Premier épisode | Épisode précédent
Le lendemain, je suis d’abord réveillé par un téléphone qui sonne.
Je sens le corps massif de monsieur se lever. Il me caresse les fesses en passant.
Il sort de la chambre pour répondre.
Quelques minutes plus tard, j’entends le son d’un jet dans les toilettes. La chasse d’eau, le robinet, puis des pas qui rentrent dans la chambre.
Je garde les yeux fermés, je l’entends se rapprocher du lit.
Je sens quelque chose d’épais sur ma joue. Je pense qu’il se branle.
Après quelques minutes, il grimpe sur le lit, derrière moi, et revient me coller.
Je sens son torse, son gros ventre, mais rien d’autre.
L’une de ses mains vient soulever ma fesse, découvrant ma fleur.
Je sens son gland se présenter. Il est immense, mais perce pourtant ma fleur sans difficulté, il a lubrifié.
Il a rentré juste son gland, mais ma fleur est écartelée. Je ne peux plus faire semblant de dormir et je lâche un petit cri.
Il me chuchote à l’oreille :" ne bouge pas, tu pourrais te faire mal… »
Il commence à se branler avec la main, son gland en moi.
Lui :" tu savais que, quand tu dors, tu bouges ton cul dans ton sommeil ? »
Je retrouve un peu mes esprits :" je vous crois hétéro… »
Lui :" moi aussi… Mais d’abord je n’ai pas de salope sous la main, et ensuite ça fait un mois que je te vois soulager mes fils… On a le weekend à nous, je vais tester ton cul, en douceur ».
Il continua de se branler.
Moi :" non c’est pas bien… »
Lui :" chut. Tu en as envie, moi aussi, personne n’en saura rien. »
Sa main accélère, sa queue rentre d’un tiers. Ma main agrippe le drap.
Moi :" s’il vous plait, non ! »
Il saisit ma bite… Je bande.
Lui :" tu aimes ce que je te fais, tu ne peux pas mentir… »
Moi :" non… »
Lui : « trop tard »
Sa verge convulse, je sens du liquide couler dans ma raie, il a pas mis de capote.
Il attrape ma taille et me pénétre un peu plus. J’ai les 2 tiers en moi. Il voit une larme couler sur ma joue.
Lui :" c’est pour la capote ? Tu crois vraiment que je baise toutes ces salopes sans protection ?
Moi, en criant : » et moi je suis pas une salope ? «
Lui : » non, toi tu vas m’aider à retrouver le chemin de la tendresse justement… J’en ai marre de ces salopes, je voudrais trouver une femme, une seule… Apprends-moi comme tu as appris à JL… »
Je marque un temps… J’ai rien appris à JL, il a changé pour moi.
Bon de toute façon il est déjà en moi.
Moi : » Commencez par me faire des bisous, des caresses, je sais pas moi, comment vous étiez avec votre femme ? «
Il marque un temps et sort. Je l’ai vexé ?
Non. Il me met sur le dos, relève mes jambes et commence à lecher ma fleur. Passer le moment de gêne, c’était trop bon.
Il remonte en me faisant des bisous, arrive à hauteur de ma tête et marque un temps d’hésitation.
Il me caresse la joue et sourit.
Il remet une couche de lubrifiant sur son membre, glisse le gland en moi et commence un mouvement très léger.
Pas de problème pour moi, mis à part son énorme gland, elle est aussi large que celle de JL… c’est la longueur qui m’inquiète.
Le plaisir commence à prendre le dessus sur le contexte.
Me voyant commencer à prendre du plaisir, il rentre sa verge sur une bonne longueur et accélère le rythme.
Moi : » han… Hey !... Han… D’ou… Cement… Han ! »
Lui, ralentissant :" désolé »
Moi :" embrasse-moi, pense à mon plaisir »
Il avait déjà oublié.
Il me fait des bisous dans le cou, me caresse les cuisses.
Je le laisse faire quelques minutes.
Moi :" voilà, comme ça… Hmm »
Comme prévu, ça l’excite un peu plus… Trop, il rentre tout.
Je cri, mais il se bloque au fond.
Lui :" chut, ça va aller, ça va aller »
Deux coups de rein en plus et il grogne. Son engin se vide au plus profond de moi.
Il sort.
Moi :" c’était quoi ça ? »
Lui :"… Euh… J’étais trop serré en toi, je suis désolé ».
Je pars sous la douche.
Alors que le jet frais coule sur ma peau, il vient me rejoindre.
Lui, tout en se collant à mon dos :" il va me falloir un peu de temps pour perdre mes mauvaises habitudes… »
Moi :" je veux un câlin, et que vous soyez aux petits soins pour moi toute la journée, sinon y’aura plus rien entre nous. »
Il me retourne, m’embrasse, me caresse.
Si ça peut l’aider, je veux bien essayer, ça sera notre petit secret.
La journée passe. Régulièrement je le rappelle à l’ordre, en demandant un bisou ou en me collant à lui.
Il ne blaguait pas, il essaye vraiment de s’améliorer.
Je tiens à mettre fin à cette relation embarrassante au plus vite, il faut que je règle ça ce soir.
Je vais sur internet trouver ce que je recherche pendant qu’il prépare le repas du soir.
Je lui ai donné des consignes : ça doit être chaleureux et romantique.
Le soir venu, je descends après une bonne douche pour me rafraichir, je reste bouche bée.
Il a allumé des bougies, installé une table fleurie sur la terrasse.
On commence par une salade, puis viennent langoustes et pommes de terre.
Lui :" en tout cas ça faisait longtemps que j’avais pas pris autant de plaisir à organiser une soirée »
Je souris.
Lui :" parle-moi un peu de toi… Tu es toujours aussi libéré ? »
Je rigole.
Moi :" non. Pas possible. Je vis dans un milieu homophobe… Et même à l’université c’est difficile d’inviter qui je veux. Jano à l’esprit ouvert, mais ce n’est pas le cas de tout le monde, je pense que j’ai plus baisé ici que dans le reste de ma vie. » (faudrait faire les comptes, mais je pense que c’est toujours le cas, 13 ans plus tard).
Le repas fini, il met de la musique, un slow. C’est cliché, mais je suis impressionné par l’effort. Il m’invite à danser.
Lui : » c’était si simple, me rappeler ce que je faisais avec ma femme… »
Moi :" pourquoi vous aviez oublié ? »
Il marque un temps.
Lui :" après sa mort, j’ai perdu pied, je ne voulais plus m’attacher à une femme. Avec le temps, le sexe est devenu la norme… »
Il est plus touchant que je ne le pensais.
On continue de danser un peu.
Quand la musique s’arrête, je le prends par la main et le ramène dans le salon.
Je lui déboutonne sa chemise en le regardant dans les yeux, il m’embrasse sans que je lui demande. Je lui caresse le torse puis descends pour dégrafer son bermuda. Je libère la bête, sans la toucher. Ses mains descendent sur mes fesses et les pressent.
Il va pour descendre mon short, mais je l’arrête et le pousse dans le canapé.
Moi :" attends-moi là, interdiction de bander. »
Je vais dans sa chambre récupérer les coussins, dans la mienne faire de même ainsi que mon ordinateur portable et le lubrifiant.
Je reviens dans le salon, dispose les coussins sur la table basse, l’ordinateur à côté.
Je lance les films que j’ai téléchargés plus tôt.
C’est un film soft, avec une blonde et un black.
Il va pour se branler, mais je l’arrête en l’imitant :" chut »
J’enlève mon t-shirt et mon short et me mets à genoux devant lui.
Je commence par lui gober les bourses une par une. Elles sont énormes. Je le branle en même temps.
Je prends son gland en bouche et commence un va-et-vient. Sa verge prend rapidement du volume.
Je reviens sur ses bourses et guide sa main entre mes fesses. Il y trouve mon plug.
Il commence à jouer avec. Il redresse ma tête pour m’embrasser.
Je le laisse jouer quelques minutes.
J’entends la blonde commencer à gémir.
Je le repousse au fond du canapé et grimpe sur lui.
Je me colle à son ventre.
« enlève moi le plug, et montre-moi ce que tu sais faire avec tes doigts. »
Il s’exécute, me met les doigts dans la bouche.
Je les leche puis il va caresser ma fleur.
Le contact est doux. Je décide de lui mettre un peu la pression :" j’ai le cul en feu, va falloir être très doux ».
Ses doigts marquent un temps d’arrêt. Il les enduit de lubrifiant puis revient faire une légère caresse.
Je gémis, puis l’embrasse.
Il glisse un doigt, me caresse de l’autre main, me fait des bisous. Je soupire de plaisir.
Il glisse un 2ème doigt. Je gémis de nouveau. C’est qu’il a des gros doigts en plus.
Je me frotte à lui. Je glisse une main derrière pour le branler un peu, il le mérite.
Il continue pendant 10 minutes.
Moi :" tu crois que tu pourrais… Me refaire… »
Il me sourit.
Je m’allonge sur les coussins, il se met à genoux devant la table basse et me relève les jambes.
Il commence par tourner autour de ma fleur, lentement. C’est divin. Il alterne ensuite avec des coups de langue dans l’ouverture.
Je soupire de plaisir, il est vraiment bon à ça.
Je sens un doigt s’insérer. Il me travaille l’entrée quelques minutes.
Je ne me rends pas compte qu’il rentre le 2eme, trop concentré sur mon plaisir.
Il en rentre un 3eme, je me tortille de plaisir.
Le 1er film se termine, le second commence, même style.
Il me redresse.
Je m’accroche à son cou d’une main, je retourne le branler de l’autre.
Lui m’embrasse, toujours tendrement.
Je le repousse et je me tourne. Genoux au sol, ventre sur les coussins… Je prie pour l’avoir bien préparé, sinon je suis bon pour dérouiller comme ses pouffes.
Il s’approche, lubrifie abondamment mon petit trou et sa verge, puis se présente.
Son gland rentre, puis quelques centimètres, lentement.
Arrivé à la moitié, il ressort. Il répète ce mouvement assez longtemps. Je commence à avoir chaud et à gémir.
Il rentre un peu plus, reprends son mouvement sur la même longueur.
Ses mains me caressent toujours.
Moi :" oui… Comme ça »
Encore quelques minutes. Dans le film, la blonde se prépare à accueillir le même style de penis que celui qui est en moi.
Il répète ce cycle.
D’un coups je sens ses bourses, les derniers centimètres m’arrachent un cri.
Il repart lentement, retirant la moitié de son membre, avant de revenir.
Il augmente l’amplitude en restant lent.
Je sens le monstre tout en moi, ma fleur humide écartée au maximum.
À un moment il décide de me surprendre : alors qu’il arrive au fond, il met un petit coup de hanche qui m’arrache un « Ah ! » aigu. Il repart, sort presque tout son membre, je souffle, puis il revient et « Ah ! », et ainsi de suite.
La blonde du film crie déjà.
Même si je n’en suis pas là, je n’en mène pas large.
La vitesse a augmenté, mais ça reste supportable… En fait, j’ai envie de plus.
Moi :" continue siteplait… C’est… Trop bon »
Ses mains me prennent la taille et il prend un rythme plus soutenu. Cependant il ne rentre plus tout son membre.
Je suis en transe, je gémis sans aucune retenue.
Il ralentit et me soulève le torse.
Il revient au fond et s’immobilise. Il m’embrasse dans le cou.
Quelques mouvements légers, des caresses, il me rallonge sur les coussins.
Il sort, se met debout, remet du lubrifiant et rerentre en moi.
Ses mouvements sont amples. Il accélère et tape dans le fond. Je crie plus fort que la blonde du film.
Il ralentit.
Lui :" ça va ? »
Moi :" oui ! Continue ! »
Il recommence. Il s’appuie sur ma taille, je me cambre à mort.
J’essaie de lui dire de continuer entre 2 gémissements.
Pas besoin. Il accélère encore.
Pourtant il continue à me caresser, me demande régulièrement si ça va.
Enfin il s’arrête et, dans un grognement, lâche la sauce tout en s’enfoncant une dernière fois en moi.
Il sort lentement, puis me prend dans ses bras. J’en peux plus, je ne sens plus mon cul.
Je fais une grève du sexe la semaine prochaine.
Cali
li.cali@yahoo.com
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