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Chapitre-4
À l’issue de la nuit de la nuit au cours de laquelle j’avais enculé avec succès messire Arnaud, celui-ci avait eu la bonté d’exprimer sa satisfaction quant à la qualité de la sodomie que je lui avais dispensée. Il avait même ordonné ma participation à sa nuit de noces qui devaient avoir lieu la semaine suivante.
Mon expérience alors n’était pas bien grande, car je n’avais découvert les plaisirs de l’amour entre hommes que quelques jours plus tôt. Mon frère m’avait initié et j’avais entrepris mon perfectionnement, dans la foulée, avec mon meilleur ami, Jacques le palefrenier.
La queue de ce dernier, et dans une moindre mesure celle de mon frère, étant beaucoup trop grosses pour une initiation sodomite, il avait été décidé d’effectuer un rodage en usant d’une bite aux dimensions plus raisonnables.
Messire Arnaud, grand amateur de zobs, et dont mes deux initiateurs connaissaient parfaitement les mensurations intimes, avait été considéré comme une alternative raisonnable.
Après une sympathique orgie où je m’étais gorgé de moult éjaculats, je finis ma nuit au lit de messire Arnaud qui mit tout en œuvre pour… approfondir ma formation.
Lorsqu’au petit matin il me confirma sa satisfaction, je fus très surpris, néanmoins, d’apprendre qu’il souhaitait ma présence, avec mon frère et mon ami Jacques, pour l’assister lors de sa nuit de noces.
L’idée de devoir introduire son membre dans un trou qui ne présentait que l’intérêt d’être susceptible de lui fournir un héritier, ne l’enchantait guère. À dire vrai, il était même certain qu’il ne serait physiquement en mesure de satisfaire à ses obligations qu’avec l’assistance de virils compagnons.
En la chapelle du château, nous assistâmes aux épousailles.
Lorsque la nuit venue, nous nous rendîmes dans la chambre de messire Arnaud, celui-ci nous y attendait. Expliquer à l’épousée quel allait être notre rôle ne semblait pas chose aisée.
Lorsqu’elle pénétra dans la pièce, bien que nous fussions encore habillés, elle fut extrêmement surprise de notre présence.
— Ma mie, Madame votre Mère vous a-t-elle bien expliqués les « formalités » à accomplir la nuit de noces ?
— Je n’ai pas tout compris. Elle m’a expliqué que les hommes possédaient entre les jambes un appendice que nous autres femmes n’avions point. Qu’il fallait, pour qu’il soit utilisable le caresser et parfois même le prendre en bouche. Mon frère m’a expliqué qu’avec vous cela serait peut-être un peu différent et que par tradition familiale, il conviendrait, sans-doute, que je me plie à un cérémonial particulier.
— Votre frère avec qui je chevauche régulièrement a bien fait de vous informer et je l’en remercierai à l’occasion. Si je comprends bien, ma mie, vous n’ avez encore jamais vu et encore moins touché la moindre bite…
— J’avoue, mon mari, que je ne pense pas en avoir jamais vu. Mais je serai bien aise d’être confrontée à cette nouveauté.
— Qu’à cela ne tienne, mes amis ici présents vont se faire un plaisir de vous montrer leur collection. Vous constaterez qu’elles ne sont pas toutes identiques. Celle de Jacques, par sa taille, est tout à fait remarquable et est fort prisée des amateurs éclairés dont je suis.
De concert, nous abaissâmes nos braies jusqu’à nos chevilles, offrant à l’épouse le spectacle de trois appareillages qu’une présence féminine n’avait néanmoins pas incité à se mettre en état opérationnel.
— Et vous mème…
Sans attendre la suite de la question, messire Arnaud abaissa ses hauts-de-chausses et exposa un membre qui à l’évidence n’était pas non plus dans une situation telle qu’il pût rendre le service qu’on attendait de lui.
— Ce petit sac, mon bon mari, à quoi sert-il ?
-Ma douce, ce sont les couilles. Certains disent les « testicules » mais ce mot est beaucoup moins poétique ! Elles vont toujours par deux et servent à la reproduction. Mais elles peuvent aussi être source de grands amusements car elles secrètent un nectar qui est des plus goûteux. C’est pourquoi, d’aucuns les surnomment « joyeuses » !
— D’après ce que m’a dit ma mère, ce que vous appelez « bite » devrait être tout raide afin de pouvoir passer à travers ce trou de ma chemise de nuit et s’introduire ensuite dans mon anatomie pour y déposer la liqueur à faire les enfants.
— C’est tout à fait exact. Allongez-vous, ma biche, écartez bien les cuisses. Je vais tenter de vous féconder derechef. Cependant, pour obtenir ce que l’on appelle une érection, Il va me falloir l’assistance de mes compagnons. Ils sont fort adroits à cet exercice je ne doute pas qu’ils sauront me faire bander comme un cerf.
Comprenant l’ implicite invitation, mon frère s’empara de l’objet de la discussion qui immédiatement ressuscita. Cette vue entraîna chez chacun de nous une contagion immédiate. Jacques se positionna aussitôt derrière messire Arnaud et à grands coups de reins força l’entrée de service.
C’est ainsi embroché, que ce dernier superbement bandé réussit à s’introduire dans son épousée. Au prix d’une habile contorsion, il parvint à prendre ma queue en bouche et celle de mon frère en main.
Sa langue, savamment titilla mon méat et sa tête s’activa au même rythme que ses reins et que ceux de Jacques. Convaincu que la pénétration dans des lieux, jusqu’à ce jour inexplorés, n’était pas du goût de messire Arnaud et voulant écourter son épreuve, je ne tentai pas de retenir ma sève.
Mon hâtive éjaculation entraîna celle d’un époux fort satisfait de mettre ainsi fin au devoir conjugal.
— Voilà une bonne chose de faite, ma tendre amie. Je pense qu’il est temps que vous retourniez vous reposer dans vos appartements. J’espère que vous serez en mesure de me donner rapidement un fils et que je n’aurais pas ainsi l’obligation de vous imposer une nouvelle épreuve. Évitez de vous laver pendant plusieurs jours afin que mon suc vous imprègne bien.
Dès que la dame fut sortie, Jacques s’empara de la bouche d’Arnaud et récupéra la semence que j’y avais déposée. Fort malheureusement, il avait pratiquement débandé et il me faudrait attendre avant que je pusse profiter de son amicale pénétration. Simples prémices à son pénis, son index sut me faire patienter.
J’étais cependant un peu déçu de n’avoir été sodomisé par personne. Heureusement, la nuit n’était pas finie et j’étais convaincu qu’au moins un de mes trois partenaires aurait la gentillesse de vider ses burnes dans ma salle de jeux.
Ghell2000
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