La famille de mon coloc

La famille de mon coloc | 4

Arrive le dimanche suivant.
À peine 2 semaines et je me suis déjà tapé la fratrie.

Je me réveille tranquillement, sachant les frangins à la messe.
Je décide de commencer par une petite douche.
Alors que je me prélasse, les yeux fermés, j’entends une porte derrière moi.
Je me retourne et vois le père, en caleçon, qui sort son énorme queue et commence à pisser.

« ah c’est vous. Vous n’allez pas à la messe ? »
Le bruit d’un jet épais dans l’eau se fait entendre.
Lui :" plus depuis des années… »
Le jet se tarit. Il secoue sa poutre. Je ne peux m’empêcher de mordiller ma lèvre d’excitation.

Au lieu de remonter son caleçon, il l’enlève complètement.
« tu peux me faire une petite place ? »
Il n’attend même pas ma réponse et ouvre la porte vitrée.
Je me décale contre la paroi de la douche. Il fait ma taille, mais il a un gros ventre, et surtout une trompe d’éléphant entre les jambes.
Lui :" tu étais moins timide avec mes fils »
Je rougis.
Lui :" je vous ai vu l’autre jour avec JL, et j’ai entendu tes gémissements de salope quand Christophe est venu. »
Il saisit sa perche et commence à la branler avec des mouvements amples.
Lui :" m’exciter à ce point alors que je n’ai pas de petite jeunette sous la main, ce n’est pas cool, surtout avec un cul comme le tient. »
Et là-dessus il me met une fessée.

Il me fait docilement me mettre à genoux, fait passer ma tête sous sa hampe et me présente ses 2 grosses prunes noires.
J’en gobe une. Elle me remplit la bouche. Je vais ensuite gober l’autre, et fais quelques tours de langue.

Il me relève. Sa queue est bien droite maintenant, et on est passé dans une autre catégorie : celle des chevaux.

Je ne peux résister à l’envie d’aller lui gober le gland. Je me délecte de cet énorme amas de chair.
Pour le trip, je tente d’en prendre un maximum en bouche. Avec tous les efforts possibles, je ne parviens à en avaler que la moitié.
Je reviens m’amuser avec le gland.

Au bout d’un moment, il vient caler ma tête d’une main et se branle de l’autre main.
Je continue à faire tourner ma langue autour.

Dans un grognement, il lâche un liquide épais dans ma bouche.
La quantité est telle que le jus s’échappe par mes lèvres entrouvertes.

Il tapote sa lourde queue sur mon visage puis me relève. J’ai du sperme qui coule sur mon menton et mon torse.
Lui :" prie pour que je trouve une salope sous peu, sinon c’est avec toi que je me ferais du bien ».
Il me met une dernière fessée puis sort.

Ils sont fous dans cette famille… Mais tellement chauds…

Après manger, toute la famille décide de digérer sur la terrasse.
JL m’interpelle, depuis le hamac.
« aller grimpe »
Je me laisse tenter.
Je me pose contre lui sur le dos. Il déploie un paréo et me baisse légèrement le short.
Jano :" très discret tous les 2" avec un sourire.
JL baisse son short et le voilà avec son membre dans ma raie.
Il passe son bras autour de moi. Je vois qu’il tient une petite bouteille. Il verse de son contenu dans sa main et va se l’étaler sur sa queue.
Il me cale 2 doigts. Je dois lutter pour ne pas gémir.

Alors qu’il est encore en demi molle, il force l’entrée de mon cul.
En s’aidant de sa main, il s’assure que sa queue rentre jusqu’à la base.
Il vient ensuite m’entourer de ses bras et ferme les yeux.
Pourtant la bête grandie et durcie en moi. Je donne tout pour ne rien laisser échapper.

Le père est un peu plus loin, dans sa chaise longue. Sa main est posée sur son paquet.

JL :" depuis l’autre jour, je fais que penser à ton cul… Cet après-midi je te le prépare, ce soir je lui fais sa fête ».
Il a juste chuchoté, mais ça m’a fait un effet de dingue.
Ma fleur se contracte avant de lâcher une vague humide. De l’extérieur, cela ressemblait à un pet dégueulasse. JL rigole. Lui seul a senti mon anus se dilater pour lui. Sa queue a pris du volume d’un coup.
Je tourne la tête et me cale dans son cou pour lâcher les plus petits gémissements possible.

Je finis par m’habituer et on se pose.
Environ 20 minutes plus tard, je suis dans tous mes états.
Je profite que tout le monde est rentré pour demander : « tu veux pas qu’on aille finir dans la chambre ? J’en peux plus.. »
JL sourit « je me demandais combien de temps tu allais tenir »
Moi, en le tapant gentiment :" t’es con, j’ai vraiment cru que tu voulais rester en moi jusqu’à ce soir »
Il sourit de plus belle « et je note que tu m’as obéi ».

Il sort. Je remonte mon short et me lève, il fait de même.
On monte dans ma chambre. Il me dispose à genoux sur le bord du lit. Il me bâillonne avec son t-shirt, baisse mon short et rentre son membre en entier.
Je crie, mais aucune douleur, ma fleur est bien ouverte.
JL :" Je t’avais dit que je serais moins attentionné la prochaine fois »
Je balance un « ouiii » étouffé par le bâillon.

JL m’attrape par les cheveux et me baise durement.
Je lâche un cri chaque fois que je sens son membre au fond de moi.
J’entends les clac très rapprochés chaque fois que ses bourses tapent sur mes fesses, la cadence est impressionnante. Quand je pense au morceau qu’il a…

Après 5 minutes de limage intensif, JL termine par quelques coups de rein bien hard.
Je gémis avec le peu de force qu’il me reste et tombe en avant, sur le ventre.
Il me retourne et se pose sur moi, sa verge sur mon ventre. Il me couvre de bisous pendant que je l’enlace.

« je suis désolé, j’avais ce trip depuis l’autre jour. Ça va ?
Je rigole nerveusement.
“C’était… Intense”
“excuse-moi Cali.”
“hey, c’était bien… Je vais pas pouvoir marcher pendant 1 mois mais c’était bien !”
On explose de rire tous les 2.
JL : » dis-moi si je peux faire quelque chose pour toi. »
Je bascule pour être sur lui et je me blottis dans ses bras « fais-moi un câlin jusqu’à ce soir »

J’avais le cul en feu mais j’ai fait une bonne sieste. J’étais bien dans ses bras. Si seulement un océan ne nous avait pas séparés.