Premier épisode
Chapitre 2
À Lyon depuis six mois, j'avais trouvé un taf dans un chantier où je devais gérer des plannings. Moi j'aurais préféré gérer les vestiaires, mais bon. J'y allais pour me remplir les narines des bonnes senteurs. J'avais trouvé un appart dans le 2e dans un immeuble un peu miteux, mais correct pour la ville et l'époque. Sur le palier habitaient Anita et Paul. Anita était une jeune nana rigolote et sympa. On discutait souvent sans qu'elle évoque les visites de mecs harnachés de cuir qui venaient souvent le soir. Paul ne m'adressait pas la parole, accélérant ou ralentissant pour éviter de me croiser dans les escaliers. Jamais un bonjour. C'était un canon brun aux yeux bleus, athlétique et racé. J'aimais bien le regarder, car cela le gênait.
Un soir, en rentrant du boulot, Anita m'invite à prendre une bière.
-Bon j'y vais pas par quatre chemins j'ai vu que vous étiez assez... gay cuir ..esclave...c'est ça? dit-elle
-En effet chemin direct. Ouais c'est ça. Problème?
-Non,Non.. C'est que..Paul m'a trompé avec une collègue.
-Ah. Ça arrive... désolé.
-Non enfin..Si. On a négocié une punition pour lui. Je fais ce que je veux il doit accepter. Il s'est engagé sur l'honneur.. Alors pour un flic ...-Tiens Tiens il est flic... - Vous avez dû remarquer qu'il aime pas les pé.. les gays..Alors j'ai pensé l'obliger à s’agenouillé devant un mec, peut-être plus, faut voir..
J'étais un peu beaucoup surpris, mais bon.. Je lui dis que c'est intéressant, mais je veux pas de problème surtout avec un flic. Anita me proposa de commencer à annoncer sa punition à Paul et de le laisser mijoter deux trois semaines pour voir. Difficile de résister à une expérience pareille.
Dès le lendemain, Paul me donnait du "Bonjour Monsieur" auquel je ne répondais pas du "Salut Paul" avec un regard coquin qui le décomposait.
On joua à cela deux semaines quand il demanda à me parler "entre hommes". Je me suis dit tiens! Il va me casser la gueule. Au lieu de cela j'accueillis Paul en mode "petit garçon fautif", la larme à l'œil dans mon sofa, clamant son amour d'Anita et sa très grande contrition. Je dois dire que j'étais touché, mais je me demandais où il voulait en venir. Il m'expliqua qu'il était un homme d'honneur et qu'il acceptait la punition, mais qu'il ne voudrait pas que cela soit agréable, il ne voulait pas de "bisous" qu'il disait. Je le dis OK, mais je veux pas que tu ailles porter plainte après. Il proposa de me signer une décharge pour les mauvais traitements. Sans limites qu'il disait.
Je me suis quand même dit que j'allais mettre Anita au courant. Il ne me l'avait pas interdit. Cela l'amusa beaucoup. "Il a peur de prendre du plaisir" qu'elle dit. "Il souffre déjà beaucoup depuis 15 jours et il est devenu super serviable à la maison et au lit". Je reçus une lettre brève, mais précise de Paul.
Nous décidèrent que son supplice aurait lieu le vendredi soir. On avait convenu elle et moi qu'Anita donnerait tous les ordres et nous on les exécuterait. J'étais super excité de la situation.
Ils arrivèrent sur le coup des 19h. Paul était blême et magnifique. Il avait mis sa tenue de sport qui moulait bien ses pecs et son cul. Nous prîmes notre temps, parlant de choses et d'autres en sirotant une bière, pendant que le genou droit de Paul tremblait.
-Paul s'il te plait, dit Anita, enlève ton T-shirt et mets-toi à genou les mains sur la tête. Là sur le tapis.
Il soupira et s'exécuta. Elle s'approcha de lui et lui dit "Tu vas en baver". Il la regarda avec un regard implorant, mais résigné.
Elle ouvrit un sac et posa devant Paul tout un attirail de chaines, de pinces et de choses qui font mal. J'étais impressionné elle avait dû trouver ça dans un magasin de bricolage.
-"D'abord, va baiser les pieds de notre ami"
Paul approcha de moi, en restant à genou et en me regardant en face puis plaça sa face sur mes baskets.
J'avais une gaule...
-"Bon maintenant il va te mettre les pinces"
Je choisis des petites pinces pas trop hard et je m'approchais de Paul. Je commençais par lui caresser le téton gauche qui le fit trembler. Le petit téton s'étant dressé de plaisir - honte suprême - je le punis en plaçant lentement la pince. Pour cette fois, je ne lui ferais pas remarquer son plaisir. Il serra des dents, inspira, mais de cria pas. Je recommençais sur le second téton.
-"Tu es un homme courageux Paul" dis-je pour l'encourager
-Mais ça ne suffira pas, dit Anita
Elle se releva et s'approcha de Paul. "Debout". Une fois debout elle lui baissa son pantalon de sport laissant se déployer une intense érection.
Paul semblait désespéré. Il s'excusa et demanda une punition plus douloureuse.
Anita me demanda si j'aurais une idée.. "Mais bien sûr"
D'abord on le fit mettre entièrement nu. Puis on l'attacha sur le banc de musculation de manière à exposer la plante de ses pieds merveilleux et larges, dont les gros doigts de pieds seraient ligotés entre eux. J'expliquais à Anita. "Maintenant on va s'amuser. Il faut le fouetter sous les pieds, bien au milieu. Pas fort. C'est cumulatif au bout d'un moment il va hurler." Je ne pus m'empêcher de commencer par passer ma main sur le pied sans défense de Paul ce qui le fit encore plus bander. Il supplia pour qu'on le frappe.
Je pris une ceinture cuir et, doucement au début, j'appliquais très précisément les coups. Paul ne disait rien, mais bandait toujours. "Plus fort" cria-t-il, voulant laver son honneur. Cette fois, il laissa échapper quelques "ouch". Sa respiration se faisait saccadée. Je demandais d'un signe de tête à Anita l'autorisation de continuer. Elle était ravie. Comme Paul commençait à crier, elle le bâillonna. Il devenait fou de douleur, manquant sa respiration. Je jugeais qu'il était temps de porter le coup final. Je passais lentement ma main sur la plante de ses pieds, puis je lui léchais. Il pleura. Il bandait plus que jamais.
Nous avons décidé de le libérer. Sa splendeur était à son sommet. Il marchait un peu difficilement, mais tous ses muscles étaient dans leur magnificence.
-"Je suis désolé " dit-il
Anita le releva et le prit dans ses bras.
-"Sans rancune" lui dis-je
Il sourit d'un soupir de dépit. Le pire des supplices, c'est qu'il avait aimé ça.
Brave
hbrave@proton.me