Premier épisode | Épisode précédent
Comme je suis arrivé mercredi, aujourd'hui c'est la fin de la semaine. Je repars après déjeuner.
Il est tôt, on se réveille pour aller traire. Mais avant de se lever, on profite de notre premier réveil ensemble dans le même lit ! Évidemment érection de nos pénis, érection énorme, évidemment. Palpation réciproque de nos organes reproducteurs. Bisous sur la bouche, puis ça tourne évidemment en gros chaut dans le lit : deux jeunes mâles en forme, pas besoin de les exciter longtemps pour les mettre dans des états sexuels pas possibles. Tout y passe : romantiques bisous et caresses, chatouilles gentilles puis intimes qui se poursuivent en lutte fraternelle puis en simulation réciproque de copulation, sexe tendu vers l'adversaire, prêt à tout pénétrer.... Deux vrais bonobos ! Dommage que personne ne puisse voir leur réveil débridé plein d'amour, de sexe et de force.
Pascal dit : il va falloir y aller, mais avant je m'allonge sur toi et on se branle l'un sur l'autre, OK ?
Moi : oui OK si en même temps on s'embrasse !
Pascal : évidemment...
On se frotte sexe sur sexe, on se chatouille, on rigole, c'est super bon ! Pascal jouit en premier. Maintenant ma bite se branle dans son sperme, puis moi, aussi j'éjacule. On s'arrête, s'embrasse, se frotte sexe sur sexe pour bien mélanger nos secrétions, puis on se lève, s'habille et allons petit déjeuner, plein de sperme. Évidemment : en agriculture on ne se douche pas le matin, mais après le travail.
Pendant le petit déjeuner, je mets la main dans le caleçon de Pascal et lui dit : ça colle... Puis lui en étale sur le visage et me lèche ce qui reste.
Il me dit : tu en veux une tartine, en sortant la main de mon boxer ?
Moi : une autre fois, mais pas en mélange ! Le tien ou le mien.
On est mort de rire d'excitation et de joie... Un grand sourire sur chaque visage, une bite tendue horizontale dans chaque slip !
Bon, on y va il y a du travail, surtout que je pars après déjeuner. J'ai un peu de route.
Sur la route j'achète 2 choses au supermarché ; rayon alimentation, pour jouer avec lui lundi. Faire une surprise à pascal. Mais je ne dis pas ce que c'est...
Dimanche :
Arrivé chez moi je retrouve ma famille qui est surprise de me voir si joyeux.... Ils savaient que repiquer mon année, refaire un rapport de stage dans une ferme que je ne connaissais pas était un vrai calvaire pour moi...
Les parents : tu as l'air en super forme !
Moi : oui, stage super. L'agriculteur est très sympa.
Parents : il vit seul ?
Moi : oui...
Parents : il n'aurait pas une soeur dont tu serais tombé amoureux ?
Moi : non, mais il y a une bonne ambiance (t'imagines même pas...)
Pascal est invité à manger chez ses parents dimanche midi :
Parents : dis donc Pascal, tu as l'air en super forme... C'est un ou " une " stagiaire qui est arrivé chez toi ?
Pascal : c'est un garçon (j'ai vérifié partout sur son corps nu), mais c'est sympa de ne pas être seul et avec lui le travail avance plus vite (tu parles, menteur...)
Lundi :
Retrouvailles chez pascal, mais, merde, il y a quelqu'un. Je pensais depuis mon départ lui sauter au cou, mais un homme d'une quarantaine d'années est en train de lui vendre des aliments pour les veaux ! Bon il est pas mal le mec, mais je ne vais tout de même pas lui $@&*#§ dessus comme ça !
Quand il est parti, j'ai moins envie de sauter de joie et on se fait un bonjour tendre et amoureux, tranquille.
Je dis à Pascal, j'ai préparé un jeu. On peut faire ça quand ?
Pascal : ce matin il y a du travail. En début d'aprèm après le déjeuner ? Ça va ?
Moi : OK, aller, au boulot
On bosse toute la matinée, on déjeune, chacun impatient du jeu. Café rapide. Puis on va dans sa salle de jeu/fête : une grande pièce au rez-de-chaussée qui ne sert que lorsqu'il y a du monde ou pour jouer au baby, ou autre.
Romain : Pascal ; je t'explique : tu ne dois porter que 7 vêtements. Par exemple chaussure chaussettes (=4), caleçon bermuda (=6) et t-shirt (=7). Tu es OK ?
Pascal : oui, attends-je compte, oui ça va. La montre, ça ne compte pas ?
Moi, Romain : non ça compte pas
Pascal : et tu as quoi dans ton sac de courses ?
Romain : tu verras bien... Attends un peu, branleur !
Pascal : tu me cherches ??? Fais gaffe ! Allez montre, ne fait pas le bâtard...
Romain : je suis inflexible, comme certains de nos organes à certains moments...
J'explique le jeu : on va tirer pile ou face et dès que tu gagnes tu me vires une fringue, celle que tu veux. Puis c'est à mon tour. OK ?
Pascal : OK p'tit bâtard !
Lui : m'enlève mon t-shirt
Lui : m'enlève mon bermuda
Moi : enlève son bermuda
Lui : enlève mon caleçon. Ça y est tu es le premier la bite à l'air.... Alors bâtard ou pas ???
Moi : enlève son caleçon. Égalité pour les bites à l'air ! ! !
Moi : enlève son t-shirt. Il est à poil sauf les pieds.
Moi : une chaussure
Lui : une chaussure
Lui ; une chaussette
Moi : autre chaussure
Moi ; une chaussette
Moi dernier vêtement la chaussette
Lui : une chaussette
Lui dernière chaussette
On est tous les deux à poil, évidemment en érection.
Pascal : bon tu l'ouvres maintenant ton sac poubelle ?
Romain : oui, une minute. Regarde : du Nutella et du lait concentré.
Pascal : super, j'adore pour le gouter quand je crève la dalle.
Romain : oui si tu veux, mais je te propose le jeu suivant :
- Je m'en mets sur le corps et ensuite tu viens lécher ce que j'ai mis, ou bien, seconde option, tu t'en mets sur ton corps et je viens lécher où tu l'as mis. Ça te dit ?
Pascal : carrément gore, le lait, on dirait du sperme et le Nutella de la merde. Mais c'est super excitant aussi... En plus je suis gourmand de cette bouffe... et de toi !
Romain : bon je commence par mon truc favori.
J'ouvre le tube de lait concentré, je prends ma bite, je tire le prépuce, mais le tube dedans et presse. Il se remplit de lait concentré. Je pince le prépuce et masse pour l'injecter tout autour du gland, et c'est prêt : Tu lèches ou suces cette magnifique bite au sperme sucré !
Pascal : waouh... c'est géant ! On dirait du vrai, mais en telle quantité...
Il lèche, suce, relèche, il prend son pied. Décalotte mon gland plein de crème blanche jusqu'à la base, lèche, suce...
Pascal : trop bien, je me fais pareil et tu viens me sucer la bite !
Et c'est parti pour une autre bite au sperme concentré sucré...
Romain : maintenant Nutella. Je m'en mets dans la raie et tu viens me nettoyer.
Pascal s'approche : c'est crade on dirait vraiment de la merde.
Mais il commence à lécher et s'aventure dans une partie du jeune homme qu'il n'avait pas encore explorée : sa raie.
Au début il lèche juste les lobes des fesses, de plus en plus la raie, puis écarte les fesses pour lécher au fond et, quel hasard arrive à sa rosette !
C'est une première pour Pascal de lécher cette partie. Il est encore timide...
Romain soupire de bonheur sous les léchouilles de Pascal...
Pascal : bon à mon tour, mais moi tu vas voir j'en mets aussi dans le cul, faudra venir le chercher. Il le fait, mais ce farceur remet ensuite son boxer et se le colle bien aux fesses...
Romain : c'est dégelasse, j'ai l'impression que tu as chié dedans et en plus je suis obligé de te nettoyer avec ma langue... mais pour finir je vais te faire une belle feuille de rose, cela ne se refuse pas !
Pascal : une quoi ?
Romain : feuille de rose, attend je vais te montrer quand j'aurais un peu éclairci la situation.....
On continue un moment ce jeu de débiles, puis je remets mon boxer, écarte devant et mets du lait concentré dedans dans les poils, au niveau de ma bite et sur le tissu, puis referme mon sous-vêtement moulant et lui dit :
J'ai joui dans mon boxer, nettoie ça !
Pascal approche, regarde dans mon slip d'un air dégouté :
On dirait vraiment que tu t'es branlé dans ton calbut !
Il s'approche et lèche, suce,... Ça a même coulé jusqu'aux couilles. Il doit enlever le slip, bien le lécher, puis j'écarte les jambes et il nettoie bien mes chers testicules, dessous, entre mes jambes ! J'appuie sur sa tête et lui dis :
Comme c'est mignon, on dirait un chaton qui lèche sa maman
Pascal : fous-toi de moi ! Il se relève, me fout par terre sur le dos, écarte mes cuisses et continue à lécher.
Et maintenant on dirait toujours un chaton ?
Romain : non, maintenant un gros iench qui ronge son os...
Je suis tordu de rire, car cette andouille en plus me chatouille avec sa langue : sous les couilles entre les jambes, je suis très chatouilleux...
On continue par des choses classiques, mais aussi l'intérieur des oreilles, les pieds, nombril, sous les bras, sur les lèvres, sur les poils du torse, le bout du nez...
Si bien qu'à la fin du jeu il n'y a pas un seul endroit où j'aurais voulu le lécher ni un seul où j'aurais voulu être léché... il n'a plus non plus ni lait concentré, ni Nutella !
Pascal : bon, on va se doucher avant de bosser.
Romain : OK, mais, si on se lavait au jet d'eau dans ta laiterie, comme tu m'avais fait le jour de mon arrivée ?
Quelques minutes plus tard, on retrouve nos deux bonobos à poil dans la laiterie en train de s'asperger et se chamailler, arracher le tuyau d'eau des mains de l'autre pour l'asperger partout, essayer de le foutre dans le cul de l'autre ! ! !
Voilà pour cette fois. Faites-moi part de vos remarques ou juste un mot de retour. C'est tellement motivant...
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Stéphane