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Chapitre -23 : Fils de p... rof
Les cours de mon prof de Français de seconde et première m'ont vraiment marqué, puis ses conseils m'ont aidé à trouver ma voie. Depuis, nous sommes restés en contact, d'année en année, mais c'est la première fois que je suis invité à dîner chez lui. En arrivant, je fais connaissance avec sa femme et avec leurs autres invités, deux couples de leur âge. Alors que nous allons passer à table, je l'entends appeler : " Elliot, nous dinons ". Ce n'est que quelques minutes plus tard, alors que nous avons commencé, que j'entends une cavalcade dans l'escalier et que surgit le fameux Elliot. Après un vague bonjour à la cantonade, il s'assied à la place libre, en face de la mienne.
Je ne suis vraiment pas fan des tatouages et des piercings, chacun son truc. C'est d'autant plus dommage que le jeune Elliott a une vraie belle gueule, avec des yeux clairs qui lui mangent le visage. Je suppose que sa crise d'adolescence joue les prolongations. Son père est en train de dresser mes louanges. Je vois à un moment Elliott lever les yeux au ciel. Il est dans la provocation.
C'est quelques minutes plus tard que je manque faire un bon en l'air quand je sens une pression forte sur mon paquet. Déplaçant la nappe, je découvre le pied d'Elliott, déchaussé, posé sur ma chaise et massant ma queue en la frottant. Je le regarde, effaré, il me fixe avec un sourire plein d'ironie. D'un geste discret mais ferme de la main, je retire son pied, il y revient. Ce manège dure quelques minutes. Je n'ai aucune envie de faire un scandale chez mon ancien professeur.
Brusquement, il se lève de table et s'adresse à ses parents : " Je n'ai plus faim, je vais réviser. " avant de quitter la pièce. Je suis soulagé. Mais ce n'est qu'un court répit. Le voilà qui revient, accroupi, visible de moi seul au vu de la configuration de la table, et qui se glisse en dessous.
C'est son visage que je sens contre mon paquet, le salopiot ! Je me recule brusquement provoquant une question de la femme de mon professeur : " Tout va bien, Gilles ? " " Oui, très bien, Madame... juste une crampe au mollet. " Elliott a profité de ce que je répondais à sa mère pour ouvrir d'un coup sec les boutons de mon jean. Et il avale direct ma queue. Oh le salopiot, il sait y faire. Il ne me faut que quelques secondes pour être raide. Quitte à subir une situation non choisie, autant en profiter. Je décide de le laisser bosser. Sa bouche me paraît brulante sur mon engin, je suppose que c'est la situation qui provoque cette sensation. Et je dois reconnaître qu'au bout du compte, je trouve ça assez excitant. Un peu délicat à gérer, notamment quand mon voisin de gauche me pose une question sur le sujet qui alimente la conversation en cours, que je n'ai absolument pas suivie, et que ce vicieux d'Elliott active le rythme alors que je tente de répondre. J'arrive néanmoins à donner le change.
À un moment, alors que je ne suis plus très loin de jouir, Elliott retire sa bouche. Je sens ma serviette tomber puis il la repose sur mes genoux. Et je le vois qui glisse vers la sortie me laissant ainsi en plan. Je réalise que ma serviette est gluante de son jus. Non seulement ce petit enfoiré ne m'a pas fini, mais il a giclé, lui, et s'est essuyé avec ma serviette. Je referme discrètement ma braguette et échange discrètement ma serviette avec celle d'Elliott, après l'avoir pliée. J'ai le temps du dessert pour débander.
C'est au moment où je m'apprête à appeler un taxi pour prendre congé de mon hôte que celui-ci m'interrompt : " Pas question. Elliott va te ramener. Il vient d'avoir son permis. " Je me dis que je tiens peut-être là ma revanche.
Elliott essaie bien d'échapper à la corvée, mais son père lui fait comprendre qu'il n'a pas vraiment le choix. Je ne le détrompe pas. Arrivé à la voiture, j'affirme : " C'est moi qui conduit. " Il tente bien de refuser, mais mon regard lui fait comprendre que c'est comme ça et pas autrement. Une fois en route, il tente d'engager la discussion. Je l'interromps d'un " Ta gueule " bien senti. Au moment où nous traversons une zone boisée, je donne un coup de volant et prend un petit chemin. Un peu plus loin, je stoppe la voiture : " Descends. " Il n'est pas rassuré. " Fous toi à poil maintenant. " Il tente bien de résister, mais je lui flanque une mandale qui lui en ôte l'envie. Je découvre qu'il est vraiment bien dessiné. Mais ce n'est pas mon sujet.
" A genoux. " Et ma queue retrouve sa place dans sa bouche. J'y vais à grands coups de reins, au point qu'il s'en étouffe. " Relève-toi. Je vais te baiser, maintenant. " " Non, arrête s'te plaît. Je te pompe au jus si tu veux, mais laisse mon cul. " " Tu fais moins le fier, petit con. T'as peur que je t'élargisse ? " " Non, c'est pas ça... sucer des potes, je l'ai souvent fait. Mais je ne me suis jamais fait prendre. "
" Tu m'as demandé mon avis, à moi quand tu m'as pompé le zguègue, tout à l'heure ? " " Non, non, je suis désolé. " " Et bien, je ne te demande pas le tien ! Tu vas prendre cher. Et sois content que je n'appelle pas des potes pour passer après moi. " Je vois une larme couler sur sa joue.
Bon, là je crois que j'en ai assez fait et qu'il a compris la leçon. " Tu vois ce que ça fait quand on impose du cul à quelqu'un qui n'est pas demandeur ou pas consentant ? Tout à l'heure, c'est ce que tu m'as fait. Alors non, je ne vais pas te violer le cul. Je voulais juste te donner une leçon. " Son visage est tout blanc. " Excuse-moi pour tout à l'heure. J'ai eu le crush pour toi. Et mon père n'avait eu que ton prénom à la bouche toute la journée. J'ai voulu m'amuser. Mais c'est bon, j'ai compris. " " Rhabille-toi et monte. "
C'est quand nous arrivons devant chez moi qu'il me scotche. " Gilles. " " Oui ? " " Je voudrais un câlin. " Je le regarde avec un sourire ému. " Allez, suis-moi. " À peine la porte refermée, je le prends dans mes bras et nous échangeons notre première pelle, tout en douceur. Je le sens encore sous le coup des émotions qu'il vient de vivre. Il niche son visage dans mon cou. Je lèche doucement son oreille et les trois anneaux qui l'ornent ainsi que le tunnel qui traverse son lobe. Je lui caresse la nuque et le sens frissonner. Ma main glisse sous son tee-shirt et remonte le long de son dos. Il a la peau douce. Il s'abandonne, me laissant à la manoeuvre, ayant clairement abdiqué toute volonté de m'imposer quoi que ce soit. Je lui souris et déboutonne ma chemise. Il me suit en retirant son tee-shirt.
Nous basculons sur le lit et nos caresses se poursuivent. Il a des épaules larges, un torse légèrement musclé, une peau blanche. Ma main passe dans son jean et caresse ses fesses, il soupire de plaisir. Il pose sa main sur ma queue et demande, d'une voix timide : " Je peux ? " avant d'ouvrir mon pantalon et de le retirer. Je fais de même avec le sien et avec son slip. Sa queue est fine, mais la longueur est plutôt sympa. Je l'allonge sur le dos et commence à le lécher en suçant ses tétons, en passant sur le nombril, en remontant ses jambes pour lui bouffer le cul. Visiblement, il aime, au vu des sons qu'il émet. Nous reprenons nos pelles, toujours avec douceur. Puis c'est à son tour de descendre jusqu'à mon gourdin. " Elle est vraiment grosse. " laisse-t-il échapper.
L'exercice auquel il se livre n'a rien à voir avec ce qu'il m'a fait subir tout à l'heure. Je le vois concentré sur le plaisir qu'il me donne, attentif à mes réactions. Il sait accélérer à certains moments, mais il n'est jamais dans la brutalité.
A un moment, il remonte, se couche sur moi et reprenant ma bouche, saisit ma main, mouille mes doigts de sa salive et me dit : " Prépare-moi. " Je ne me le fais pas dire deux fois. Je masse sa rondelle et fait pénétrer une phalange. Il est très serré et cette seule intrusion le fait se contracter. Il va me falloir de la patience. Lui-même humidifie ses doigts et vient à son tour se doigter. Puis il se redresse, ouvre son sac et en sort... un gode ! " Je m'amuse avec ça de temps en temps. " me dit-il avec un petit sourire gêné. " Ça va m'aider à me préparer. "
Allongé sur le dos, les jambes relevées, après avoir copieusement usé de gel, il introduit l'engin et le fait coulisser doucement, puis de plus en plus vite. Je dois reconnaître que le tableau est assez excitant. Un capuchon, du gel, je lui reprends le gode des mains tout en poursuivant le mouvement aller-retour qu'il opérait. Je le retire et positionne aussitôt mon gourdin face à sa porte d'entrée.
La douceur du moment qui suit est en totale rupture avec ce qui s'est joué plus tôt avec Elliott. Nous nous caressons, nous embrassons, nous câlinons l'un l'autre tandis que naturellement, je m'enfonce en lui millimètre par millimètre, sans y mettre aucune pression et sans même que nous ne nous en rendions compte. Ce n'est que quand je suis entièrement maître des lieux qu'il me glisse à l'oreille : " Je suis à toi. Fais de moi ce que tu veux. " Tout en restant bien au fond de lui, je bouge mon bassin de manière à ce qu'il sente bien tout ce qu'il a en lui. Un feulement sort de ses lèvres.
C'est tout en douceur, à grands mouvements réguliers, que je le baise maintenant, attentif à faire monter son plaisir. Et je peux vous dire qu'il monte, le jeune homme étant plutôt expressif. C'est sur son visage que je giclerai à grands jets une demi-heure plus tard, histoire de lui faire comprendre jusqu'au bout que celui qui décide, c'est moi.
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