Premier épisode
2 | Cascade de plaisir
Deux semaines s’était écoulées sans que mon mystérieux visiteur nocturne s’invite à nouveau. Je commençais à me dire que j’avais tout rêvé. Ce qui est sûr c’est que depuis cet évènement imprévisible je me masturbais presque chaque nuit excitée par ce souvenir.
Malheureusement les examens approchant je passais de plus en plus de temps à étudier tard et de moins en moins de temps nu dans mon lit à me faire jouir. Après une nouvelle session nocturne de travail je me fis jeter de la salle d’étude. Faut dire il était déjà 22h passé, tout le monde devait déjà être au lit. Las de tout ce travail j’avais besoin de souffler un peu et me dirigeais vers les douches, avide de faire couler de l’eau froide sur mon corps.
Je commencais par enlever mon teeshirt, exposant mon maigre torse à la fraicheur de la pièce, j’en eux la chair de poule, mes abdos frémissaient et mes tétons foncés pointaient. Vient ensuite le tour de mes chaussettes et de mon pantalon, libérant mes jambes sèches et dessinées ainsi que mes petits pieds. Enfin mon slip toujours trop petit pour moi et mes organes intimes descendit vers le bas, je me penchais en avant pour le faire passer sous mes pieds, dévoilant ainsi mon anus légèrement rosé et imberbe. Je posais mes vêtements dans un coin et me dirigeais vers la douche.
Je réglais la chaleur presque au minimum préférant toujours la fraicheur et laissais ce torrent de bien être couler le long de mon corps. Je commençais par me laver les cheveux, glissant mes doigts dans ma chevelure châtain. Mes cheveux arrivaient maintenant jusqu’à mon nez, j’aimais bien. Profitant du savon je descendis mes mains sur mon torse légèrement bronzé et plat, sauf en ce qui concerne les abdos qui entouraient mon nombril. Enfin je mis les mains dans le bas de mon dos et caressais mes fesses lisses et bombées. Mon sexe pendait fièrement entre mes jambes. Il reposait sur mes deux belles boules elles aussi détendues par le plaisir jouissif de l’eau. Alors que je me dis que je pourrais me masturber, profiter de tout ce bonheur car ça faisait bien une semaine que je ne l’avais pas fait à cause des révisions, la lumière s’éteignit.
Je me retrouvais dans le noir complet, au début je fus comme pétrifié, puis alors que je cherchais à tâtons le robinet pour arrêter l’eau et découvrir de quoi il retournait, je sentis quelqu’un derrière moi.
Une main me recouvrit la bouche, une autre se posa directement sur mes testicules. Contre mon dos je sentis un autre corps, un corps ferme, un corps chaud, un corps nu.
Une érection me saisit instantanément, mon gland encore prisonnier de son col de chair pointait obscènement vers l’avant. Sentant cela, la main sur ma bouche me libéra le visage et alla vers le robinet augmentant grandement la chaleur de l’eau.
Un déluge de lave dévala sur mon corps et dans mes veines, mes testicules se détendirent pour, je le supposai le plus grand plaisir de mon visiteur qui ne cessait de jouer avec en tirant dessus. Son autre main commence un long travail de caresse depuis mes cheveux jusqu’à la fine toison châtain de mon pubis. Tout y passa, des papouilles langoureuses dans le cou, l’effleurement de mes lèvres d’un doigt, les pincements de mes tétons foncés à l’écrasement de mes abdos. Finalement cette main finit dans mes poils et pressa avec plaisir mon pubis libérant des effluves de plaisir dans mes veines.
Dans mon dos je sentis sa présence dominatrice, il est plus grand que moi, sa bouche semblait arriver au niveau de mes oreilles car j’entendis son souffle. Ses bras qui passaient de chaque côté de mon corps semblaient plus massifs que les miens enfin il y avait ce barreau de pure perversion que je sentis monter dans le milieu de mon dos. Contrairement à moi ce sexe semblait s’étendre à la verticale, pas l’horizontale. A en juger par les soubresauts qui le parcourent il na m’avait pas l’air beaucoup plus long que mon propre pénis mais définitivement beaucoup plus large.
Quand je réalisai tout ça, ce corps nu qui prenait du plaisir contre le mien, mon plaisir devint une tornade, je me mis à gémir fortement. Il n’était plus question de me retenir cette fois, au contraire mon bourreau semblait m’encourager redoublant ses effort sur mes testicules et mon pubis à chacun de mes gémissement.
Tout d’un coup la main sur mes boules glabres les libéra et vint se glisser dans cette zone magique entre les couilles et l’anus. J’envoyai ma tête en arrière sous l’effet du plaisir pour venir me lover dans le creux de son épaule.
— Ahhhhh oui ici, m’entendis-je gémir, mes premiers mots depuis le début.
Ma voix est méconnaissable on crut entendre une pucelle réclamant son premier orgasme. Puis les mains m’abandonnèrent, et malgré l’eau brulante mon corps ainsi délaissé me paraissait glacial.
Heureusement elles furent vites de retour, je me rendis compte qu’il avait pris de mon gel douche. Il coupa l’eau et commença à savonner tout le bas mon corps, s’attardant d’abord sur mes pieds qu’il posa un par un sur son genou. Il joua avec mes doigts de pieds glissant ses phalanges entre chaque. Rapidement il me retourna me mettant de dos et remonta le long de mes jambes et me savonna avec forces les couilles, le pubis et enfin les fesses. C’est là que je compris pourquoi il avait pris du savon, sans prévenir un doigt me viola l’entrée de mon cul. De son autre main il entoura mon sexe, son pouce appuyant sous mes boules, le reste de sa main mon pubis. Il sera fort alors qu’un deuxième doigt rejoint le premier en moi. Jamais depuis le début il eut touché ma queue, cependant le traitement que subit mon petit trou rose fut tout autre, je crus défaillir de tant de plaisir et de douleur en provenance du même endroit. Pourtant je résistai je savais que j’allais m’y habituer.
— Oui encore continuuuuuue, ces mots obscènes me vinrent sans que je le contrôle.
Je le sentis se relever. Cette fois il coinça sa bite vers le bas, la bloquant entre mes deux fesses rebondies alors qu’il continuait de me doigter le cul frottant de plus en plus fort sur ma prostate. Je pensai jouir plusieurs fois mais la main qui m’enserrait le pubis et les couilles, bien que me procurant beaucoup de plaisir, m’en empêcha via la trop forte pression. Pourtant dans mes veines il n’y a que pur plaisir.
— PLUS FORT C’EST TROP BON.
Pour répondre à mon ordre ses doigts furent rejoints par un troisième qui me viola avec délectation mon petit cul. Je le sentis frotter de plus en plus fort sa bite contre mon cul, pour la première fois en bas de mon dos je me rendis compte que ses poils me piquaient un peu. Il devait avoir un pubis bien fourni.
C’est alors que la main autour de ma queue, la libéra et que deux doigts vinrent se poser sur mon prépuce tout au bout de mon gland.
— Non pas ça, je vais jouir sinon.
Il ne m’écoutait pas, ou plutôt, comptait bien me faire gicler. D’un coup les deux doigts bougèrent très lentement découvrant d’un supplice infini mon gland.
— AAAAAH OUIII PUTAIN
Je m’entendis de loin, je n’étais plus maitre de mon corps ni de mes paroles, je n’étais plus qu’un garçon mut uniquement par un plaisir pervers.
La main ralluma alors l’eau brulante qui tomba directement sur mon gland exposé avant de saisir ma bite pour la branler toujours avec lenteur.
— Plus viiiite s’il te plait fait moi jouiiiiir.
Mais non, la lenteur, toujours la lenteur, qui remplit inexorablement mon corps de luxure. D’un côté il m’écartelait et appuyait avec force dans mon cul, de l’autre il branlait avec poigne et lenteur ma bite totalement exposée au fluide chaud, pareil au sperme qui voulait sortir de moi.
Ce supplice sembla durer des heures à chaque fois que son poignet rencontrait mon pubis je crus jouir mais il ralentissait exprès à cet endroit. A chaque fois que sa main atteignait mon gland je me sentais partir mais ses doigts dans mon cul en profitaient pour me violer avec force.
L’inéluctable finit malgré tout par arriver.
— Oui là ça va venir.
Une passe eu lieu et rien
— OUIIII là c’est bon.
Una autre passe, toujours rien
— OUUUUI VAS-Y plus vite.
Troisième passe, je me sens toujours jouir mais toujours rien.
— VAS-Y PUTAIN JE VAIS GICLER.
Je sens que c’est différent je crois que du sperme commence à couler
— FAIS MOI JOUIIIIIR DONNE MOI CET ORGAMSE
J’en suis sûr lors des deux dernières passes du sperme a coulé mais je n’avais pas encore joui.
— OUIIIIIIIII C’EST TROP BON JE JOUI MEC TU ME FAIS JOUIR
Ça y est mon esprit n’était que plaisir, j’oubliai totalement que je n’étais pas seul, mon bassin bougeait tout seul, un torrent de foutre sans fin jaillissant hors de moi, je tartinai sans doute le mur d’en face. Je jouis autant de ma bite que de mon cul. Je réalisai tout d’un coup qu’une autre langue se trouvait dans ma bouche ? Quand avait-il commencé à m’embrasser ? je m’en fichai je lui rendis violemment son baiser. Puis après une éternité à jouir je me retrouvai au sol et seul. C’est alors que la lumière se ralluma. Je remarquai d’abord le mur d’en face, recouvert d’un liquide blanc crémeux. Ensuite alors que je me relevai péniblement je sentis que mes jambes étaient gluante, je constatai avec un plaisir pervers que du sperme en très grande quantité recouvrait mes jambes et tout mon cul. Mon mystérieux admirateur avait eu aussi son compte aujourd’hui. Une envie irrépressible me saisit, je pris un peu de ce foutre sur une de mes fesses et le porta à mes lèvres. Le gout est suave, enivrant, je pourrai y prendre goût.
Note
Je ne pensais pas écrire une suite à cette histoire mais un jour dans la douche mon corps comme celui du héros en eu envie, le reste s’écrit tout seul !
Dites-moi ce que vous en pensez, qui sais il y aura peut-être un autre chapitre !
Des bisous !
Nei
ienien95@outlook.com
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