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Chapitre 4
Le lendemain je me réveille dans ma cage, avec toujours une sensation étrange au cul, mais rien de grave. Les 2 garçons viennent me chercher puis m’attachent à plat ventre à côté du feu. Mes poignets et chevilles sont liés à des piquets, je ne peux pas bouger. Que va-t-on me faire ? Je suis angoissé, crispé.
Ils arrivent ensuite avec des belles parures à la tête, à leur collier et ceinture : coquillages, fleurs, amulettes. Il commence à tourner autour de moi dans le sens des aiguilles d’une montre et dansant et en chantant des invocations. Ensuite ils saisissent des bâtons au bout desquels sont fixées des feuilles de palmier fines et commencent à me fouetter sur tout le corps. Ça y est, ça recommence, ils sont fous …Je me tortille sous les assauts douloureux de ces fibres, la douleur monte à cause de la répétition des coups portés par les 3, je commence à gémir, puis crier, de plus en plus fort, puis je tremble de tout mon corps et commence à pleurer. Ils arrêtent, ouf !
Ils me détachent, je suis bien content, mais horreur, ils me rattachent allongé sur le dos ! De nouveau dance, chants puis fouettage. C’est horrible, quelques coups sur le visage, le torse, le ventre, le sexe. C’est douloureux, je crie, me débat, je tremble et j’ai mal partout, mais ils continuent, je craque et de nouveau éclate en sanglots.
Ils arrêtent, quel bonheur. Les blessures ne sont pas graves car ce sont des feuilles de palmier, mais ont été très douloureuses.
Ils me relèvent, je tremble de tout mon corps, le contact est très douloureux,
Je suis de nouveau enfermé dans ma cage jusqu’à la fin de la journée jusqu’à ce qu’ils me sortent et me trainent vers 2 arbres et me placent debout jambes et cartés. Le sorcier se met accroupis devant moi, en face de ma bite, les autres un de chaque côté. L’un me branle, l’autre me doigte et me caresse les couilles de façon très excitante. Avec tout ce que je viens de subir, je n’ai pas du tout envie de bander. Rien ne se passe, ma bite reste molle. Le sorcier va chercher 2 petits pots en argile cuite remplis d’onguents. Il me masse l’anus et le périnée avec un produit puis la bite avec l’autre. De nouveau chants et danses, dans le sens inverse aux aiguilles d’une montre. Je sens des picotements agréables, genre fourmillement, puis ça chauffe un peu et ensuite comme hier cela me met dans un état d’excitation sexuel pas possible et je me mets à bander tout seul !
Ils arrêtent leur danse, le sorcier se remet accroupi devant moi, les autres de chaque côté. Celui qui me doigte me fait un effet terriblement excitant, l’autre qui me branle pareil, je ne sens plus aucune blessure, je suis sexuellement à fond, fou d’excitation et j’éjacule monstrueusement. Le sorcier qui a vu venir a mis ma bite dans ma bouche et avale toute ma semence puis suce mon gland.
Plutôt sympa ! Mais le problème c’est que les 2 autres continuent à me doigter et me branler et tous les garçons savent que c’est une torture terrible, en anglais « post cum torture » !. De nouveau je me débats et hurle tellement ma bite excitée me fait mal. Celui qui me doigtait arrête et me tiens les bras, l’autre continue à me branler. C’est atroce, atroce, je leur crie d’arrêter les supplie, les menace, je hurle en tremblant puis peu à peu je faiblis et tombe dans une sorte de demi évanouissement, tous mes muscles se relâchent, je suis allongé par terre sous l’arbre.
Ils arrêtent et me laissent là, par terre, comme ça, libre ! Il fait maintenant nuit. Ils vont autour du feu et fument des plantes.
Je reste un bon moment par terre à reprendre mes esprits et à récupérer de tous ces moments terribles. Je me lève et approche du feu pour les observer. Ils fument tranquillement, mais leur disposition autour des flammes m’intrique : ils sont 3 et se sont répartis comme s’ils étaient 4, laissant une place vide. Ils sont beaux à la lumière des flammes, 3 beaux jeunes samoans, assis les jambes croisées, le sexe reposant sur le sol. Je ne sais que faire ! Fuir ? Pour aller où ? C’est une ile, ils la connaissent, et moi non, ils me rattraperaient vite. Tout en réfléchissant je m’aperçois que mes pas me font me rapprocher du groupe puis, naturellement je m’assois dans la même position qu’eux à la place vite. Aucune réaction, ils continuent à fumer, mais la pipe tourne et on me la passe. Je suis très ému, essaye de fumer comme eux, puis la passe au suivant et admire les flammes. Je suis mort de fatigue, d’émotions, de douleur et de dépaysement. Et cette fumée qui me fait un drôle d’effet mes yeux se brouillent, ma tête penche en avant, je perds connaissance.
Je me réveille, il fait totalement noir. C’est moi, Oscar. Moi, enfin depuis quelques jours je ne sais plus très bien qui je suis! Où suis-je ? Je me sens douillettement allongé sur des herbes sèches. A droite une personne dort sur le dos, tendrement serrée contre moi, de l’autre côté pareil, en plus il est à plat ventre son bras posé sur mon torse. Je touche le premier, il est nu, je continue : totalement nu et c’est un garçon. Ah oui, hier soir la cérémonie, je me suis écroulé autour du feu en fumant avec eux ! Ma bite se met immédiatement à bander ! Je caresse celui qui est sur le dos, je caresse sa bite, il se réveille à moitié, je continue, il bande maintenant. Je me tourne pour me mettre sur lui, sexe contre sexe. Je frotte doucement mon sexe contre le sien. Il fait totalement noir, le feu est éteint mais mon cul est encore en feu. Je ne sais pas lequel des 3 c’est, mais il me plait beaucoup. Sa peau est douce, ses muscles fermes, comme son sexe. Sa bouche m’accueille nous échangeons nos salives. Il écarte doucement les jambes, peu à peu je frotte mon sexe plus bas, je trouve son anus, j’appuis doucement dessus puis d’un seul coup j’enfonce ma bite brutalement. Il sursaute, crie et me file deux grandes claques. Je suis stupéfait et sonné. Puis il me fait comprendre de recommencer doucement. Du coup les 2 autres sont réveillés et se demandent ce qu’il se passe. A tâtons ils comprennent et me laisse finir tranquillement. Une fois que j’ai jouit, je reste en lui, sur lui et me rendort paisiblement en rêvant de beaux garçons nus sur des iles désertes . . .
Stéphane