Premier épisode | Épisode précedent
Cependant, l'un des meilleurs moments de cette année 1992 a peut-être été la rencontre avec un autre membre de ma nouvelle famille. Si les parents de Will avaient rendu l'âme l'an passé, il lui restait encore un jeune frère qui, après avoir mené une vie quelque peu dissolue, s'était également engagé dans l'armée, comme son aîné avant lui. Par la suite, il avait apparemment été recruté par les pompiers de Los Angeles durant un été particulièrement caniculaire et, une fois l'automne arrivé, il avait gardé le poste par passion. Les premiers bourgeons du printemps émergeaient hors de la terre fraîchement dégelée quand j'ai appris que Shane Wellington devait débarquer chez nous, et qu'il fallait donc lui préparer une chambre d'ami. J'ai été plus que ravi d'élargir mon horizon familial, bien que cela signifie aussi une diète sexuelle drastique pendant le séjour de ce fameux oncle - mon père ne voulait pas choquer son cadet en se faisant surprendre la queue enfoncée dans le rectum de son fils. Nous avons donc accru la cadence de nos rapports avant son arrivée en espérant que cela serait suffisant pour calmer nos importants besoins en sexe à tous les deux. Je finissais d'ailleurs de nettoyer le sperme qui maculait mes pectoraux, beaucoup plus plats que ceux du shérif, lorsque la sonnette a retenti dans l'entrée. J'ai terminé mon ablution, enfilé un t-shirt à la hâte et suis donc descendu saluer cet homme dont Will m'avait tant vanté les mérites.
Je dois dire que je n'ai pas été déçu. La génétique peut parfois jouer des tours, et si je tenais plus de ma mère que de Will au niveau de l'apparence, je dois avouer que la ressemblance entre le shérif et son frère m'a perturbé. Les mêmes yeux bleus, le même menton, les mêmes cheveux blonds, simplement un peu plus long - et surtout la même carrure athlétique forgée par des années d'entraînement militaire. Shane était la copie conforme de William, avec toutefois une décennie de moins au compteur. Ses traits étaient également plus doux et sa peau légèrement mate lui donnait un air de surfer brésilien adepte de la coolitude. On s'attendait presque à le voir nous sortir un truc de hippie, genre un " Yé man !!! " en traînant bien sur les syllabes. Il donnait une accolade à mon père lorsque je suis arrivé en bas des escaliers, et il s'est tout de suite dirigé vers moi en m'adressant un sourire radieux :
- Tu dois être Devin hein ? s'est-il exclamé avec entrain. Bon sang Will, tu m'avais dit que tu avais un marmot, mais je t'imaginais papa d'un petit poupon, rien à voir avec... un homme, a-t-il conclu en me désignant de haut en bas. T'as quel âge ? Dix-huit ans ?
Je lui ai répondu que j'en avais dix-neuf, presque vingt, et il a ri en me gratifiant d'un " t'es un vrai mec alors ", puis il m'a donné une tape sur l'épaule si puissante qu'elle aurait pu m'enfoncer dans un sol en terre meuble - heureusement qu'on n'avait pas fait connaissance dans le jardin, sinon j'aurais tenu compagnie aux rosiers. A en juger par ce que je devinais sous sa veste en jean, il devait être aussi musclé que son aîné, l'oncle Shane. Reste à savoir s'il est aussi membré. La pensée m'a traversé l'esprit, mais il m'a suffi de croiser le regard de mon père, occupé à soulever la valise du nouveau venu, pour m'apercevoir que c'était surtout avec lui que je voulais m'envoyer en l'air. Son cadet n'était qu'une copie sortie du même moule, mais pourquoi rechercher sa compagnie quand on peut avoir la version premium. Les raisons de vouloir le corps de Shane s'imposeraient à moi les jours suivants son arrivée, mais à ce moment, je ne souhaitais que deux choses : faire connaissance avec ce sympathique gaillard, et me mettre à genoux pour sucer le gros chibre paternel. Ne pouvant céder à cette dernière pulsion, j'ai choisi d'aller préparer un bon dîner afin de tisser du lien familial avec ce fameux Shane Wellington dont m'avait tant parlé Will.
Je vous concède volontiers que Cocktown n'est pas la plus touristique des villes, ni la plus attractive. Son caractère reculé et son aspect digne des vieux romans décrivant l'Amérique profonde ne lui rendent cependant pas justice ; la proximité avec les Grands Lacs permet nombre d'activités divertissantes, telles que la navigation, ou encore la pêche. Mon père a d'ailleurs ressorti de vieilles gaules du garage dès le samedi qui a suivi l'arrivée de son frère, de manière à ce que nous puissions partager un moment en famille par ce bel après-midi ensoleillé - car dès que le froid de l'hiver s'éloigne un peu dans la région, il emporte avec lui l'humidité et le temps maussade pour laisser place à une lumière vive et à un air vivifiant. Les vastes rives rocheuses tendent alors les bras à tous ceux qui voudraient tenter de faire la meilleure prise. Nous nous sommes donc installés sur une grande pierre plate, à l'ombre des pins. Will a récupéré des bières dans la glacière, et nous avons passé le temps en scrutant le miroir argenté qui s'étirait jusqu'à l'horizon, dans l'espoir que nos appâts attirent une quelconque prise - on ne demandait pas un brochet, simplement un ou deux poissons-chats, histoire de rigoler un peu.
Le panorama était à couper le souffle - et je ne parle pas de la vue sur le lac. Passé midi, la température est sensiblement grimpée, et la chemise vichy de Shane s'est miraculeusement ouverte, bouton après bouton, jusqu'à pendre négligemment sur ses épaules ; à la moindre bourrasque, les pans s'écartaient alors et dévoilaient une ceinture abdominale aussi impressionnante que celle de Will, sans parler de ses pectoraux saillants. Si mon oncle était un peu plus petit que son frère, il était également plus râblé. Le vent agitait les épis dorés qui prenaient naissance sur son crâne, lui donnant ainsi un air de mannequin - de ceux que l'on voyait à l'époque dans les pubs pour dentifrice, à -demi nus dans leur salle de bain, une brosse à dents en main. Son short court moulait ses fesses rebondies, mettait en valeur un paquet impressionnant, et ne cachait rien de ses jambes renforcées par des années d'entraînement drastique. Allongé sur la pierre, ses verres polarisés étaient posés sur son regard limpide - d'un bleu plus clair que les yeux de mon père, moins saisissant, ce qui avait pour conséquence d'adoucir considérablement ses traits.
Un bras replié derrière sa tête exhibait son biceps contracté, et de là où je me tenais, je pouvais distinguer la veine qui saillait sous sa peau hâlée. Le souffle frais qui balayait la région en provenance des terres canadiennes provoquait chez lui une légère chair de poule, et je n'ai pas pu m'empêcher de noter, malgré le tissu en recouvrait un, que ses tétons pointaient ; leurs aréoles, plus sombres que celles de Will, tentaient mes lèvres à tel point que j'ai dû m'éloigner en prétextant une envie pressante afin qu'oncle Shane ne remarque pas la gaule proéminente qui distendait mon short en toile, peut-être trop moulant dans ce genre de situation - mais je n'avais pas prévu d'être à ce point attiré par lui, jusqu'à ce que je réalise que la génétique me jouait un sale tour en mettant à ma portée non plus un, mais deux magnifiques Wellington.
Je me suis adossé contre un arbre, une fois sûr que les fourrés me cacheraient, et j'ai passé les doigts sur la barre de chair en la serrant à travers le tissu blanc - je priais simplement pour que mon caleçon soit suffisamment absorbant et que les tâches humides ne deviennent pas subitement visibles. J'avais ôté mon t-shirt en arrivant au lac pour lutter contre la chaleur, et j'étais en train de caresser mon torse finement forgé par l'exercice et la vie à la dure lorsque j'ai soudain entendu un bruit de branche morte qu'on écrase et de fougères déplacées. Avant que je n'aie le temps d'esquisser un geste pour faire demi-tour en direction de la rive, Will m'a surpris la main dans le sac - pour ne pas dire sur le chibre - et deux doigts occupés à me pincer les tétons. La base de mon cou était légèrement rougie, et ma respiration quelque peu approfondie ne facilitait pas la dissimulation de mon acte coupable.
Le shérif de Cocktown s'est approché de moi, également torse nu, seulement vêtu d'un vieux short de pêche en toile. Il m'a attrapé par l'épaule, m'a plaqué contre le tronc auquel j'étais accolé quelques secondes auparavant et, avant que je ne puisse bredouiller quoi que ce soit, il a plaqué ses lèvres sur les miennes en courbant le dos pour se mettre à ma hauteur. Ses battoirs ont saisi ma taille fine et je n'ai pas traîné à poser mes mains sur son torse incroyablement musclé. La langue de mon père explorait ma bouche alors que je sentais un mouvement du côté de ma cuisse ; il frottait son érection contre la mienne à travers les tissus qui nous recouvraient.
- Alors comme ça il te plaît, ton oncle, m'a lancé Will en rompant notre étreinte. Une semaine sans que je ne m'occupe de ton cul, et il devient ta nouvelle cible.
- Mais non, me suis-je récrié avec peu de conviction, tu sais bien que tu es mon seul fantasme...
- Ouais, et lui c'est mon frangin... Il me ressemble beaucoup, même au niveau de l'entrejambe, si ça t'intéresse de le savoir.
Une étrange contraction au niveau de l'anus m'a alors hérissé l'échine, et j'ai couiné malgré moi ; mon paternel avait glissé un doigt dans mon caleçon et me travaillait la rondelle tout en embrassant la peau tendre de mon cou. J'ai défait sa ceinture pendant qu'il jouait déjà avec mon trou, et j'ai soupiré :
- Oooooh oui, continue ! Oh c'est bon, ça fait trop longtemps. Sept jours sans ta queue, c'est trop dur !
- Ah ça pour être dur fiston, c'est dur.
Sans autre forme de précautions, Will m'a attrapé par les épaules, a pris appui à son tour contre le pin, et m'a agenouillé devant lui, à même le sol. Son short ridicule est tombé sur ses chevilles et je n'ai pas attendu sa permission pour tirer sur le caleçon déformé par sa verge imposante. L'engin a jailli, comme s'il était monté sur ressort ; la barre de chair tendue par d'imposantes veines appelait mes lèvres, et je me suis jeté dessus tel un assoiffé dans le désert. Saisissant les couilles chargées de semence au passage, je les ai manipulées entre mes doigts afin de leur prodiguer un massage, tout en salivant abondamment sur le pieu paternel.
- Ooooh r, ça fait trop longtemps que tu m'as pas sucé, Dev.
- Ça fait pas si longtemps que ça, me suis-je exclamé en recrachant son morceau, dis pas n'impor... humfff !
Sa main ne m'a pas laissé l'occasion de finir ; il l'a posée sur ma nuque et m'a attiré contre son mandrin en faisant travailler ses biceps et ses pectoraux pour me signaler qu'il était en position d'autorité vis-à-vis de moi - et je me soumettais sans protester, justement parce que je savais qu'il n'allait pas abuser de ce pouvoir. Il se contentait simplement d'exploiter au mieux le peu de temps que nous avions avant que Shane ne se demande où nous étions passés. J'accélérais la cadence des va-et-vient en avalant le plus de centimètres possibles, parvenant même parfois à poser mon visage sur le pubis blond de mon père, signe que je tenais en fond de gorge son imposant mandrin. Je levais alors des yeux humides vers lui pour croiser son regard électrique, et je le voyais qui soupirait de plaisir en me maintenant la tête dans cette position le plus longtemps possible ; dès que mon diaphragme se contractait et que mon corps amorçait un mouvement de renvoi, il me relâchait et me laissait reprendre un rythme moins soutenu. Je me concentrais alors sur la pointe sensible, imposante et humide, léchant cette zone sensible et baladant ma langue dessus comme dessous ; l'engin était toujours secoué par une pulsation incontrôlée lorsque je chatouillais le frein ou que je m'amusais à parcourir la couronne frémissante, à la limite avec la peau rétractée du prépuce.
J'étais toujours agenouillé, les deux mains occupées à triturer les larges tétons rosés de Will, quand un hoquet nous a surpris tous les deux. Selon toute vraisemblance, on venait de nous surprendre et le tableau ne jouait pas vraiment en faveur de notre innocence ; moi sur les rotules, les doigts serrés autour des zones érogènes de mon père, et lui qui me tenait la tête pendant que je suçais son énorme chibre et que ses couilles claquaient contre mon menton. Il faut croire qu'en dépit de nos précautions, nous nous étions laissés emporter par notre élan lubrique, oubliant de gémir moins fort, et surtout qu'oncle Shane nous attendait toujours au bord du lac.
Il s'est sûrement inquiété pour nous et, entendant les râles sauvages que poussaient mon partenaire, il nous a découvert sans le moindre problème. Sa canette de bière venait de lui échapper des mains et il nous observait, la mâchoire pendante. Mon père s'apprêtait à la lui crier un mensonge peu convainquant, mais de circonstance, du genre " attend mec, c'est pas ce que tu crois ", lorsque son cadet a repoussé les pans de sa chemise et l'a retiré d'une manière on ne peut plus sexy, accrochant le vêtement à une branche qui pendait non loin. Il a caressé son propre torse, s'est approché de nous et a mis une claque sur le pectoral de son aîné en baissant les yeux vers moi, de telle sorte qu'il a pu me contempler dans toute ma splendeur - le menton couvert de salive, une bite tendue sous mon nez.
- Eh beh frangin, je sais bien que t'es un gros queutard, toutes tes ex me l'ont confirmé quand on était au bahut, mais je pensais pas que tu serais du genre à fourrer ton propre fils. J'espère qu'il suce bien au moins.
- Comme un dieu, a rétorqué Will, c'est un pro pour ça.
Shane a alors saisi la queue de son frère et me l'a claquée sur le visage - la longueur permettant amplement de couvrir entièrement ma face.
- Alors Dev, t'attends quoi ? Montre-moi comment tu t'y prends.
J'ai repris le sexe de mon père en bouche, sous l'oeil expert de mon oncle - ce beau pompier de profession, qui m'a révélé par la suite qu'il se faisait régulièrement pomper la lance à la caserne, que ce soit par de belles donzelles amoureuses de l'uniforme, ou par ses collègues qui, en manque d'incendies, en avaient parfois un de greffé au cul. Il n'a pas fallu très longtemps avant que le chibre du tonton se dresse également, et il s'est empressé de faire tomber short et caleçon, dévoilant ainsi un instrument semblable à celui que j'avais en bouche, tout aussi long, large et veineux, peut-être un tantinet plus sombre, également doté de bourses légèrement plus épaisses. A peine m'a-t-il frappé la joue avec que j'abandonnais le chibre de Will pour attaquer le sien. Mes mains accrochées à ses cuisses de surfer - car il l'était bien, comme je devais l'apprendre dans la soirée - je me suis empalé sur son engin avec fougue et excitation. Je ne ménageais pas ma peine et ma mâchoire se faisait douloureuse à force d'alterner entre caresses buccales sur le gland, va-et-vient plus intenses et gorges-profondes, tout cela en étant sollicité par deux sexes en même temps - chacun voulant profiter autant que l'autre de mon savoir-faire en matière de pipe torride.
Mon père, en bon joueur, a finalement cédé définitivement sa place à Shane et s'est glissé derrière moi, tandis que mon oncle caressait mon visage, se baissait pour me rouler une pelle, puis me renfilait sa queue en râlant, la tête levée vers le ciel radieux, l'un de ses tétons épais pincé entre le pouce et l'index. J'ai réajusté la position de mes genoux endoloris et j'ai soudain senti les mains de Will qui se glissaient autour de ma taille pour déboucler ma ceinture ; il m'a retiré le peu de vêtements qu'il me restait d'un seul coup et je me suis retrouvé cul nu, tout en étant parfaitement conscient que mon paternel n'allait pas se contenter d'observer mon fessier galbé. Il a donné une petite tape dessus en contemplant ses courbes délicates, puis il s'est emparé des deux hémisphères briochés, les a écartés, et alors que je me tenais prêt à subir l'assaut de ses doigts, voire de sa pine, si son envie de faisait vraiment trop importante, j'ai lâché un cri de surprise - malgré la bite d'oncle Shane qui me décrochait la mâchoire - lorsque j'ai senti une étrange chaleur, à la fois râpeuse et humide, se poser sur ma zone intime. Will a titillé ma rondelle avec la pointe de sa langue, s'est amusé à forcer le passage, à savourer ma raie humide et l'a exploré de long en large ; il ne m'avait encore jamais préparé de cette manière, et l'étonnement a vite laissé place à une forme de plaisir plus lent, presque lancinant. Je cambrais les reins à chaque nouvelle décharge et, de l'autre côté, je m'acharnais sur l'engin turgescent et dégoulinant de mouille de mon autre partenaire.
Si m'entendre couiner excitait beaucoup Shane, un sourire carnassier s'est dessiné sur son visage au moment où l'index de Will a forcé ma rosette élastique pour commencer à la détendre. Les phalanges se sont insérées en moi avec facilité - je m'étais godé le matin même, grâce au cadeau de mon ami Enki - et le majeur s'est rapidement joint à la fête, suivi de l'annulaire.
- On dirait bien que t'as l'habitude d'encaisser du gros calibre, Dev, s'est exclamé Shane en constante la facilité avec laquelle je cambrais les reins et je me laissais doigter. A croire qu'on pourrait y mettre un avant-bras, dans ce cul.
J'ai alors écarquillé les yeux en recrachant sa bite.
- Mais ça va pas la tête !
Mon oncle a éclaté de rire et m'a ébouriffé les cheveux tout en baladant son gland sur mes lèvres pour y étaler son pré-sperme.
- T'inquiète, je plaisante mon gars, c'est juste une manière de dire que t'as du potentiel... Beaucoup de potentiel.
Le regard d'une clarté étincelante m'a fait frémir ; Shane était incroyablement excitant, et je sentais qu'il voulait me pousser aux limites de mon désir. Toutefois, mon attention était concentrée ailleurs à ce moment-là, et le bruit d'un emballage que l'on déchire, suivi du claquement sec du sexe capoté de Will sur mes fesses, m'a indiqué que le moment d'encaisser était arrivé. J'ai donc renforcé ma prise autour du chibre du cadet Wellington, tandis que l'aîné relevait mes hanches, posait la pointe de son missile à l'entrée de mon fourreau et commençait à s'y insérer en douceur, mais toujours avec la fermeté militaire qui le caractérisait. Son gland m'a écarté et la hampe imposante a suivi ; elle s'est glissée dans mon boyau sans rencontrer de résistance, et à présent que j'étais habitué à ces baises format XL, mon intérieur s'adaptait aisément. Les couilles de mon père ont percuté mon postérieur, et il a poussé un râle en sentant que son glaive était enfoncé jusqu'à la garde. Il n'a pas attendu pour amorcer un mouvement dans le sens inverse et abandonner temporairement mon cul pour mieux y revenir la seconde suivante. Les sensations de plénitude et de vide s'enchaînaient, stimulant les nerfs de mon rectum, quand l'engin n'écrasait pas ma prostate, ce qui me faisait hurler de plaisir. Les yeux levés vers Shane pour guetter les moindres expressions de plaisir qui se dessinaient sur ses traits, j'étais porté par les coups de reins fermes du shérif ; il butait contre mes fesses et me poussait en avant, ce qui avait pour conséquence de me faire avaler en entier le gourdin de son cadet. Ce dernier s'était penché et triturait mon torse et mon dos en s'amusant à stimuler mes zones sensibles afin de me délurer encore davantage.
Pendant plusieurs minutes, j'ai donc été bercé entre la pine paternelle - qui ne retenait pas ses envies et me labourait le cul dans les règles - et celle de mon oncle, tout aussi bouillant. Je cambrais le creux de mon dos au possible, de sorte que l'angle de pénétration de mon paternel le conduisait systématiquement à percuter la petite boule orgasmique, positionnée quelque part au niveau de mon rectum. Will a vite compris qu'attaquer le terrain en la frottant à chaque passage était un bon moyen de me transformer en salope débridée, aussi s'est-il fait une joie de me la comprimer avec son braquemart ; j'ai dû fournir un effort surhumain pour ne pas attraper ma propre queue et la branler jusqu'à fertiliser la terre qui se trouvait entre mes jambes avec ma semence. Je sentais le poids de mes couilles qui se balançaient et percutait mes cuisses ; toutes les secondes, elles étaient frappées par celles de mon père, signe que son chibre s'était enfoncé profondément dans mon intimité - comme si j'avais besoin de ce petit claquement caractéristique pour savoir qu'il m'enculait ferme. Ses " oh oui ", " han " et " putain c'est bon " donnaient la cadence derrière, tandis que les mains de Shane rythmait une fellation qui n'avait déjà que trop duré, et qui servait de toute évidence à le maintenir en érection jusqu'à ce que Will ait fini de ma baiser l'arrière-train.
La patience n'ayant jamais été une vertu dont était doté le cadet Wellington, il a fini par m'attraper sous les bras et me relever, ce qui a eu pour effet de me priver du gourdin paternel, laissant un vide imposant en moi. Mon air déçu a fait sourire mon oncle, qui s'est emparé de mes fesses après avoir enfilé un préservatif, et, tout en contractant ses biceps et ses pectoraux, il m'a soulevé du sol. J'ai immédiatement enroulé mes jambes autour de sa taille, alors qu'il me dévorait les lèvres en me roulant une pelle digne de concurrencer celles de son frère. Il s'est contenté de me descendre légèrement pour poser son gland sur mon entrée, et je me suis empalé sur son pieu pendant qu'il s'adossait au pin en essayant de garder l'équilibre. Il me tenait pas le postérieur et écartait mes globes de chair afin de faciliter la pénétration. Il s'est rapidement glissé en moi jusqu'à la base, et j'ai percuté son pubis avec un hurlement aigu. Il a continué de baiser mon cou, de mordiller mes tétons et de lécher mon torse tout en me faisait sauter à l'aide de ses énormes bras de pompier ; il me remontait de plusieurs centimètres, puis me laissait retomber sur son gourdin en râlant pour faire chorus avec mes couinements. De mon côté, je m'accrochais tantôt à ses épaules musclées, tantôt à ses mamelons épais, de manière à tirer dessus à chaque fois qu'il me pénétrait à fond.
J'étais tellement porté par le plaisir que je n'ai pas réalisé immédiatement lorsque Shane a articulé à l'adresse de son frère :
- Bon alors... Rah punaise, t'attends quoi frangin... Ahan, il est trop bon ce cul !
Comme pour confirmer ses dires, j'ai resserré mes sphincters autour de la pine de mon oncle, qui a bandé chacun de ses merveilleux muscles en grognant. J'ai niché ma tête au creux de son cou et j'ai suçoté sa peau pour contenir le plaisir que j'éprouvais. Ce dernier n'a d'ailleurs fait qu'augmenter lorsque, contre toute attente, mon anus déjà bien stimulé a dû s'écarter encore davantage pour laisser passer le chibre de Will, en prime de celui de Shane. A cet instant, j'ai poussé mon premier hurlement de douleur ; j'avais l'impression qu'on me déchirait en deux. Mon rectum s'est automatiquement refermé autour de la bite de Shane, et il s'est évertué à me détendre afin que son aîné puisse glisser son instrument en moi. Le shérif y est parvenu à force de caresses dans mon dos et de baisers sur ma nuque. Son gland a passé ma rondelle étirée à l'extrême, puis le reste de sa queue s'est introduit en moi progressivement, coulissant en partie contre mon rectum humide, et en partie contre le sexe turgescent de son frère.
- Oh putain ce que c'est serré ! s'est exclamé mon père. Shane, je peux sentir ta queue, punaise !
- Vous êtes énormes en moi, ai-je couiné.
- Ne t'en fais pas, m'a soufflé mon oncle, tu vas adorer.
S'il existait un terme plus puissant, je vous dirais bien qu'adorer était un euphémisme. Le sexe de Shane me passait la prostate au rouleur-compresseur, aussi n'a-t-il pas bougé et a-t-il laissé le soin à Will de faire coulisser - très difficilement - son braquemart. Il ne l'a pas retiré en entier, car malgré mon stade de dilatation avancé, je savais que je ne serais plus capable de l'encaisser s'il quittait mon intimité. C'est pourquoi il s'est contenté de faire ressortir son engin jusqu'à ce que mon trou le bloque au niveau de la couronne de son gland. Mes sphincters s'étaient plus ou moins mis en grève, et la journée porte ouverte dans mon cul offrait une joie sans limite à mes deux mâles. Lorsque mon père a été épuisé à force de faire jouer ses cuisses athlétiques, il a pris mon dos contre son torse viril, et mon oncle a posé mes cuisses sur ses épaules pour pouvoir me limer plus à son aise. Le beau pompier y a certes été moins délicatement que le shérif, mais son accès direct à la source interne de mon plaisir a déclenché en moi des vagues orgasmiques incontrôlables. Mes muscles internes se sont réveillés et ont soudain comprimé les deux pines, au moment précis où Shane se renfonçait dans mon boyau détendu au possible. D'une oreille j'ai perçu les râles de l'aîné Wellington, et de l'autre ceux du cadet. Mon sexe a pris des proportions gargantuesques - peut-être deux centimètres de plus que le maximum que j'avais atteint à cet âge - avant d'exploser en tressautant sous le coup de l'excitation. Quatre longs jets se sont étalé sur mon torse, maculant la fine toison qui se dessinait sur la ligne verticale qui divisait mes abdos et mes pectoraux, et trois autres sont allés entacher le buste imberbe et luisant de sueur de Shane - le plus puissant a même percuté son menton, ce qui l'a fait rire alors qu'il se retirait. Il m'a roulé une pelle et, avec malice, m'a suggéré de nettoyer mon bazar ; je me suis donc retrouvé à lécher tout le sperme que j'avais expulsé sur son torse, tandis que mon père m'accordait quelques derniers va-et-vient avant d'abandonner lui aussi ce trou désormais trop relâché pour lui accorder de réelles sensations.
Mon oncle a récupéré sa chemise, l'a étalé au sol et m'a posé contre le pin afin que je reprenne mes esprits. Tandis que je vérifiais l'état de mon anus avec mes doigts - quatre auraient pu passer à présent, si ce n'est la main tout entière - les deux colosses blonds se sont placés de part et d'autre de mon corps en nage, et m'ont tendu leurs engins après avoir ôté les capotes. Ils m'ont donné de petits coups de gland sur les joues - une manière comme une autre de réclamer mon attention - et chacun a caressé le torse de l'autre pendant que ma bouche s'évertuait à les sucer derechef, allant de droite à gauche, puis de gauche à droite, sans oublier de branler celui qui n'avait pas le droit à sa gâterie sur le moment. Je n'ai tenu dans cette posture que quelques minutes, puis je me suis avachi de nouveau contre l'arbre, les deux chibres veineux en main ; ils étaient couverts de salive, je les ai donc branlés aussi vigoureusement que me le permettaient mes bras, moins musclés que les leurs et mis à rude épreuve par la double pénétration acrobatique à laquelle j'avais eu le droit.
Le ventre de Shane et celui de Will se sont contractés à peu près au même instant, leurs lourdes bourses pendantes ont placé la charge dans le canon de leurs armes, et j'ai pu admirer leurs musculatures splendides alors qu'ils se tenaient mutuellement par les épaules pour ne pas flancher. Je ne saurais dire qui a joui le plus mais, la bouche ouverte, j'ai récolté leur semence en quantité abondante ; plusieurs giclées blanchâtres, chaudes et collantes se sont répandues sur mes paupières à-demi closes, sont venues éclabousser mes joues, maculer mes lèvres et parfois se déposer sur ma langue pour que je m'en délecte. Les dernières traces de leur orgasme, expulsées avec moins de force, sont tombées sur mon torse et ont rejoint les miennes, puis les deux hommes ont utilisé leur gland encore raide pour récolter le sperme sur mon visage et l'étaler jusque dans ma bouche, manière de me faire comprendre que je devais tout nettoyer et ne pas en perdre une goutte - je m'en suis réjoui, vous vous en doutez. Will et Shane m'ont ensuite relevé et m'ont amené jusqu'au lac pour m'y nettoyer. Heureusement pour nous, il n'y avait personne et j'ai pu me rafraîchir entre leurs corps d'athlètes, les caresser et profiter d'ultimes baisers avant que mon père ne me porte dans le pick-up et que je ne sombre dans le sommeil, à bout de forces.
Ce soir-là, en descendant pour le dîner, j'ai trouvé les deux frères en train de se palucher tout en repensant à leur prouesse de l'après-midi, et quand ils m'ont demandé de trancher pour décider lequel était le plus viril, je n'ai pas été capable de choisir - mon père m'a donc puni pour la première fois, et j'ai été privé de repas. Je me suis donc retrouvé à quatre pattes sur le sofa pour obtenir des rations de protéines masculines, et même si nous n'avons pas réitéré l'exploit de rentrer deux sexes dans mon rectum, Shane et Will se sont donnés à fond pour mériter le titre d'étalon de la famille. Le lendemain, j'avoue avoir eu un pincement au coeur en voyant le pompier repartir pour Los Angeles - petit chagrin passager que mon shérif préféré a vite consolé à sa manière.
Avec le temps, nous avons toutefois fini par ralentir la cadence et, le jour où Will est rentré à la maison en me confiant qu'il s'était vraiment attaché à Mary, son adjointe, j'ai hoché la tête. Je comprenais tout à fait : on s'était éclaté au pieu, comme deux bons célibataires, des potes de baise au mieux, mais à présent que le coeur de William Wellington le guidait vers une partenaire plus fiable et plus intime, notre relation devait évoluer vers quelque chose de platonique. En un sens, nos rapports sexuels ont contribué à établir les prémices de ce qui s'est transformé en une vraie relation père/fils - à tel point que quand je suis sorti diplômé du lycée de Cocktown, je savais quoi faire de ma vie. Dès l'hiver 1993, j'ai intégré la Navy, comme mon père et mon oncle avant moi - l'armée a d'ailleurs été plus que ravie de pouvoir exploiter mon talent avec les ordinateurs, d'autant plus que dès le nouveau millénaire, l'ère numérique a pris des proportions monumentales. Quant à Shane, j'avoue que lui et moi nous nous sommes revus quelques fois, lorsque mon bâtiment naval faisait un arrêt dans les ports de côte ouest, mais nos liens se sont aussi solidifiés au point que je n'ai plus cherché à profiter de son bel organe ; je lui ai rapidement préféré les chibres de mes camarades de chambrée, qui ont apprécié mon cul durant les semaines que nous avons passé en pleine mer.
* * *
Merci à tous ceux qui sont arrivés au bout de ce très long texte. Je ne publie plus que très rarement ici, mais j'espère que cette histoire en valait la peine. N'hésitez pas à me faire savoir ce que vous en pensez, ce qui vous a plu et ce qui vous a déplu, c'est toujours très utile pour s'améliorer et avoir des retours sur son travail.
(PS : inutile de demander " à quand la suite ", ceci est une nouvelle, donc par définition elle n'en aura pas.)
Matt
matthieuGat@gmail.com
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