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Début d'après-midi, un jour d'été. Je viens de déposer un copain à l'aéroport. Libre comme l'air, sans obligation précise, je décide de rouler en slip pendant le trajet retour et de faire une halte sur un parking connu comme étant un lieu de drague, au bord d'une nationale non loin de la sortie de l'autoroute. Depuis le parking, on accède à un bois où les allées et venues de mecs ont tracé de nombreux chemins ; les contacts sont souvent rapides, sans blabla : il m'est souvent arrivé de me faire tirer direct là au milieu. J'espère que je pourrai me parquer près de l'entrée de ce bois pour pouvoir sortir de la voiture sans avoir à remettre un short (le parking, en bord de route, est à découvert et, le jour, il est difficilement envisageable de le traverser cul nu). Excité à cette idée, après avoir acquitté le péage, je me gare un instant et je retire le slip ; je ne garde que mes skets/cho7 et un t-shirt court. Je sors le plug du sac à dos où je conserve tout le temps quelques " jouets ", du gel et des capotes, et me l'enfonce sans difficulté. Trop envie de déambuler dans le bois dans cette tenue, en pleine après-midi. Je me sens hyper-salope et n'ai qu'une envie : servir de vide-couilles et être traité comme la pute que je suis.
Le lieu de drague se trouve cinq kilomètres plus loin. M'y voici. Au moment où je m'engage sur le parking, un gros camion semi-remorque est en train d'en sortir. Je ralentis, espérant être vu depuis la cabine. Justement, le routier fait un appel de phares : il m'a repéré ! Ne pouvant plus faire demi-tour, il doit pourtant s'engager sur la nationale ; à tout hasard, je fais de même. Bingo : au bout de quelques centaines de mètres, le camion se gare au bord de la route, à un endroit où l'accotement est suffisamment large. Je m'arrête derrière lui. Sans me soucier de me couvrir, je sors de ma bagnole et me tiens à côté de la porte passager. La masse du poids lourd suffit à me masquer. Cool d'être cul nu en bordure de nationale ! Le mec ouvre la porte. Je monte. Trop bon d'être dans la cabine de ce camion, sans aucun moyen de me rhabiller. Direct et excitant.
" Alors, salope, tu ne mets jamais de pantalon ?
- Non... ça ne sert à rien... "
J'écarte bien les pattes pour l'inviter à passer la main là où ça fait du bien. Il s'aperçoit que j'ai un plug et se met à rire.
" T'es une bonne petite pédale toi... T'as qu'une envie, c'est de te faire niquer... Et moi, de me vider les couilles ! "
Il me fait signe de descendre du camion. Me voilà de nouveau cul nu au bord de la route. Il sort sa teube de son jeans. " Suce, pour commencer ! ", ce que je fais sans discuter. Puis il m'attrape par les épaules et me plaque contre le flanc du camion. Il retire le plug, le tenant d'une main, me pilonne sans trop de précautions et jouit assez vite. Il a l'air assez pressé ; le bahut porte le logo d'une entreprise connue, où on ne doit pas badiner avec les temps de parcours. " Tchao, pédale ! " me dit-il en me rendant le plug avec un large sourire. Je n'ai plus qu'à le remettre, remonter dans ma bagnole, faire demi-tour et à mettre en pratique mon plan initial.
Matin d'été. 5 heures 30. Je suis garé sur un parking en bord de nationale, et attends un mec avec qui j'ai chatté sur Internet. Il m'a donné des instructions, que je suis à la lettre. Je stationne dans la zone qu'il m'a indiquée, non loin des camions. Il n'y a du reste que trois poids lourds à avoir fait halte sur le parking.
La porte de ma bagnole est ouverte. Je ne porte que mes skets et un collier de cuir. Assis sur le siège passager, jambes bien écartées, pieds posés sur le tableau de bord, je me gode tranquillement. Bonne façon de passer le temps. Aucune idée du physique du gars, ni de la voiture dans laquelle il va arriver.
À l'heure dite, personne. Encore un lapin ? Au bout d'un certain temps, je m'aperçois que le rideau d'un camion garé en face de la bagnole s'est ouvert. Le chauffeur, bien visible, torse nu, me mate, mais ça ne me gêne pas. Cinq minutes se passent. Cinq minutes, c'est long quand on se sait maté et qu'on se gode comme si de rien n'était, mais en se sentant bien pute. Son visage est inexpressif, d'après ce que je peux en voir, un mec ordinaire, ni beau ni laid, mais il ne perd rien du spectacle. Je tourne d'un quart de tour et me couche sur les deux sièges, le dos sur le siège conducteur, la tête sur le siège passager, les pattes en hauteur, bien écartées, en appui sur les montants de la porte, les pieds dépassant un peu à l'extérieur, de façon que mon voyeur profite encore mieux. Dans la position où je suis, je ne peux plus voir ce qui se passe au-dehors. Quelques minutes se passent ainsi ; soudain, je sens qu'une main autre que la mienne enfonce un peu plus le gode. Le mec est sorti de son bahut et s'est approché sans que je l'entende. Une claque sur le cul. " Sors de ta bagnole, salope ! " Je m'exécute et me retrouve nu sur le parking, debout, avec mon collier, tenant le gode en place, appuyé à ma bagnole. Excitant et un peu flippant à la fois, même s'il est encore très tôt et que la plupart de ses collègues finissent sans doute leur nuit. " Tu restes là comme ça, enculé ! Tu ne bouges pas jusqu'à ce que je te le dise ! Continue à te goder ! " Voilà quelque chose que je n'avais jamais encore fait, me goder en plein jour - car il fait déjà jour - sur un parking.
Il s'éloigne un peu et me mate de loin. Puis il me fait signe de traverser le parking pour le rejoindre. Ça, c'est de l'exhib ! Je ferme ma bagnole, mets les clés dans ma chaussette (où les mettre autrement ?) et traverse le terreplein en maintenant le gode en place. Plus salope, on ne peut pas. Il sort sa queue et me demande de le sucer ; selon ses instructions, j'appuie la base du gode contre le pneu du camion et pompe le mec tout en faisant des allers-retours du bassin pour me niquer moi-même. Le mec gicle sur ma face, étale le foutre sur ma gueule et me colle une petite baffe pour signifier qu'il est satisfait. Je n'ai plus qu'à rejoindre ma bagnole, en maintenant en place la bite en caoutchouc, et à m'essuyer le visage avant de quitter le parking. Pour rentrer chez moi, je remets un short et mets un plug à la place du gode, peu pratique pour conduire. J'ai rempli comme il faut ma mission de vide-couilles, le mec a apprécié que j'aille jusqu'au bout de son délire. Je ne saurai jamais si c'était lui qui m'avait rencardé sur le net ou si l'occasion a fait le larron, mais c'était bien cool !
Lopexhib
woofy@wanadoo.fr
Autres histoires de l'auteur : Ma vie de lope exhib