses vêtements et claque la porte de l'appartement en sortant.
Tant pis pour lui. Thomas et Camille sont désormais tous les deux en train de s'occuper de mon engin, alternativement. Mes mains parcourent leurs dos et trouvent l'une et l'autre le chemin de leurs rondelles. Je les masse dans un mouvement synchronisé que tous deux semblent apprécier. Je pousse mon avantage en commençant à les doigter. Camille gémit tandis que Thomas se met à respirer plus fort. Il est clairement plus étroit que son collègue. Rien qu'un peu de persévérance et de temps ne permettent de traiter. Je les redresse tous deux et nos trois langues s'entremêlent tandis que mes doigts reprennent leur place.
Thomas là aussi reprend l'initiative. Il a repéré les capotes posées dans une des alcôves de la douche. Il en ouvre une, la déroule sur ma teube. Puis me dit " J'ai envie, mais vas-y doucement, je ne l'ai jamais fait ". Camille vient positionner mon gland sur la rondelle de Thomas, tout en nous léchant l'un et l'autre. C'est quelques minutes après, alors que je suis en train de pistonner Thomas que Camille se redresse, réintroduit sa langue dans ma bouche puis me glisse à l'oreille : " Ne jouis pas, surtout. Moi aussi je veux essayer. "
Après avoir pris Camille à son tour et l'avoir fait crier de plaisir, nous nous retrouvons sur mon lit, encore humides. Tous deux sont à quatre pattes devant moi et je passe de l'un à l'autre. Plus tard, alors que je baise à nouveau le cul de Camille, Thomas vient se positionner de manière à ce que Camille le prenne.
Deux heures après, c'est couvert de sperme que nous passons à nouveau sous la douche. Thomas et Camille quittent l'appartement, non sans que nous ayons convenu de visites régulières.
C'est vingt minutes plus tard que l'on sonne à la porte. Je découvre là Mark, les traits tendus. Sans rien dire, je m'efface pour le laisser entrer. Puis l'invite à s'assoir. Il met sa figure dans ses mains. Et c'est la voix étranglée qu'il me dit : " Je pensais qu'on était potes, toi et moi, non ? Ils font chier les deux autres. Je veux que tu sois le premier. Fais-moi l'amour. "
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