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Chapitre -25 : Pas de la petite bière
Je bloque sur lui en passant devant la terrasse de ce bar. C'est son rire qui m'a fait le regarder. Assis à une table avec trois ou quatre autres personnes, il rayonne. Brun, avec des boucles, mais peu typé. Pas très grand, bien entretenu, avec des biceps et un torse naturellement musclés qui tendent son polo. Un bermuda qui met en valeur son paquet. Des jambes et des mollets imberbes. Et un sourire qui en ferait chavirer plus d'un.
C'est sans vraiment réfléchir que je m'installe à une table face à lui. Je réalise à quelques gestes échangés que la femme assise à côté de lui doit être la sienne et je m'en veux de perdre ainsi mon temps. Mais je ne peux m'empêcher d'admirer la bête et le charme qu'il dégage. Il croise mon regard et je ne me démonte pas, continuant à le fixer avec un grand sourire. Il a une réaction interrogative, puis décroche pour en revenir à ses échanges. Je ne lâche pas l'affaire, maintenant mon regard insistant sur lui, et c'est à plusieurs reprises que le sien revient vers moi, semblant parfois chercher le mien, parfois légèrement agacé. Il doit se demander ce que je lui veux.
Il ne le saura jamais si je ne passe pas à l'action. Je me lève, mon verre à la main, comme si je rejoignais le comptoir, et au moment de passer à sa hauteur, fait mine de trébucher et renverse une partie de ma bière... pile au bon endroit ! Il a le paquet trempé, et je peux vous dire que sur son bermuda beige, ça se voit ! Toute la table s'exclame alors que lui contemple les dégâts avec un air catastrophé.
Je me confonds en excuses, puis je prends les choses en main : " Tu ne peux pas rester comme ça. Viens, on va nettoyer ça. " Je ne lui laisse pas le choix et l'emmène vers les toilettes, tout en lui répétant combien je suis désolé de ma maladresse.
J'arrache plusieurs essuie-mains en papier au distributeur, les imbibe d'eau et j'y vais direct sur le côté de son bermuda. Il se laisse faire, un peu gêné. Je m'accroupis et j'élargis mon mouvement, frottant le côté de son paquet. Tout en accentuant la pression, je le fixe droit dans les yeux. Je le vois troublé. Jusqu'au moment où il recule brusquement et m'interpelle : " Mais tu fais quoi, là ? "
Je me redresse. Il est contre le mur. " Je fais ce dont tu as envie toi aussi depuis tout à l'heure. " Et je me saisis de son paquet à pleine main. Il sursaute et tente de me repousser. Je tiens bon et continue à lui masser fermement l'entrejambe. Je sais déjà que la partie est gagnée : sa queue est à moitié bandée. Il renonce à résister et j'utilise tout le doigté dont je sais faire preuve pour lui donner du plaisir.
Il a désormais la bite raide comme du bois. Je la branle à travers le bermuda humide. Puis j'interromps mon mouvement, joueur : " Tu veux que j'arrête ? " Sa réponse fuse : " Continue, putain ! "
Je reprends mon action sur sa teub et ma bouche vient chercher la sienne. Dans un dernier accès de pudeur, il détourne la tête : " Pas la bouche ! ". Rien à faire de ses envies. Je lui empoigne la tignasse et lui écrase les lèvres avec les miennes. Je force le passage, il arrête de résister et nos langues entrent en action. Bonne nouvelle pour moi, il embrasse bien. Pendant que nous nous bouffons la gueule, il s'enhardit et vient lui aussi masser mon gourdin à travers mon jean. Je suis dur et les dimensions le font réagir. " T'es monté comme un âne ! " me dit-il, effaré.
Je le saisis par le col du polo et le tire vers une des cabines. Il ne me faut que quelques secondes pour baisser mes jean et boxer. Toujours à la manoeuvre, je lui impose de s'agenouiller. Il regarde mon engin, semblant toujours aussi surpris pas ses dimensions. Je le fais claquer contre son visage, puis le lui enfourne dans la bouche. Il se met à me sucer maladroitement. Soyons honnête, ce n'est pas très agréable. Dans le même temps, le mec découvre qu'il aime ça et s'exerce sans aucune préparation... C'est une limites des grandes premières.
À un moment, je n'y tiens plus. Je le redresse. " Je vais te montrer. " Et là, je peux vous dire que c'est de la pipe de compétition ! Je commence par lui titiller le frein du bout de la langue, puis le lèche tout du long, avant d'enfourner son morceau au plus profond. Je lui bouffe ensuite les couilles, sans pression, avec ce qu'il faut de moelleux, avec de revenir à son engin.
Je me redresse. Il me regarde avec un air effaré : " Je n'imaginais pas que ça pouvait être aussi bon. " " Tu sauras ce qu'un mec attend de toi, la prochaine fois ! " Mais nous ne sommes pas là pour bavarder. Je le retourne, le plaque contre le mur et lui susurre à l'oreille : " Maintenant, tu vas découvrir le meilleur. " Je m'attendais à ce qu'il réagisse. Mais avec ce que je lui ai fait et avec la pression de mon gourdin, il s'abandonne.
Capote ? Capote ! Gel sur mon engin ? Gel sur mon engin ! Gel pour préparer son boyau ? Gel pour préparer son boyau ! Tout ça en moins d'une minute montre en main. Je décolle ses hanches du mur et les positionne, me mets en position et pousse fermement. Il gueule, mais ça passe. Je m'immobilise en lui quelques secondes, tout en lui caressant le torse, puis je reprends ma progression. Il nous faut un peu de temps pour arriver à nos fins, mais là, ça y est, j'ai investi la place.
Je commence à le trombiner, avec un rythme qui s'accélère progressivement. Monsieur n'est pas très discret, qui exprime ce qu'il ressent avec un son guttural à chacun de mes enfoncements au plus profond de lui. Certes, nous sommes à l'abri des regards, mais une autre personne dans ces toilettes ne pourrait avoir aucun doute sur ce que nous faisons. Par prudence, je lui pose la main sur la bouche pour atténuer ses râles.
Et effectivement, nous entendons la porte des toilettes s'ouvrir. Je marque une pause, non sans que le mec que j'ai investi n'ait poussé un dernier feulement. Une voix masculine demande : " Tim, tu es là ? Tout va bien ? " Tim, puisqu'il s'appelle ainsi, toujours embroché, trouve en lui la force de répondre d'un ton mal assuré : " Oui. Je vous rejoins. " Quelques secondes s'écoulent. " Tu es sûr ? " " Oui, oui. À tout de suite. "
Ai-je été assez patient ? La porte n'a pas le temps de se refermer que j'ai repris mon mouvement, générant chez Tim un cri qui a pu être entendu par celui qui le cherchait. Après quelques minutes supplémentaires à ce rythme, je décule, retourne Tim, empoigne ses cuisses et le soulève. Il s'accroche à mon cou et c'est d'un mouvement naturel que porté par moi, calé par le mur, Il se réembroche sur ma queue.
Même s'il ne doit pas peser plus de 60 kilos, je sais qu'il me faut m'activer si je ne veux pas m'épuiser à la tâche. Je le défonce donc désormais sans plus prendre la moindre précaution. Vu ses réactions, ça ne semble pas lui déplaire.
C'est dans sa bouche que je me finis, là aussi sans trop y mettre de délicatesse, tandis que lui se branle frénétiquement. C'est de voir son corps trembler sous l'effet de la jouissance qui me fait venir dans sa bouche que je remplis copieusement.
Nous prenons cinq minutes encore pour tenter de remettre de l'ordre dans nos tenues. Du pouce, je lui retire en rigolant une trainée de sperme au coin de sa bouche. Puis je le laisse rejoindre ses amis avant de tenter de quitter le café le plus discrètement possible. Plus facile à dire qu'à faire, puisque je ne peux que passer devant leur table.
Le groupe ne fait pas attention à moi, l'incident semble oublié. Tim veille à m'ignorer. Mais mon regard croise celui d'un autre mec assis à sa table, dont la ressemblance avec lui est frappante. Son frère, certainement. Il me lance un regard assassin. C'est sans doute lui qui était venu à la recherche de Tim tout à l'heure. Il a dû entendre les gémissements de plaisir de son frère et a compris ce qui s'était joué. Je ne me démonte pas, lui adresse un grand sourire et tout en poursuivant mon chemin, le fixe en me léchant les lèvres. Il devient rouge pivoine, puis baisse les yeux.
XXL
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