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Chapitre 6
Je laisse Arthur au supplice pendant quelques jours.
Puis un après-midi de canicule, alors qu’il se prélasse, en maillot cette fois, je sors de ma chambre et m’approche en maillot moi aussi.
Il est dans l’eau, les bras posés sur le bord du bassin, les yeux mi-clos, aveuglé par le soleil puissant.
Je retire mon maillot et m’assieds au bord, les pieds dans l’eau. C’est le test ultime. Je vais maintenant savoir. S’il m’ignore, c’est que j’ai tout faux. S’il accepte, j’ai gagné.
Je bande. Il a tourné la tête. Il regarde, immobile. Je vois sa pomme d’Adam bouger nerveusement.
- Viens me sucer
Il ne bouge pas… puis fais quelques brassées et vient planter sa bouche sur mon sexe. Je pousse un soupir de satisfaction
- Ça t’avait manqué hein ?
Il fait oui de la tête tout en gardant ma bite en bouche. Mais il est embarrassé de me sucer comme ça, dans la piscine. Autant se baigner à poil, ça va, mais baiser comme ça, avec le risque de se faire surprendre. Il jette des regards paranos à gauche à droite. Je note cela, et ça m’excite
- Oui quelqu’un pourrait nous surprendre… mais le risque fait partie du plaisir
Et je lui caresse les cheveux pour l’encourager.
Je me penche sur mes coudes. J’ai gagné. Il est à moi. Le soleil me caresse le corps. L’eau rafraichit mes jambes et la bouche d’Arthur sur mon sexe me donne encore plus de plaisir. Je suis au paradis. Je prends tout mon temps.
Une fois qu’il m’a bien sucé, je plonge dans l’eau et le serre dans mes bras, avant de l’embrasser passionnément. Sa langue envahit aussitôt ma bouche et ses jambes s’enroulent autour de ma taille. On se serre bien fort. Je le conduis au bord du bassin, là où le niveau d’eau est le plus bas et fait glisser son maillot, avant de le laisser flotter dans l’eau
- Dorénavant, je ne veux plus te voir porter de maillot
Il sourit et fait oui de la tête.
Je le retourne et le penche contre le bord de la piscine, fesses hors de l’eau. Je descends pour commencer à le rimmer. Culte de ses fesses, rondes, magnifiques, mais encore trop pales à mes yeux. Je me montre d’abord doux et tendre, mais langue frétillante touchant un maximum de points sensibles. Il aime ça, même si sa tête continue de regarder nerveusement vers l’entrée de temps en temps. J’accélère ensuite, lui bouffant carrément le cul. Les lèches sont plus fortes, je mordille aussi.
Puis je le prends par la main pour le sortir du bassin. Son corps fait mine de se diriger vers sa chambre, mais j’insiste
- Non, je vais te baiser ici
On fait d’abord un 69 au bord de la piscine, allongés sur une serviette. Son corps est magnifique au soleil, la peau encore douce et fraiche grâce au bain dans la piscine. Je le suce avant de le lécher et lui ne lâche pas ma bite avec sa bouche.
Soudain, je m’écarte pour me relever
- A genoux, mains derrière le dos
Il a déjà instinctivement ouvert la bouche quand je plonge ma bite au plus profond de sa gorge. Il toussote mais arrive quand même à la prendre profondément. Je serre maintenant sa tête dans mes mains et me mets à lui baiser la bouche. Je vais profondément dans sa bouche. Il est docile, et accepte le challenge. Je me branle dans sa bouche jusqu’à jouir. Il avale sans broncher. Quand je sors ma bite, son visage est couvert de salive, son sexe plus dur que jamais et le gland couvert de précum.
Je ne lui laisse aucun répit et le place ensuite sur une chaise longue sur le dos, avant de relever complètement ses fesses pour les porter à hauteur de ma bouche. Son corps est maintenant plié en deux. Je dépose de la salive en abondance sur son trou et le lèche un peu. Je dépose un minimum de gel.
Je l’encule aussitôt par devant. Je démarre par des mouvements lents mais très longs et bien profonds comme pour prendre possession de chaque recoin de son cul. Ça lui plait, il se masse le sexe et les couilles en même temps. Ses yeux ne quittent mon torse puissant. Je le toise. Je prends ses chevilles dans mes mains pour bien l’écarter. Puis mes coups de queue se font plus secs. Son corps se secoue. Et il commence à pousser des petits « han, fuck, yes » à chaque coup. Puis j’accélère ensuite carrément et son corps se plie, ses jambes se redressent. Je le domine physiquement. La sodo est vive, intense.
Je le retourne ensuite et le met à quatre pattes pour le prendre en levrette. Ma queue rentre très facilement dans son trou bien ouvert. Là encore, je démarre doucement et le caresse doucement. Sa peau a maintenant séché mais reste très douce. Je regarde ma bite glisser entre ses fesses. Je la sors entièrement puis la rentre de nouveau. Mes mains glissent jusque vers son cou. Comme je suis lent, il a assez de liberté pour bouger et il avance bien d’avant en arrière lui aussi pour participer. Nous sommes maintenant comme deux amants parfaitement en phase.
Je le prends ensuite par les hanches pour accélérer un peu et venir faire buter mon gland au fond son rectum. Il continue à crier.
Soudain, j’aperçois la femme de ménage arriver sur la terrasse depuis le salon. Son visage se fige et elle disparait aussitôt à l’intérieur de la maison. Arthur s’est figé mais tout est allé très vite. Il se tourne pour me lancer un regard incrédule. Je l’embrasse et lui glisse à l’oreille : « ça m’excite… maintenant elle sait que tu es un petit passif ». Arthur lâche un sourire un peu gêné et on reprend notre baise sauvage.
Je finis par le redresser complètement sur ses genoux, en enroulant un bras sur son torse. Son dos est maintenant collé à mon torse. Je continue à bouger en lui. De l’autre main je lui masse les couilles. J’accélère et lui murmure à l’oreille « Jouis avec moi Arthur maintenant, jouis avec moi ». J’éjacule en lui et continue à masser sa prostate avec ma bite. Son corps finit par convulser, je sens son anus se serrer sur ma queue et quatre jets énormes jaillissent pour atterrir devant lui. Arthur a lancé des « ah » à chaque jet. Je l’embrasse et le caresse.
Arthur sourit… « c’était incroyable ».
Il se détache et saute nu dans l’eau en poussant un énorme cri.
- Viens nager avec moi
- Il faut que je retourne écrire
Et je l’abandonne. Il a l’air un peu déçu, mais pas tant que ça. Il passe un bon moment à nager et bronzer nu. Il a l’air heureux et épanoui.
En m’asseyant à ma table d’écriture, je repense à cette baise magique et à ma victoire. Je suis excité à l’idée de tout ce que je vais pouvoir faire avec Arthur.
Un élan de force, de confiance et de créativité me prend soudain. Je me mets à écrire frénétiquement.
Je dors peu, et arrive à ne pas trop penser à Arthur.
Après deux jours intenses d’écriture, je suis naturellement en manque de sexe. C’est l’après-midi.
Des amis d’Arthur sont venus. La piscine est envahie de la troupe habituelle de gosses de riches, des garçons et des filles.
Voir tous ces garçons en maillot, dont Arthur, me fait bander. Je les vois tous affalés. Certains pianotent sur leurs smartphones, évidemment, dont Arthur. Je lui envoie un SMS : « Viens »
Je vois son visage se tourner en direction de ma fenêtre. Il répond « suis avec des potes la »
A quoi je réponds « Viens MAINTENANT ».
Au bout de quelques secondes, il se lève, mais rentre dans ma chambre par derrière, pour que ces amis ne s’en aperçoivent pas.
Je le plaque aussitôt contre la porte qu’il vient de fermer et l’embrasse à pleine bouche. Je lui mets la main au paquet. Il est surpris
Je tombe à genoux, lui baisse le maillot, et prend sa bite encore molle en moi. Il ne lui faut que quelques secondes pour bander dans ma bouche. Mon ascendant sur lui est tel, qu’il ne m’a pas résisté. Il accepte maintenant de baiser quand je veux.
Ma main pétrit aussi ses fesses, tandis que je le suce sans utiliser mes mains. Je le lâche pour mieux lui lécher les couilles. Quand il est bien chaud, je le pousse fermement sur les épaules pour qu’il me suce à son tour. Tout va très vite et je le penche ensuite contre mon bureau pour lui préparer les fesses. De là où il est, il entr’aperçoit ses amis dans la piscine. Ça m’excite, et je pense que c’est pareil pour lui.
Quelques gouttes de gel et je l’encule maintenant par derrière, contre mon bureau. On observe ses amis en même temps entre les stores, mais eux ne nous voient pas. Arthur commence à gémir un peu mais se reprend, de peur qu’on l’entende. Une baise rapide. Des bons coups de queue. Avec pour objectif de me décharger vite, de libérer la tension sexuelle qui m’envahit… mais aussi de faire jouir Arthur du cul. Ce n’est pas bien difficile avec lui. C’est d’ailleurs lui qui éjacule en premier sur le bureau. Tout en continuant à l’enculer, je ramasse son foutre avec mes doigts, et les lui mets dans la bouche. Il lèche et suce et alors qu’il avale ses propres semences, il reçoit les miennes en lui.
On reprend notre souffle. Tout est allé très vite. Un quart d’heure à peine. Mais je veux assouvir mes pulsions, et je veux qu’Arthur soit celui sur qui je les libère. Il l’a compris et aimé.
Apres coup, il rejoint ses amis comme si de rien n’était. Personne ne lui pose de questions. Mais moi je sais qu’il a mon sperme en lui, et le gout du sien dans la bouche. Ça m’excite…
Je reprends aussitôt ma frénésie d’écriture les jours suivants. Arthur frappe parfois à ma porte, ou m’envoie des SMS. Mais je l’éconduis poliment. Je le laisse mariner, et bouillir de désir.
La bonne nouvelle est qu’il a bien retenu mes instructions : quand il profite seul de la piscine, il le fait sans maillot. Nu sous le soleil puissant, il nage, bronze et s’exhibe devant moi.
Un matin je lui propose d’aller au village. Même s’il n’y a rien de sexuel, il accepte tout de suite, avec un grand sourire. Il aime ma présence physique à ses côtés… J’en suis ravi.
Au moment de monter dans son cabriolet, je lui demande les clés. Le message est clair : c’est moi qui contrôle les opérations.
Contrairement à Arthur, je conduis prudemment. En ville, il me suit à la librairie. Il regarde quelques livres, sans vraiment comprendre. Il me regarde souvent…
Je passe ensuite à la pharmacie. Il est avec moi. La pharmacienne le reconnait et lui dit bonjour. Le village est petit. J’imagine qu’Arthur vient y acheter ses capotes. Dans le rayon, je prends une bouteille de lubrifiant. Je m’assure d’avoir Arthur à mes côtés quand je la dépose à la caisse. Devant la pharmacienne, je dis à Arthur :
- Je crois que c’est tout. Pas besoin d’autre chose ?
Arthur rougit. Je souris. La pharmacienne fait comme si de rien n’était. Mais j’ai adoré la scène : je viens d’outer Arthur devant elle, et lui faire comprendre qu’il couche avec moi.
Sur le chemin du retour, c’est encore moi qui conduis… et je réserve une surprise à Arthur. Je sors de la route et prend le chemin ou il m’avait mené il y a quelques semaines pour se faire sucer. Il comprend aussitôt et sourit. Il se caresse le paquet.
Je coupe le contact et l’attrape par la nuque pour l’embrasser.
- Sors de la voiture
Il me rejoint de mon côté du véhicule. On s’embrasse. Soudain d’un mouvement violent, je lui arrache son petit t-shirt en lin. Il est choqué et reste bouche bée. Je jette le t-shirt, et le met à genoux, torse nu. Je m’adosse à la voiture, et sort ma bite. Il commence à sucer. Je me détends, profite de la situation. Je me mets torse nu moi aussi. Je joue ensuite avec ma bite. Frappe les joues d’Arthur et sa langue avec. Le jeu lui plait. Je caresse bien ses cheveux et ses épaules nues. Je suis plus doux. Puis j’accélère un peu et lui tenant la tête pour pénétrer sa gorge. Il progresse en gorge profonde maintenant.
Je le fais se relever et tire sur son short. Je fais voler le bouton et jette aussi le short au loin. Pareil pour son boxer. Il est nu, à l’exception de ses chaussures.
- Désormais, je veux tu sois commando, sans rien, ou en jockstaps, ok ?
- Ok
- Retourne et penche-toi contre la portière.
Ses fesses sont à moi. Je les écarte et donne un premier coup de langue le long de la raie. On va baiser ici. Des randonneurs pourraient nous surprendre. Tant mieux. Et ça n’a pas l’air de choquer Arthur. Je suis en train de révéler sa vraie nature d’exhibitionniste.
Arthur est beau comme ça, nu, avec ses tennis, cambré contre la portière. Une vraie scène de film porno. Je lèche son petit cul et le prépare. Le soleil, à travers les arbres, caresse son dos nu. Il gémit, prenant du plaisir à cette baise en pleine nature. Je le mouille bien puis attrape le gel que je viens d’acheter. Je le lubrifie moi-même et me glisse en lui. Il se retourne de lui-même pour m’embrasser, comme pour me remercier de le baiser. De rien, mon Arthur.
Une baise régulière, mes hanches venant rebondir doucement contre ses petites fesses. Celles-ci commencent à bronzer. J’apprécie. Je sens les muscles du dos d’Arthur glisser sous mes mains, puis je saisis ses hanches. J’attrape aussi sa queue, complètement bandée. On baise comme ça un bon moment, avec la nature comme seul témoin.
Je le fais ensuite allonger sur le dos sur le coffre de la voiture. Je retire ses tennis, des Stan Smith, et ses petites chaussettes et les jette au loin. Il est maintenant entièrement nu, de la tête à pied. Il écarte bien les jambes. Il est parfaitement à ma hauteur pour prendre ma bite. Elle glisse sans problème. Peut-être a-t-il déjà baisé dans une voiture, mais surement jamais comme ça. Il écarte les jambes à fond et se caresse tout en prenant ma bite dans le cul. Je le baise ainsi pendant de longues minutes, doucement puis plus vite.
Dès que je sens l’orgasme monter, je me retire et le fais se mettre à genoux devant moi. J’attrape sa tignasse et la serre d’une main. De l’autre je me branle à toute vitesse, le gland collé à sa joue. Il ferme les yeux. Le sperme explose sur son visage. Les joues, le nez, les lèvres. Il sort sa langue et ramasse le sperme déposé sur ses lèvres pour le manger. Puis je lui plonge la bite dans la bouche. Je lui laisse deux secondes pour s’habituer au gout acre. Nouvelle expérience qui doit devenir une habitude pour Arthur : prendre en bouche ma bite qui sort de son cul. Il accepte le défi et se met à me sucer. Je sens qu’il est prêt à relever tous les défis et il me le prouve. Il suce avec gourmandise, lèche bien. Mon gland collecte et ramasse le sperme chaud sur ses joues et vient terminer dans sa bouche. Je le regarde avaler.
Je le redresse et l’embrasse passionnément, pour le féliciter. Ma salive rentre dans sa bouche et son haleine acre envahit ma bouche à son tour. Nous n’avons jamais été aussi proche.
Je me mets à genoux et commence à le sucer. Je glisse un doigt dans son cul, puis un deuxième car il est bien ouvert. Et je lui masse la prostate tout en le suçant. Je sens déjà des gouttes de sperme couler dans ma bouche. Je temporise un peu, histoire de profiter de sa bite, et de lui donner un peu de plaisir dans la durée.
Je finis par accélérer et le fait jouir de l’intérieur. Je sens ses couilles se contracter et il éjacule dans ma bouche. Le sperme est chaud, bien crémeux et abondant. Je le garde en bouche et me redresse. Je l’embrasse et déverse un impressionnant bouillon de sperme et de salive dans sa bouche. Il le reçoit, même si une bonne quantité ruisselle le long de mes lèvres et de siennes. On se lèche mutuellement comme deux chats. Deux homos accrocs au sperme…
Les baisers continuent, et deviennent plus secs et plus doux comme si on ne voulait pas laisser ce moment magique s’arrêter. Mais il est temps de rentrer. Arthur regarde où sont ses vêtements mais je lui dis : « non, monte à poil dans la voiture »
Je veux lui faire abandonner ses vêtements hors de prix, le voir renoncer à ce qui fait de lui un gosse de riche. A mes yeux, seul son corps, sa beauté, sa jeunesse importent. C’est tout ce que je désire.
Amusé et un peu gêné, Arthur remonte dans la voiture, entièrement à poil.
Sur la route, nous croisons d’autres véhicules, mais ils ne peuvent remarquer que le torse nu d’Arthur. Celui-ci a passé son bras derrière mon appui tête. Il penche la tête et laisse le vent voler dans ses cheveux. Il a l’air d’apprécier l’expérience coquine que je lui propose.
Arrivé à la maison, il se jette dans la piscine, et je l’abandonne pour retourner écrire…
Sylvainerotic
sylvainerotic@yahoo.com
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