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Chapitre 3
J’ai mieux dormi, recroquevillé dans ma cage sur un coussin d’herbe, nourri, abreuvé. Je ne vois personne, les petites cases sont là, minuscules. Ils doivent dormir. Je sommeille puis vois apparaître un puis 2 et 3 des personnages de la veille.
J’ai pu voir et détailler le sorcier hier soir, mais pas les 2 autres. Maintenant il fait jour et constate que tous les 3 ont en gros entre 25 et 30 ans, comme moi. Le plus petit a des cheveux plutôt crépus, assez carrés sans excès, musclés, les fesses rebondies, du beau poil sur son torse, son ventre et son pubis. Bite correcte, couilles remontées. L’autre, plus grand, plus fin, sexe environ 19, couilles pendantes, fesses fines et musclées, lui aussi est poilu. Comme je ne connais pas leur nom, je les nomme pour moi-même « grand », « petit » et « sorcier ».
Les garçons rallument le feu, le sorcier s’assied en tailleur au milieu, le grand assis pareil à droite et le 3e viennent le chercher. Il me met à 4 pattes devant l’autre garçon et me baisse la tête. Grand me présente son sexe mou et Petit me fait comprendre que je dois le sucer. Petit prend sa lanière et m’assène un coup sur les fesses et les couilles, car comme je suis à 4 pattes, mes couilles sont accessibles. Cela me fait très mal, mais m’excite et je commence à sucer Grand. La bite de Grand grossit rapidement, il a une belle bite vigoureuse, je lui caresse ses couilles qui sont bien poilues, remontées en deux belles boules noires sur son périnée. Grand lève peu à peu les yeux au ciel avec un visage détendu. Peu à peu l’excitation le gagne et il jouit de façon très démonstrative dans ma bouche. Petit vérifie que j’ai bien tout avalé puis nettoyé la bite. Ensuite inversion des rôles, Petit a une bite un peu plus grosse et légèrement moins longue, il jouit aussi dans ma bouche, il a plus de spasmes, il a éjaculé aussi bien plus de sperme, ma bouche en est pleine, j’ai quelque hauts de cœur, je suis un peu écœuré !
Les 2 garçons se lèvent et me mettent devant le sorcier à qui je dois faire pareil.
Lorsqu’il a fini, ils m’asseyent devant eux 3 et me montrent par gestes que je dois me branler puis boire mon sperme. J’hésite, mais honteux rouge, nu je commence à branler ma bite molle. Les 3 autres sourient. Cela me fait un peu plaisir, car ce sont les premiers sourires, mais j’ai peur de ne pas arriver à bander, à jouir !, Je me branle, me branle, rien… Petit et Grand se lèvent et s’accroupissent perpendiculaires à moi, de chaque côté, collés. Je sens leurs jambes leurs bites, leurs couilles et les 2 garçons me caressent partout. Peu à peu je commence à bander, à ma grande surprise. Je me dis : des garçons qui me caressent me font bander ! Je n’y crois pas, mais ce n’est pas ça le plus curieux dans l’aventure que je vis. Je bande de plus en plus puis jouit dans ma main, les garçons me font boire mon jus. Ça y est, j’y suis arrivé, j’esquisse un sourire, mais les garçons m’attrapent et me remettent dans ma cage pour la journée. Je suis seul, les autres sont partis.
Le soir quand ils rentrent je suis nourri, abreuvé puis sorti de ma cage. Je suis ensuite allongé sur le dos près du feu, mes jambes sont attachées à une branche pour être remontées au-dessus de ma tête. Ensuite le sorcier arrive avec des onguents et me masse l’anus, peu à peu de plus en plus profond. Petit arrive avec une sorte de gros haricot enduit de graisse et me fait comprendre qu’il veut me l’introduire dans le cul. Grand observe mon visage pour voir ma réaction. D’abord très crispé je me détends peu à peu, puis accepte. Grand prend alors une sorte de petite banane et pareille me la fait entrer dans l’anus. C’est beaucoup plus gros, je grimace un peu puis m’habitue. Le sorcier me masse de nouveau avec son onguent, mais cette fois bien profond. Grand recommence avec son fruit, je suis à l’aise… Mais on ne peut pas dire que j’adore ça !
Pour la nuit je suis remis dans sa cage. Je sommeille, mais n’arrive pas à dormir, mon cul est excité, chaud, j’ai besoin de me doigter pour me soulager, c’est agréable, terriblement agréable. Je bande de plus en plus et finis par jouir et m’endormir.
Je m’éveille et me sens presque bien. Quelque temps après je vois Grand et Petit sortir de leur case en feuillages, allumer le feu et y disposer des décorations autour. Hummm, il va se passer quelque chose. De temps en temps ils me jettent un regard, mais pas méchant. Je ne crains plus qu’ils me tuent et me dévorent !
Ensuite le sorcier sort de la case avec de beaux coquillages accrochés à son collier et des fleurs dans son serre-tête. Il s’assoit en tailleur au milieu, face au feu et fume des plantes.
Devant le sorcier ils disposent des feuilles et des branches en abondance, cela fait une sorte de tas allongé. Puis ils viennent me chercher et m’allongent sur le tas qui est une sorte de lit. Tête vers le feu, pieds vers le sorcier. Chacun me prend une jambe et me les écarte. Le sorcier se lève, fait des invocations au ciel, la mer, la forêt, puis me masse le scrotum avec une pâte. Cela sent bon et chauffe un peu. Il masse longuement puis remet de l’onguent sur l’anus et de plus en plus profond. À la fin il me doigte complètement pour faire entrer sa médecine. C’est agréable, ça chauffe toujours un peu, cela me fait un effet bizarre, je ne saurais le définir. Quand il arrête, c’est désagréable, très désagréable, j’en suis étonné. Je ressens un vide et un manque. J’essaye de rester calme pour ne pas tâter de la lanière, mais sans savoir pourquoi et sans pouvoir le contrôler je fais des mouvements du bassin, je commence à gémir, j’écarte les cuisses le plus possible, j’approche mes mains pour me doigter quand Petit et Grand me saisissent les poignets pour les mettre au-dessus de ma tête, posée au sol. Le sorcier est immobile, debout devant moi et m’observe. Je m’agite de plus en plus comme en manque de quelque chose, mon bassin ne tient plus en place, je gémis de désir, continuellement. Mais désir pour quoi ? Pour qui ? Je n’en ai aucune idée, mes idées sont différentes, mon cœur bat rapidement, ma respiration est accélérée, mon sexe en érection totale. Ils ont de plus en plus de mal à me maintenir allongé sur le dos.
Alors le sexe du sorcier se met à bander, il se redresse lentement, mais inexorablement et quand il est à la verticale il s’approche de moi, appuie ses mains au sol de chaque côté de mon corps et pointe son pénis sur mon anus. Je crie de bonheur. Pourquoi, je l’ignore totalement…. Il continue et cela me met dans un état indescriptible, les 2 garçons me tiennent fermement. J’éprouve un manque énorme que seules des caresses de l’anus apaisent. Le sorcier continue et appuie sur mon anus, je suis en transe, j’en veux plus, je veux m’empaler sur lui, mais je suis retenu. Je suis terriblement frustré et gémis, crie, me tortille. Il appuie un peu plus, entre son gland puis tout le reste de son pénis d’un coup. Je hurle et me débat, de bonheur, de douleur, de manque inassouvi, d’envie, de peur…
Il reste immobile enfoncé en moi, puis m’encule avec des mouvements souples et vigoureux de ses hanches, de sa taille. C’est magnifique. Heureusement que nous sommes dans une ile déserte sinon tout le monde rappliquerait voir ce qui se passe ! Les beaux sexes des 2 garçons sont maintenant verticaux eux aussi, tellement excités pas la scène… Leur regard exprime envie de sexe, impatience, virilité, désir énorme, frustration, jalousie…
Le jeune sorcier m’encule vigoureusement avec un plaisir visible pendant que je me tortille d’un immense plaisir, émettant des sons à la hauteur de mon plaisir et de mon excitation. Bientôt il rejette sa tête en arrière et jouit en moi comme s’il voulait atteindre le milieu de mon corps avec son sexe. De nombreux et puissants spasmes me remplissent de sa semence, les spasmes s’espacent, diminuent puis s’arrêtent. Il reste en moi, bien enfoncé et laisse doucement son sexe se dégonfler. Quand c’est fini, il se retire, bouche mon anus avec ses doigts et appelle Grand. Il bondit, sexe dressé et dans une excitation maximale prend sa place. Sa bite est fine, mais plus longue, je repars dans une hystérie sexuelle, je voudrais que jamais cela ne s’arrête, je hurle de bonheur, je voudrais absorber dans mon cul ses couilles, ses fesses, tout le garçon, je perds pied dans un immense bonheur et excitation. Mais il prend son temps il s’applique, profite de la copulation, content des sensations que le frottement de son pénis dans mon cul lui procure. Enfin je vois que la jouissance est proche, il jouit calmement, les spasmes se succèdent et ne semblent ne jamais finir… Quand son sexe a complètement débandé, il se retire et pareil il bouche mon anus. Petit arrive comme un fou et le remplace. Heureusement que les 2 précédents ont bien lubrifié mon anus avec leur sperme, car sa bite est plus grosse, environ 5 cm de diamètre, et je commence à accuser le coup… Il me pénètre un peu sauvagement, je crie, il ralentit, entre doucement et à fond et commence à me limer. La sensation est énorme pendant toute la copulation j’émets une sorte de hululement de bonheur et de douleur. Il gicle, gicle, gicle puis s’effondre sur moi. Le sorcier se lève, attends qu’il ait débandé et quand il se retire il bouche mon anus, me fait mettre à 4 pattes et recueille le mélange des 3 spermes qui s’écoulent abondement de mon anus. Lorsque c’est fini, il me fait comprendre d’expulser le reste qui représente aussi un bon volume. À eu 3 cela fait environ une tasse à café. Il me fait ensuite assoir et me demande de me branler dans la même coupelle. Je suis tellement excité que c’est un vrai plaisir et je leur offre de beaux jets blancs qui rejoignent les autres en faisant encore monter le niveau du mélange.
Les 3 garçons sont maintenant debout, alignés devant moi. Le sorcier au milieu. Ils m’invitent à me lever. Ils m’offrent la coupelle que je dois boire. Au lieu d’être écœuré et de leur balancer le récipient dans la gueule, je le prends précieusement à 2 mains et le bois avec un immense plaisir, comme si c’était le plus délicieux des nectars ! Pourquoi ? Je ne comprends rien aux pulsions qui m’animent. Une fois que j’ai fini de boire, ils lèvent les bras au ciel, crient et tournent autour de moi en dansant et chantant, leurs visages rayonnants de bonheur. Je ne comprends rien ni de moi-même ni des autres…
Ils m’attrapent et me remettent dans la cage avec de la nourriture et à boire, mais avec une ceinture de plante, comme eux. Pour l’instant je n’ai pas droit au collier ni au serre-tête.
Je m’endors comme après une cuite ou un pétard trop dosé, sans me poser de questions, mais terriblement bien, le cul un peu endolori, mais toujours avec ce manque de bite qui me donne chaud dans tout le bas ventre et qui condamne ma bite à rester dure !
Écrire est plaisant, mais un long travail, un retour est toujours merveilleux.
Stéphane
