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" Remington, body shave, sympa Yann sauf que ce n'est pas le plus utile pour moi, tu sais que je me suis fait épiler définitivement au laser " Yann avait un sourire enfantin. " Bien sûr que je le sais tu me le dis chaque fois. j'ai dit que le cadeau te plairait et à moi aussi " " tu veux que je te rase ? C'est ça ? " voilà j'avais compris le sens de sa phrase, mais ne revenais pas de cette proposition. " Allez Yannick au boulot ! avant de commencer tu me prends en photo, mais avec mon téléphone " il s'adossait devant le mur beige. Je le pris en photo face à moi, de profil et de dos et lui montrais le résultat. " Attends ça ne va pas ! il faut recommencer ! " il enlevait son caleçon et reprit la pose. " Du coup tu veux le rasage intégral ! il y a du boulot "
Je sortais ma tondeuse avec le plus petit sabot et attaquais par les aisselles, les jambes, le torse, le creux des reins. Je tondais d'abord le torse en évitant les tétons. Pus les bras, les jambes, les fesses, le creux du dos. Je découvrais ce corps imberbe ! un rêve pour moi.
Son corps blanc, sa musculature fine qui, jusqu'alors ses poils occultaient. Le petit minet était bien foutu. J'attaquais le pubis et les couilles. Yann ne bandait pas heureusement. Nous avions installé les serviettes de douche pour protéger le lit et je dus les secouer à trois reprises c'est dire la toison. Enfin j'utilisais le cadeau, le rasoir Remington et la avec les vibrations il bandait dur super ! Yann se posait devant le mur pour les mêmes photos (avant, après). Lorsque je pris la photo de dos un déclic ! " Yann, j'ai oublié les poils du cul ! " il se coucha sur le lit les jambes relevées et je rasais. Je ne pouvais résister à lui embrasser la bite et sucer la pointe. Il mouillait d'enfer comme quoi le plaisir était présent. Il passa sous la douche puis je lui enduisais tout le corps avec de la crème Nivea pour adoucir l'irritation. " Yann maintenant tu es véritablement un éphèbe ! tu es superbe. Depuis le début de la semaine il semblait complètement transformé. Nous décidions de manger rapidement dans une pizzéria, Yann me disant ne pas vouloir rentre après 21 h, car un film sur ARTE l'intéressait.
Pendant le repas nous rediscutions du moment que nous venions de vivre. Enfin il m'avouait le rasage était dans le seul but de me remercier des jours agréables passés ensemble et qu'il était sûr que ce serait pour moi un souvenir inoubliable. Il n'avait pas tort.
Le film d'ARTE ne me branchait pas trop, mais bon... s'il voulait le voir. Je passais dans la salle de bain et j'entendais le début du film. Je prenais mon temps pour me faire une beauté. Lorsque j'arrivais dans la chambre, Yann était installé sur mon lit en sous-vêtement. " Ton lit est plus en face de la télé. Mais tu as de la place tu peux venir aussi. " Surpris tout de même, je me couchais sur le dos à côté de lui. Les lits en 140 permettaient cela. Je regardais d'un oeil distrait la télé et souvent j'admirais le corps de mon minet maintenant imberbe. Bien sûr, il sentait mon regard. Il se tournait vers moi, posait ses lèvres sur les miennes. Un baisé fastueux ! je caressais son dos, ses épaules, ses fesses il posait sa tête sur mon épaule et me caressait le torse " tu as la peau douce Yannick " J'étais sur un nuage et je me laissais caresser. Doucement Yann descendit sa main sur mes abdos et enfin me touchait la bite à travers mon caleçon. Mon érection fut immédiate et dure. Je me retournais, posais mes lèvres sur les siennes rapidement sa langue et la mienne se retrouvaient, pour un très long baisé qui n'en finissais pas. Je descendis ma bouche sur ses tétons que je mordillais lui arrachant des petits cris de plaisirs, sur son nombril' puis, enlevant son caleçon, je pris sa queue dans la bouche et le suçais " oh putain que c'est bon ! c'est la première fois attention je jouis vite " " retiens-toi mon canard ça ne fait que commencer ! tu m'as chauffé tu dois assurer ".
Je le retournai sur le ventre " je vais te masser le dos je te sens stressé. Attends " je partis dans la salle de bain pour prendre de l'huile de massage que j'avais dans ma trousse de toilette, mais aussi 6 capotes et du gel... on ne sait jamais ".
Je m'installais à califourchon sur ses fesses et lui massais les épaules, les trapèzes, le dos jusqu'à la ceinture. Yann, les yeux fermés les bras croisés sous la tête appréciait.
Je me levais du lit et en profitais pour enlever mon caleçon tendu par mon érection. Je commençais à lui masser la plante des pieds, puis les mollets, les cuisses. Gêné par son caleçon je lui fis enlever. Je pouvais masser ses cuisses plus haut jusqu'à toucher ses couilles. Ensuite vint le massage des ses fesses parfaitement épilées elles aussi. J'insistais sur la raie puis doucement mon index rentrait en contact avec sa rosette. Instinctivement il écartait les fesses. J'avais la vue sur cette merveilleuse entrée d'artiste que représentait son trou du cul. Mes doigts enduits de gel commençaient à titiller l'orifice vierge. Il se dilatait tranquillement et Yann gémissait de plaisir. " Attention Yann, une nouveauté ! " je rentrais un doigt dans son trou bien lubrifié je poursuivais avec deux doigts mais m'arrêtais au troisième. Je fis placer Yann à genoux le cul tendu. Il effectua cette mise en position doucement, se doutant bien ou je voulais en venir, mais l'expérience le tentait. Je continuais à travailler l'ouverture de sa rosette. " Yann je vais t'introduire, d'accord ? si tu as la moindre douleur tu me dis. " Sa réponse positive me donnait le feu vert, le petit était prêt pour son dépucelage. Ma capote bien lubrifiée enserrait mon gland qui commença à pénétrer. De petits allez retours me permettaient a chaque fois d'introduire un centimètre de plus. J'avais déjà enfilé la moitié de ma queue et Yann ne donnait aucun signe de résistance. Bientôt il fallait passer les sphincters. " serre les dents Yann le passage sera plus douloureux, respire, décontracte-toi, j'irais doucement. " À ma surprise, je ne forçais pas beaucoup et ma bite rentra entièrement, mes couilles touchaient son cul. Je le limais tendrement et mon éphèbe gémissait, il fit même bouger son cul en même temps que je le pilonnais. Je le fis changer de position : Couché sur le côté, allongé au bord du lit les jambes sur mes épaules, empalé et moi assis sur le lit face à la glace pour qu'il profite du spectacle, puis moi couché sur le dos, il vint s'empaler sur ma queue. Je voyais son visage avec un sourire d'ange. Bientôt il jutait de grandes saccades blanches qui m'inondaient le torse. Épuisé, Yann vint s'allonger sur moi étalant, de se fait, sa semence sur nos deux corps. Nous restions dans cette position pour retrouver nos esprits et terminions par un baiser de feu.
La douche ensemble, s'avérait salutaire. Je déconnectais la pomme de douche, pour lui apprendre comment se faire un lavement pour avoir un cul propre. Cela l'amusa beaucoup avec toute la difficulté d'alterner lavement et chiotte.
Nous nous couchions pour un sommeil réparateur. Mais dans la nuit par deux fois Yann me sautait dessus. Une fois je l'ai à nouveau enculé. Et enfin la dernière fois il prit ma queue dans entre ses lèvres pour me sucer. Il gardait ma bite en bouche pour mes deux premières giclées de sperme, et laissait décharger les trois autres jets sur son visage d'ange. Naturellement, pour ne rien gâcher je le nettoyais à grands coups de langue ce qui, la surprise passée l'amusait beaucoup.
Nous convenions que demain après-midi nous irions à la plage. Yann proposait d'inviter Jérôme (tiens donc) et aussi Maxime. Dès les appels téléphoniques passés, nous étions fixés. Jérôme était disponible et heureux de nous revoir, mais Maxime au sport. Une idée me revint en mémoire ; l'adresse de mon beau brun de la boite. Une belle voix grave me répondit et acceptait visiblement ravie de nous retrouver sur la plage. Nous attendions sur le muret d'accès et vîmes arriver ce superbe brun aux yeux de braise, torse nu super barque et short blanc moulant. L'après-midi au soleil sous le regard de ce beau mec serait superbe. J'informais mes jeunes compagnons que nous étions sur une plage publique et pas gay, que la tenue correcte était de rigueur. J'ajoutais que s'ils voulaient faire autre chose, ma chambre d'hôtel était là pour ça. D'ailleurs, vers la fin de l'après-midi, l'évidence se fit jour nous allions prendre possession de la chambre.
Yannick
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