Premier épisode
Ce long récit en 14 épisodes constitue une histoire complète d’« Adrien l’amour fou », que j’ai souhaité développer. J’ai juste apporté quelques changements minimum (couleur des cheveux d’Adrien, âge des personnages), mais l’idée est la même : les joies et les difficultés d’une relation amoureuse et sexuelle d’un couple avec une grande différence d’âge. Comme d’habitude, beaucoup de sexe aussi… et les photos des personnages disponibles sur demande.
Comme dans toutes mes histoires, les rapports sont non protégés. Dans la vraie vie, pensez à mettre des préservatifs.
Bonne lecture
Chapitre 2
En rentrant chez moi, j’ai des fourmis partout dans le cœur. Une vague de plaisir. La sensation des lèvres d’Adrien sur les miennes qui dure, qui ne veut pas s’en aller. L’envie de le toucher encore. Je sens déjà un vide.
Mon téléphone s’éclaire une fois rentré chez moi : « j’ai hâte de te revoir à ton retour ». « Moi aussi… on se revoit dès que je suis rentré. Passe un bon Noel. Je t’embrasse »
Mon cœur se serre. Je n’ai pas de regret. J’ai envie de lui. Il me plait. C’est comme ça. J’ai décidé de ne plus me poser de questions.
Mes parents et ma famille me trouvent de très bonne humeur. A juste titre. S’ils savaient... Bien sûr je suis out, mais je me demande comment ils réagiraient s’ils savaient que je sors avec quelqu’un de 20 ans de moins… Gardons tout ça secret…
Pendant mon séjour chez mes parents, on s’échange des SMS régulièrement. Je prends de tes nouvelles, tu prends des miennes. Ça me fait du bien qu’on garde le contact. Je pense à toi souvent… Non je pense à toi tout le temps en fait. Ton visage, ton sourire me hantent. Tes lèvres aussi.
Je suis de retour juste avant la rentrée, et on décide de se revoir le dimanche qui précède. On déjeune ensemble discrètement dans un café, loin de chez moi, loin de chez toi. Je suis content de te revoir. Tu me raconte tes vacances en détail. Tu es tellement plus bavard et sociable quand on est tous les deux, qu’en présence de tes amis. Ta timidité a l’air de s’évaporer à mon contact. J’aime ton enthousiasme, ta jeunesse, mais ton cote garçon sérieux également. Je bois tes paroles. Je te raconte mon Noel également. Et je prends plaisir à me confier. Avec toi je me sens bien. Mieux qu’avec mes amis. Mieux qu’avec ma famille.
Il fait froid mais beau en ce début janvier. On se balade. On trouve un endroit isolé dans notre jardin public préféré pour s’embrasser sur un banc public. Comme deux adolescents. On se prend dans les bras. On s’embrasse en permanence. Nos langues se touchent et rentrent dans nos bouches. Tes lèvres sont tellement douces. Ta salive soyeuse coule dans ma bouche. Je ne vois pas le temps passer. Les baisers continuent.
- Tu aimerais passer chez moi ?
Je sens une micro seconde d’hésitation dans l’air. Tu souris. Et fais oui de la tête.
On va chez moi. Tu es content de te mettre au chaud. Tel un chat curieux tu regardes le salon, surtout les livres dans la bibliothèque, les meubles. Et tu me poses des questions. Je crois que tu essaies de meubler le vide, car je note que tu es un peu nerveux. Vais-je trop vite avec toi ?
Tu t’assieds nerveusement dans le canapé, et je vois que tu ne sais pas quoi faire de tes mains. Je m’installe à coté de toi, et c’est toi qui reprends les baisers. Nos lèvres restent collées pendant longtemps et se caressent, se touchent, se mouillent. Nos langues se rencontrent. Je bois ta salive et tu bois la mienne. Nos bouches font l’amour. Pendant longtemps. Tandis que nos mains pour l’instant plutôt chastes, se caressent doucement, à la surface de nos vêtements. Plus aventureux, je commence à caresser ton entre jambes, et je sens ta bite, dure. La première fois que je la touche. Je l’ai souvent imaginée en fait, c’est vrai. Mais tu bandes. Je te fais bander… je suis content, fier. Ma main caresse doucement, tandis que mes lèvres continuent à faire l’amour aux tiennes. Ta main plus timide caresse mon pull. C’est moi qui prends l’initiative…
- Tu veux passer dans la chambre… ?
Il comprend que ça veut dire que je veux aller plus loin, que j’aimerais être plus intime avec lui… faire l’amour… Il se tend un peu
- Je… je n’ai jamais….
Mon cœur se serre. Il est vierge. Même si je m’en doutais, l’entendre le confesser ainsi me met en branle. De l’attraction, de la tendresse… mais une foudre érotique intense. Il est puceau. Je suis « sa première fois », son « premier homme ». Cela me rend fou de plaisir intérieurement. Je m’efforce de le cacher, mais si cela décuple mon envie de le baiser
- Ne t’en fais pas… on va tout doucement… et on fait seulement ce que tu veux, ok ?
- Ok
Il sourit. On s’assied sur le lit. Cote à cote. Les mains caressent les corps et on continue à s’embrasser. Je suis partagé. C’est moi le plus expérimenté. Celui qui doit prendre les opérations en mains. J’ai envie de te baiser dans toutes les positions. De faire de cette première fois un instant mémorable. Mais je n’ai pas envie de te brusquer. Je t’aime. Je suis soucieux de ton plaisir. Je décide d’y aller doucement.
C’est moi qui commence à soulever ton pull et tu m’aides aussitôt. Je déboutonne ta chemise tandis que tu enlèves tes chaussures et tes chaussettes. Je découvre ton torse pour la première fois. Il est tel que j’en ai rêvé. Parfaitement imberbe. Deux petits tétons. Ma main te caresse. Tu es d’une douceur incroyable. C’est maintenant ta main qui passe sous mon pull. Et tu m’aides à me déshabiller. Ta main passe sur mon torse, légèrement velu. Tu souris.
- T’es trop sexy…
On s’embrasse. Je fais tomber mon jean et mon boxer, ma bite bandée sort tel un diable de sa boite et vient claquer contre mon ventre. Tu la serres dans ta main et m’embrasse. Je te caresse le paquet et de toi-même tu enlèves ce qui te reste. Tu bandes aussi.
Tu bredouilles aussitôt : « excuse-moi… je suis pas très bien gaulé »
Réflexion d’un ado qui n’a que le porno comme référence…Sa bite est plus petite que la mienne, mais de taille moyenne, comme tout le monde. Je souris et la masse
- Tu regardes trop de porno toi…
Tu es nu devant moi maintenant. Je te caresse. Je regarde ton corps. Il est parfait. Le prototype de ce qui m’a toujours fait fantasmer. Un corps jeune. Imberbe, mince, mais avec des muscles qu’on voit légèrement. J’en tremble presque. Tu es tout ce dont j’ai toujours rêvé, physiquement Adrien. Je dois réfréner l’envie de te dévorer. Je ne veux pas te brusquer. On s’allonge sur le lit, pour s’approprier nos corps. Les mains caressent les peaux nues, on s’embrasse sur les lèvres. Ta peau est d’une douceur de lait Adrien. Le grain de ta peau est parfait. De légers poils sur les cuisses et les mollets, c’est tout. Ta main à toi adore caresser mon torse. Mais aussi ma queue que tu saisis et branles.
- Je peux te sucer ?
Je suis surpris que tu me demandes l’autorisation. Est-ce l’élève vis-à-vis du professeur ? L’inexpérimenté plutôt, doublé de ton souci perpétuel de bien faire, au lit comme en classe. Je me suis allongé sur le dos, la tête bien calée dans l’oreiller. Tu prends ma bite dans ta bouche, et me donne en coup d’incisive dans ta précipitation
- Aie, attention tes dents
- Oh pardon excuse moi
Je caresse ta tête pour t’encourager. Tu me suces. Mon dieu, cette image, j’en ai rêvée tellement de fois. Ai-je tellement de chance ? Ce n’est pas possible. Ça me parait irréel. Mais ta bouche, ta langue me donnent tellement de plaisir que c’est bien vrai…Tu te débrouilles bien. Comme tous ceux de ton âge, tu sais tout du sexe, du moins en théorie. Merci internet… Tu continues à me sucer. Tu t’appliques. Je vois ta queue durcir davantage. Je te caresse. Je dévore ton corps nu des yeux. Mon Adrien…Tu sors la queue et lèche ma bite avec ta langue, avalant le précum.
Je prends mon temps, je le laisse à son plaisir de sa première fellation… mais j’ai vraiment trop envie de gouter à la sienne. Je l’interromps
- Laisse-moi te sucer
Je le caresse. A genoux sur le lit tous les deux on s’embrasse, nos glands se frôlent, humides de précum pour lui, gorgé de salive pour moi. Je t’installe confortablement sur le dos et me place sur le ventre, entre tes jambes. Et je te suce. Ta queue est dure, mais la peau douce. Tu es dans ma bouche Adrien. Je te possède, je te veux. Je veux nos corps l’un dans l’autre. J’accélère ma succion. Tu m’interromps brusquement
- Attends, attend, attends…
Et sort ta queue de ma bouche
- Ne va pas trop vite, sinon je vais jouir tout de suite
- Ah, ok, excuse-moi
Il est manifestement vraiment excité… la première fois… c’est difficile…. Mais je suis fier de lui faire tellement d’effet. Je me remets à le sucer. Puis lécher. Je descends contre les couilles, légèrement velues. Il gémit. Ferme les yeux. Il s’est mis sur ses coudes. Il a pris sa queue en main. Il la tient droite. Un dernier coup de langue a raison de lui. Je suis surpris. Il gémit, et plusieurs jets de sperme explosent de sa queue. Je n’ai pas vu venir. Quelques gouttes tombent sur moi, le reste sur son ventre.
- Excuse-moi… j’ai pas réussi à me retenir
- Pas grave du tout… tu as l’air d’avoir aimé
Il souffle, se trouve un peu bête et désarmé, nu devant moi, le ventre couvert de sperme…Je le caresse, je l’embrasse.
- C’était super
- Tu veux m’aider à jouir, maintenant ?
- Oui
Je l’embrasse et colle son corps nu contre le mien. Son sperme s’étale entre nous.
- Branle-moi
Ma langue collée contre la sienne, main contre ses petites fesses, je le serre et il me branle. Je veux sentir son corps jeune, nu et imberbe contre le mien. Sa chaleur et ses caresses me font exploser et j’éjacule à mon tour, le serrant et l’embrassant plus fort encore au moment de l’orgasme.
Ça y est, nous avons consommé notre relation. Notre fantasme. Nous sommes allés plus loin ensemble. Il n’est plus puceau. On se caresse. J’ai envie que le temps s’arrête. On reste nus dans les bras l’un de l’autre. Je me demande à quoi il pense, après sa première fois. Je n’ose pas insister, pas envie de lui rappeler qu’il était vierge, comme si j’avais abusé de lui. Peut-être aurait-il voulu quelque chose de plus sauvage…Je me content d’un : « ça t’a plu ?»
Il répond oui, et se love contre mon épaule. Ma main caresse ses cheveux, puis je les embrasse. Tout d’un coup, un vague sentiment de culpabilité, de peur m’envahit
- Tu penses qu’on n’aurait pas dû ?
- Non pas du tout. Pourquoi ? C’est ce que tu penses ?
- Non pas du tout, mais je veux m’assurer que tu ne te sens pas mal… par rapport à tout ça
- Pas du tout…
- Tant mieux… et ça ne te gêne pas que je sois plus âgé que toi
- Non… (il hausse les épaules, comme si ma question n’avait pas de sens) … tu me plais… depuis longtemps déjà
- Moi aussi… depuis le début en fait
Je suis rassuré
- Je veux te revoir, je veux passer du temps avec toi.
- Moi aussi, mais je n’ai pas trop envie que ça se sache… ça serait trop compliqué à gérer je crois…
- Oui moi aussi… n’oublions pas que je suis ton prof
- Oui monsieur
Il bondit du lit pour ramasser son boxer. J’observe ses fesses pour la première fois. Petites, rondes. Perfection absolue. De même que son dos.
Il fait glisser rapidement son boxer
- Il faut que je me dépêche… je vais être en retard…
- Oui bien sur
Je lui tends une serviette pour qu’il s’essuie un peu, et il s’habille vite. J’enfile mon boxer. On s’embrasse une dernière fois, avant que la porte ne se referme derrière lui. Il me manque déjà, mais j’ai peur. Peur de tout. Peur du futur. Peur de cette nouvelle relation. Peur que ça ne dure pas. Peut-il vraiment me désirer, moi qui ai l’âge de son père ? Maintenant qu’il a découvert le sexe, va-t-il vouloir y gouter avec quelqu’un de son âge ? Mais il me manque déjà. La peur et l’excitation se mélangent. Le bonheur de le revoir prochainement. Je suis heureux aussi…
Le soir, tu m’envoies un texte. « Tu me manques » … « toi aussi tu me manques » … « on se voit quand ? » « Mercredi après-midi ? » … « oui !!!!! »
C’est pueril… mais oui il me manque…
Te voir en cours me met mal à l’aise. Nous avons maintenant un secret. Tu es habillé, normal, alors que je t’imagine nu. Tout nu… Je dois reprendre mes esprits.
Le soir on s’envoie des SMS… tu es dans ta chambre. Un peu difficile de se parler. Ta maison est petite, les murs ne sont pas épais… tu as peur qu’on nous entende…
On se raconte notre journée, de ce qui se passe dans les journaux… J’ai tellement envie d’être mercredi après-midi.
De mon côté, j’ai fini les cours plus tôt que toi. Et on s’est donne rendez-vous chez moi. Je t’attends donc avec impatience.
Quand j’ouvre la porte, on échange un long baiser sur la bouche. Je n’ai pas vu en classe ce matin, tu n’avais pas cours avec moi. Je passe ma main dans tes cheveux en bataille. Quelques flocons de neige, il fait déjà froid en ce début janvier.
- Installe-toi. Tu as passé une bonne journée ?
Tu grelottes et te réchauffes. Depuis la cuisine, je crie :
- J’ai fait du thé, tu en veux ?
- Oui merci
Tu te réchauffes la tasse entre les mains. On discute, on est content de se revoir. On se met à l’aise. On papote un moment mais nos hormones prennent rapidement le dessus. Les baisers et les caresses démarrent sur le canapé. Les mains se font un peu plus vives et aventureuses que d’habitude. Comme si le fait d’avoir déjà exploré ensemble nous avait donné plus de confiance et de désir.
C’est moi qui te prends par la main et te conduis dans la chambre. C’est moi qui prends aussi l’initiative de te déshabiller. Le haut. Je te laisse torse nu et t’embrasse sur les épaules. Tu te laisses faire. Les yeux fermés. Je glisse ma main dans ton jean. Ta bite est déjà prête. Je lèche ton téton. Tu gémis aussitôt, et une goutte de sperme vient mouiller ton gland et ma main. Tu pousses tes petits « ha ». Je continue à te déshabiller, lentement. Te voilà nu, debout, dans ma chambre, contre moi qui suis tout habillé. Ai-je rêvé ? Ai-je possible ? Ton corps est juste parfait. Comme ce que j’avais gardé en mémoire de notre première fois. Je me sens tellement chanceux. Je te serre contre moi. Je sens ta bite dure.
Je tombe à genoux. Ton gland dégouline de précum. Je lèche. Tu frémis. C’est sensible. Puis je te suce. Tu lâches des petites « hm, ha, c’est bon ». Je malaxe et je pétris tes petites couilles. Tu ne sais pas trop quoi faire de tes mains. Tu finis par les poser doucement sur ma tête, plus pour accompagner mes mouvements que pour les forcer. Ta main est douce dans mes cheveux. Mes mains viennent caresser tes fesses. Douces. Je les caresse puis les poussent vers moi afin de te prendre au fond de ma gorge. Je fais attention, car je sais que tu pourrais exploser vite dans ma bouche. C’est d’ailleurs toi qui interromps pour baisser ma braguette et sortir ma queue. J’aime te voir prendre l’initiative comme ça.
A ton tour d’être à genoux. Pour la première fois, les mots sortent de ma bouche : « hm, oui suce moi ». Je défais ma chemise, alors que tu t’affaires sur ma queue. Avec énergie. Ça t’a manifestement manqué. Nous sommes maintenant tous les deux tout nus au milieu de la chambre. Moi debout, planté solidement sur mes pieds, qui te caresse les cheveux et les épaules pour t’encourager. Ta langue me rend fou. Tu me suces Adrien. Un rêve devenu réalité. Je te regarde. Cambré comme tu es, je regarde tes petites fesses, qui deviennent une fascination croissante pour moi. J’ai hâte de m’en occuper, mais je ne veux rien brusquer. En attendant, ta bouche sur ma queue et la peau nue de tes épaules sous mes doigts suffisent à mon bonheur.
Je te redresse, et tu t’assieds sur le bord du lit. Pas peu fier en fait. Tu attends, posé sur tes coudes, jambes bien écartées, la bite verticale. C’est ta deuxième fois, mais tu comprends déjà le jeu de la séduction. Tu m’attires tel un aimant, et je me place à genoux entre tes jambes pour continuer à te sucer. Mes mains caressent tes cuisses. Les tiennes me caressent aussi partout. On prend tout notre temps. Je m’applique. Je te suce, te lèche, te branle. Je joue avec ta queue. Elle est belle, très dure. Le précum est abondant. Je te contrôle pour que tu ne jouisses pas trop tôt. J’ai envie de ton sperme, mais pas tout de suite.
- Allonge-toi sur le lit
Tu te mets à ton aise, sur le dos. Je m’installe sur le ventre, entre tes jambes. Pour mieux continuer à te sucer. J’embrasse et je lèche aussi l’intérieur de tes cuisses. Ma main glisse le long de ton torse, et je stimule tes petits seins, ce qui tellement d’effet sur toi. Tu gémis et perds aussitôt du précum à grosses gouttes. Je le ramasse directement avec ma langue. Je dépose des baisers sur ton gland sensible, et reprend ma fellation. Je m’aventure souvent au niveau de tes couilles et juste en dessous, ce qui te fait beaucoup d’effet. Je sens ton corps se crisper de plaisir. Tu lâches des « oui c’est bon, ah, oui continue ». Tu arrives à mieux te contrôler et j’arrive à te sucer et lécher pendant longtemps. Mais quand je te sens au bord de l’explosion, je m’approche. Le premier jet explose contre ma joue. La chaleur, la force… Cinq jets énormes en tout. Sur mon visage, ma langue et dans ma bouche. Tu me regardes, tout excité de me voir avaler, lécher et manger ton sperme devant toi. Tu continues à gémir alors le sperme coule maintenant lentement le long de ta queue, et je lèche à la source.
Je m’approche pour t’embrasser, du sperme nous colle aux lèvres.
- J’aimerais que tu me fasses pareil
Je viens me placer à califourchon sur toi. Les genoux de chaque cote. La tête bien calée contre l’oreiller tu commences à sucer. Mais c’est moi qui prends le contrôle et avance mon bassin pour te baiser la bouche. Ça te plait. Tu te laisses faire. J’adore voir ma bite rentrer et sortir de ton visage d’ange, mon chéri. Je suis plus endurant que toi, même si tu t’affaires bien. Tu t’y prends mieux que la dernière fois cependant, et me donne beaucoup de plaisir. Je sors ma bite à toute vitesse et me branle très vite pour éclabousser ton visage. Il y en a partout et je m’assure bien que les derniers atterrissent directement dans ta bouche. On se regarde dans les yeux. Sans me quitter du regard, tu me suces, tu lèches et pousses mon sperme de tes joues vers ta bouche. Je vois ta gorge déglutir. Oui, mange ma semence Adrien, je te veux en moi.
On se blottit pour se caresser et s’embrasser. On reste comme ça sur le lit, nus, pendant un moment. Pour profiter du corps de l’autre, de sa présence. Mais je sens que le temps est compté, comme à chaque visite. La clandestinité toujours. Tu as peur que ta mère se doute de quelque chose, même un mercredi après-midi. J’aimerais que tu restes mais je ne t’en veux pas. Tu te lèves. Je t’observe fixement marcher vers la salle de bains. Ton dos, tes épaules, tes mollets, mais surtout tes petites fesses. Quel pur bonheur ! Je n’ai pas encore eu l’occasion de profiter de cette partie-là de ton corps mais j’ai hâte. Quand pourrais-je te revoir ? Mon dieu à chaque fois qu’on a fait l’amour, pourquoi est-ce que j’ai l’impression que c’est la dernière fois que je te vois ?
Sylvainerotic
sylvainerotic@yahoo.com
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