Premier épisode
Le lendemain matin, je me réveille tranquillement vers 9h. Je descends, personne dans la cuisine, mais Pascal a déjeuné. Après ce voyage et les péripéties de la veille, je suis content d'avoir bien dormi ! Je m'installe et déjeune aussi. Pascal arrive et me dit : J'ai trait seul ce matin pour te laisser te reposer, tu l'as bien mérité... Il prend un café avec moi. Ce matin il y a du bricolage à faire, puis on déjeune et cet aprèm je te montre les travaux des champs au tracteur.
Moi, Romain : je sais un peu conduire, tu me montres puis on verra ensuite comment tu juges ma conduite.
La matinée se passe bien, le midi on discute autour de la table.
Moi : tu es seul ici ?
Pascal : oui, célibataires (cling !), mes parents ne sont pas loin, mais ils préviennent quand ils viennent (cling !). C'est pas toujours gai, mais là je suis en bonne compagnie (cling !). Et toi, seul, copine ?
Moi : célib aussi, libre... Je me sens bien ici !
Pascal : cool, ça fait plaisir, faut que ça dure. Moi aussi c'est super que tu sois là ! ... Bon on va faire du tracteur. Mets ton short, on risque d'avoir chaud et ce n'est pas salissant, pas comme la bouse...
• Je monte me changer, met mon boxer Aussiebum push up (qui moule et remonte les organes génitaux) assez fin et plutôt mini. Mon short de sport dessus, jambes échancrées sur le côté. Je file le rattraper au hangar. Pascal est aussi en short, genre son vieux short de basket quand il était au lycée, et dessous.... Je ne vois pas encore ce qu'il porte. J'aurais bien l'occasion de voir !
Il atèle l'outil de travail du sol, monte dans le tracteur et moi monte à côté, serré dans la petite cabine. Il sort de la ferme, prend le petit chemin d'où il venait la première fois que je l'ai vu. Les chaos nous secouent, plusieurs fois je me rattrape en tenant son épaule, nos genoux se touchent parfois. Puis on arrive dans un très bel endroit sauvage où il faut herser le sol.
Il se met au bout du champ et commence à avancer tout droit en m'expliquant ce qu'il fait et comment fonctionne le tracteur. Au bout du champ demi-tour et on recommence. Négligemment son genou droit s'écarte et touche les miens, je ne bouge pas ! Lors d'une secousse, c'est l'inverse, je suis propulsé vers lui, touche son genou, il ne bouge pas (cling !) !
Moi, Romain : c'est super ici, beau paysage !
Pascal : oui, et pas un chat, jamais personne (cling !)
Romain : mais aujourd'hui il y a moi !
Pascal me pose la main sur la cuisse et dit : oui, ça c'est super cool !
Ma bite fait évidemment un bond dans mon Aussiebum. Et moi aussi pose ma main sur ses genoux (cling ! Ça y est ça va partir....
On se regarde, timides et gênés. On hésite chacun prêt à enlever sa main si l'autre ne suit pas, mais comme l'autre la laisse, on fait pareil. Pascal bande aussi, je n'ai pas vu quel slip il porte, mais ça se voit. Maintenant moi aussi. Chacun regarde la bosse de l'autre, la main tremblante sur la peau de l'autre. Pascal fait un timide rapprochement vers le haut de ma cuisse. Je suis et fais pareil.
On se regarde et sourit, nos mains vont jusqu'au bout et caressent maintenant nos bosses.
Pascal : ha... Ça fait tellement longtemps que j'ai rêvé de ça... c'est génial ! Hummm tu caresses bien et, toi tu es en pleine forme !
Comme je suis perpendiculaire à lui, il glisse facilement sa main dans mon short par la jambe et arrive au boxer. Comme le short est échancré il mate sous le short et tâte direct le boxer.
Il sort sa main et me dit : il fait chaud, puis vire le haut, il est torse nu. Je fais pareil.
Nos corps se ressemblent un peu : un peu de poils au torse, une belle ligne de poils part du nombril vers le pubis, lui est un peu plus brun et frisé.
Sa main revient dans mon short, touche le boxer, je me penche et fais pareil. Il tend une jambe vers moi pour faciliter ma palpation. Je ne rentre pas facilement la main dans son short, remonte vers son slip, remonte, mais j'arrive en haut de sa cuisse toujours sur sa peau. Interloqué je réfléchis, il me regarde avec un sourire malicieux. Je capte d'un seul coup : il n'a pas de slip... Il est nu sous son short ! Nos 2 bites se tendent encore un peu, grand sourire sur nos deux visages...
J'ouvre et baisse son short, une belle bite en sort dans une touffe de poils bien fournie, il me fait pareil, mais tombe sur mon boxer. Il arrête le tracteur et enlève son short, le passant au-delà des chaussures puis admire mon sous-vêtement et sa forme, me le caresse puis descend doucement pour voir d'abord tous mes poils pubiens, les caresse, les tire un peu, recaresse. Puis il me descend mon boxer et libère ma bite à son tour. Mon sexe fait environ 16-17 ; le sien plutôt 17-18, assez fins tous les deux, bien proportionnés, superbes ! Ses couilles sont foncées, poilues, remontées. Les miennes sont plus claires, un peu plus grosses, peu de poils, un peu pendantes.
Il redémarre le tracteur, nous deux totalement à poil dedans, sauf chaussures. Tout en se plotant réciproquement la bite et les couilles, il me dit : tu vois ça fait des années que je phantasme sur ça et aujourd'hui c'est réel.... Trop génial, je suis excité comme une bête. Je n'en reviens pas, quelle chance ce stage !
Romain : moi aussi je ne m'y attendais pas. Je suis venu ici par obligation et là c'est mieux que tout, je n'ai jamais été aussi heureux et excité... Quelle chance d'être tombé sur toi !
Pascal : et moi donc, toujours seul ici à mon âge, sans partenaire sexuel !
Un moment en silence tous les deux pendant qu'on se caresse. Je vois Pascal gêné, il a quelque chose à dire.
Romain : ça va Pascal ? Tu es bien ?
Pascal : oui trop bien, mais j'ai quelque chose en tête. En tracteur, seul dans ce coin reculé, j'ai toujours phantasmé qu'un mec me pompe à fond pendant que je conduis. Tu serais d'accord ?
Romain : tu voudrais que je te suce en conduisant ?
Pascal, oui, mais à genoux, accroupi au sol comme tu peux entre les conduites de la cabine.
Romain : je veux bien, super excitant, j'essaye.
Je me contorsionne et me met tant bien que mal à ses pieds et va pour le sucer.
Pascal : j'aimerais aussi que tu me suces à fond et que tu avales mon sperme. Je l'ai rêvé tant de fois,... tu me dis si ça te gène, ne te force pas, mais j'en ai tellement rêvé, envie !
• Romain : je n'ai jamais avalé. Sucé oui, mais pas avalé, j'aime pas trop...
Pascal : s'il te plait, regarde comme je bande, comme je suis excité, j'en tremble d'ailleurs, comme toi ! S'il te plait...
Son regard est fabuleux : envie, sexe, force, imagination, imploration, chagrin, larme, joie,...
Romain : OK d'ac je vais le faire, mais je te demande c'est qu'ensuite tu me fasses pareil.
Son visage s'illumine de joie pour ce que je vais lui faire et aussi de s'imaginer avaler mo sperme par la suite.
Pascal : tu sais, après ça mon tracteur ne sera plus jamais pareil ! Je banderais à chaque fois que je monterais dedans...
Je m'installe et décalotte son gland, lui tourne au bout du champ et je commence à le sucer en même temps que le tracteur démarre. Il a des yeux de feu et regarde devant avec force, il roule plus vite. Je suce, je suce, toute la longueur du champ, puis une autre. À un moment il se met à s'agiter, gémir et accélère. Il jouit dans ma bouche. Je n'aime pas tellement ça, mais ici c'est merveilleux et je le tête pour en avoir plus, puis je continue à le sucer après son orgasme. C'est terrible, c'est une torture, mais je continue. Il se débat, me repousse, me tiens les mains, gémit, crie.
Romain : soit endurant Pascal, je te suce jusqu'au bout du champ ; on est déjà au 2/3 !
Je continue à sucer son sexe, surtout le gland hyper sensible. Il bouge moins, mais crie, il devient fou, il accélère à fond, le tracteur se cabre un peu, il y a de la poussière derrière, on est hyper secoué dedans, ça rend ma fellation encore plus excitante. Il hurle en continu jusqu'au bout du champ où tout s'arrête !
Romain : alors ?
Pascal reprend son souffle, serre sa bite dans sa main pour la calmer, puis une fois ses esprits récupérés : c'était énorme, géant, jamais imaginé ça.... Je suis mort !
Romain : hé, pas trop mort, c'est à ton tour maintenant de sucer !
On descend tous les 2 du tracteur, on s'assoit un peu dans l'herbe [humm comme c'est agréable tous les 2 à poil dehors]...° Sa bite à débandé, la mienne dressée vers le ciel. Il s'allonge et ferme les yeux, dort quelques minutes pendant que j'essaye de pisser un peu, mais avec cette trique ce n'est pas facile.
10 mn plus tard je reviens, il ouvre les yeux, sexe mou, et me regarde. Il s'assoit, moi aussi, à côté de lui. On se sourit, s'approche et puis un bisou, 2, 3 puis ça part en grosses gamelles. Sa bite se redresse et quand elle est de nouveau dressée je lui dis : bon on y va, tu es redevenu en forme, regarde comme tu bandes.
Pascal se dresse d'un coup : OK on y va, tu conduis...
On inverse les rôles. Pascal est assez gêné de sucer, ce doit être la première fois ??? J'adore : la puissance de la machine, le bruit, ce beau mec à mes pieds, la fellation, ses mains qui me caressent, quel pied.... Je vais bientôt avoir un orgasme, oui ça y est, OUIIIIII je lui jouis dans sa belle bouche, il avale, boit, j'en remets, j'éjacule des jets, je gémis, râle, le tracteur fait des bons, dans un orgasme mécanique !
Pour se " venger ", Pascal continue aussi à me sucer et caresser après mon orgasme. Je crie, me débat, il me tient fermement, impossible d'échapper à sa fellation forcée, je hurle, moi aussi fait rugir et foncer le tracteur pour arriver au plus vite au bout du champ !
Au bout, il me dit : on finit, il reste environ 30 min de travail. En silence je continue, on se caresse un peu, on se plote, peu à peu je rebande aussi. À la fin du travail on est tous deux de nouveau en érection et on rentre à la ferme.
À la ferme on se douche ensemble, on dine, puis on monte se coucher, tous les deux dans le lit de Pascal.
Pascal : tu es la première personne à dormir ici avec moi, comme c'est bon ! Il me tient la bite, on se roule des gamelles et on s'endort comme ça, la bite, les couilles de l'autre serrées dans sa main.
Dites-moi si vous aimez, quoi de plus, de moins, ce que vous avez préféré !
Stéphane