Premier épisode
Chapitre-2
Comme je ne l’ai pas indiqué dans le précédent épisode, cette histoire est un tissu de faits strictement authentiques. J’ai par contre, bien entendu, changé les noms pour respecter l’anonymat des protagonistes.
Donc en cette belle journée d’août, 1148 mon frère, cet homo au sourire si doux, m’a fait découvrir les plaisirs charnels de l’amour fraternel.
Certes, ce ne fut qu’une ébauche, et nous ne nous enculâmes point. Ce n’est pas que l’envie nous en eût manqué, mais mon vierge trou avait besoin d’être préparé avant de pouvoir accueillir un membre d’un format largement supérieur à la moyenne.
Bien que la taille de la queue de mon ami Jacques le palefrenier fût encore plus imposante que celle de mon frère, il fut décidé que je prendrai la langue avec lui afin qu’il me recommandât auprès de messire Arnaud dont les attributs, eux, semblaient d’un gabarit compatible avec mon initiation.
Jusqu’à présent, j’ignorais que mon meilleur ami n’avait aucune inclination à l’égard de la gent féminine. Lui apprendre que je partageais ses goûts occultes ne me paraissait pas évident.
Je me rendis à l’écurie, prenant mon courage et ma bite à deux mains…
Lorsque je pénétrais dans le box où il était en train d’étriller un splendide étalon, je constatais que le hasard m’avait tendu la perche, si je peux me permettre cette expression, expression un peu déplacée en l’occurrence.
En effet, le brave étalon affichait, sans vergogne, un membre turgescent qui pratiquement touchait le sol.
— Salut Jacques ! Je crois que ton cheval a besoin d’aide…
— salut Marc ! Je n’ai malheureusement aucune jument disponible pour apaiser ses ardeurs.
— Quand tu te trouves dans cet état, tu appliques bien un palliatif : tu te brandelles !
— Brandeler un cheval, je n’y avais jamais pensé.
— Égoïste. Tiens regarde…
Prenant à deux mains la pine de l’étalon j’appliquais de vigoureux allers-retours. Jacques me rejoignit dans ma démarche. À l’évidence l’animal apprécia la manœuvre et après quelques minutes inonda sa litière.
— Efficace, ta méthode ! Ça va le calmer pour un temps.
— Mais apparemment, ça n’a pas eu le même effet sur nous. Tu bandes comme un âne et j’avoue que ma bite n’est pas en reste !
— Ne serait-il pas raisonnable d’appliquer semblable solution ?
Pour toute réponse j’abaissai mes braies. Un peu surpris, Jacques se débrailla dans la foulée.
J’eus confirmation que la taille de la queue de mon meilleur ami n’entrait certes pas en concurrence avec celle de l’étalon, mais était cependant trop imposante pour que je puisse l’héberger dans mon séant, du moins sans préparation préalable !
Afin de ne laisser aucune ambiguïté quant au fait que la nature de nos relations était en train de sensiblement évoluer, je tombais à genoux. Le message passa très bien, de même que le gland qui envahit ma bouche dans les secondes qui suivirent.
En dépit de ma très récente et forcément limitée expérience, je m’ingéniai à titiller les parties les plus sensibles qui se trouvaient à portée de langue. Guidé par les gémissements je ne tardai pas à perfectionner ma technique. Je compris au soudain durcissement que la récolte était proche et qu’elle allait être abondante. Je ne comptai pas le nombre de jets qui vinrent percuter mon palais, car quand on aime on ne compte pas ! J’appréciai par contre, avec délectation, les nouvelles saveurs de ce sperme amical.
Bien entendu, dans la mesure où je me brandelais parallèlement, j’éjaculai quasi simultanément en étouffant les cris de ma jouissance.
Il est clair que Jacques était ravi de la tournure que prenait notre relation. Lorsque je lui demandai d’intervenir auprès de notre jeune dont la taille de la queue semblait seule compatible avec mon anatomie, surpris, il accepta néanmoins avec grand plaisir. Quand il comprit que cette inauguration ne serait qu’un préalable et que, peut-être après l’introduction intermédiaire du braquemart de mon frère, la finalité était bel et bien d’être en mesure d’accueillir son membre imposant, il ne dissimula pas une émotion qui se manifesta par une virile empoignade de son entrejambe.
Une pelle fougueuse ou subsistait quelques traces de son sperme conclut nos ébats .
— ravi de pouvoir t’aider !
— on n’est jamais trop aidé !
Ghell2000
ghell2000@yahoo.fr
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