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11 | La vie reprend son cours et je récupère Eric
Le lendemain matin quand mon esclave est venu pour le petit déjeuner, il à commencé à sucer Karl qui s'est réveillé. Karl m’a regardé et je lui ai fait comprendre que c’était normal.
Moi : Si tu veux mon amour tu peux le baiser mais il est très serré
L’esclave ne lui en a pas laissé le temps, Karl n’a pas su se retenir et lui a juté en bouche. Le petit a voulu ensuite me sucer mais avec ma main je l’ai repoussé.
Moi : Merci esclave mais ça ira. Laisse-nous.
L’esclave : Bien maître.
Nous avons déjeuné et ensuite nous avons pris une douche. J’ai lavé mon maître et me suis mis à le sucer. Il m’a relevé, retourné contre le mur et m'a pris d’une traite. J’en ai eu le souffle coupé.
Karl : Tu la sens ma queue esclave, ton cul est à moi et je vais te faire sentir une bonne fois qui est le maître.
Moi : Oui maître baiser moi, ma chatte est à vous.
Il m’a bien démonté dans la douche, il était tellement puissant que par moment mes pieds décollaient du sol. J’ai pris son dernier coup de queue et j’ai senti les jets de spermes me remplir. Moi aussi j’avais juté contre le mur de la douche. Après rinçage, il m'a rentré plug, dans le cul.
Karl : Garde le jusqu’au soir, ça te feras de l’exercice.
Nous avons remis des vêtements frais et nous sommes descendus. Après un nouveau café Karl est reparti. Luc est venu me retirer mon collier et j’ai pu remettre ma chevalière. Je lui ai donné la liste de course et ensuite je suis parti faire mon sport. Pesage 61 kg. A mon retour j’ai demandé à Luc le numéro du docteur du domaine.
Luc : Tu ne te sens pas bien ?
Moi : Si ça va, je n’ai plus de vitamine et de magnésium et j’ai quelques questions à lui posé concernant Eric.
Luc : Pour tes vitamines et magnésium, je m’en occupe.
Il me donne le numéro, quand j’ai enfin le médecin, je lui pose la question qui me taraude concernant la castration d’Éric. A savoir est-ce réparable comme c’est récent. Réponse évasive.
Le médecin : Je vais l’ausculter et lui faire un bilan dès son arrivé mais c’est Aoun qui l’a fait castrer et si c’est à la façon africaine ce que je redoute. Il n’y aura que de la chirurgie réparatrice esthétique.
Moi : C’est quoi la méthode africaine ?
Le médecin : C’est simple, ils entaillent la bourse au couteau sans aucune anesthésie, sectionne les deux cordons spermatiques et enlève les boules avant une cicatrisation par brûlure.
Moi : Mais c’est barbare.
Le médecin : C’est de la mutilation pur et simple, si c’est le cas il va mettre du temps à s’en remettre donc je vais devoir le garder ici.
Moi : Ok, tenez-moi au courant dans la journée s’il vous plaît.
Je raccroche et je vais dans mon bureau voir où en est ma comptabilité. Il n’y a plus rien dans mon bureau. Je vais trouver Luc pour avoir une explication.
Luc : Ta comptabilité est chez moi, pour plus de facilité pendant ton absence au domaine mais si tu veux y jeter un œil, va y, mon esclave va te la montrer. Tout est en ordre.
Moi : Ok, je te fais confiance mais j’ai été surpris. Peux-tu me faire conduire au domaine, j’aimerais voir Eric, voir dans quel état il est.
Luc : Impossible, tu ne peux aller au domaine que pour y résider. Ordre du maître. Laisse du temps à ton futur esclave de se remettre de son passage chez Aoun. Quand il viendra ici, il faudra le surveiller, je connais plus d’un esclave chez Aoun qui s'est suicidé après la castration. Mais dans son pays les esclaves sont enterrés à même le sable. Les esclaves ne compte pas, il n’existe pas aux yeux de la loi. Tu as de la chance, énormément de chance. Au départ Aoun voulait un échange contre toi et c’est toi qui aurais fini castrer. Le maître a bien négocié. Ce que je peux te dire c’est que quand tu seras au domaine lui et ces frère pourrons te baisé sans avoir à payer.
Moi : Ça reste à voir, je m’arrangerais avec mon maître mais si, ils ont détruit la marchandise, ils me le payeront.
Luc : Ton maître ne te laissera pas faire et tu n’as pas le choix, n’oublie pas d'où tu viens.
Moi : Je ferais ce que le maître décide mais comprend moi ce genre de méthode me dégoute, Eric ne méritait pas cela. Il a toujours servi le cercle avec dévouement, j’ai l’impression que c’est de ma faute ce qui lui arrive, je m’en veux énormément.
Je commence à avoir des larmes qui montent, Luc s’en aperçoit.
Luc : Retiens toi de pleurer, les ouvriers et esclaves nous regarde. Rentre chez toi, je vais parler avec le maître et lui expliquer ce que tu viens de me raconter.
Une fois chez moi, j’ai demandé un verre de vins à mon esclave et quelques fruits. Je me suis mis devant la TV, afin de me changer les idées. Mon téléphone à sonner, le médecin.
Le médecin : Voilà, je viens de le recevoir et de l’ausculter. Pour lui malheureusement, je ne sais rien faire trop de dégâts pour le moment, je vais le garder au moins 15 jours en hospi ici. Peut-être de la chirurgie esthétique, mais je doute. Il est muet et traumatisé, je vais le sédater quelques jours.
Moi : On le serait à moins. Je vous fais confiance. Dites- lui de ma part que son calvaire est bientôt terminé et qu’il va revenir à la ferme. Il comprendra
Le médecin : Je transmets bonne fin de journée.
Le soir Karl est venu dormir et m’a fait l’amour comme une princesse, il n’a pas voulu discuter d’Éric me disant de le laisser gérer et de ne pas m’en vouloir autant.
Karl : Ce qui est fait est fait. Dors maintenant.
Les jours suivants, j’ai vaqué à mes occupations Laurent est parfait maintenant. Je lui ai même fait son affaire alors qu’il était en train de cuisiner pour moi juste vêtu d’un jockstrap un t-shirt moulant et son tablier. Au bout de trois semaines Karl m’a emmené chez son tailleur. Comme j’ai repris presque mon poids normal, je suis à 68 kg et que j’ai repris du muscle, il veut me mettre à sa sauce quand on sort ensemble et pour les mondanités. Nous sommes d’ailleurs reçus dans deux jours chez un très gros client à lui pour un vernissage. Lorsque deux jours plus tard nous sommes arrivés à ce fameux vernissage, il m’a présenté comme son futur époux. Quelle ne fut pas ma surprise de me rendre compte que plusieurs maîtres étaient là. La plupart me sont passés dessus, si je puis dire et cela me met très mal à l’aise.
Karl : Tiens-toi tranquille et soit sage, je sais à quoi tu penses et il n’y aura aucune allusion ou parole déplacer.
Moi : Oui mon maître.
Nous avons déambulé dans cette immense galerie un verre de champagne à la main. Les tableaux moi ce n’est pas mon truc et je n’y connais rien, Karl lui discute avec l’artiste ainsi que le patron de la galerie d’art. Je me contente de faire potiche. En fin de soirée nous avons repris la voiture direction la ferme.
Karl : Tu as aimé ?
Moi : Pas vraiment, je n’y connais rien en art mais je vais m’acheter des livres pour apprendre.
Karl : Je n’y connais pas grand-chose non plus mais comme maître principal, je peux dire ce que je veux, ils me donnent raison même si je suis dans le faux.
Moi : Oui mais par derrière, tu passes pour eux pour un con.
Karl : Je vais t’en donner moi du con à la maison.
Une fois à la ferme, j’ai pris une douche avec lui et au lit, il m’a fait mettre sur ses genoux.
Karl : Compte et souffre en silence !
J’ai pris une vingtaine de fessées bien sentie et avec ses grandes mains, je ne peux me retenir de crier.
Karl : On reprend depuis le début !
J’ai fini par me taire mais j’ai pleuré.
Karl : Passe sous la douche à l’eau froide et reviens ! Je t’en donnerais moi du con ! DÉPÊCHE TOI !
Une fois ma douche prise, il m’attendait au lit. Il m’a poussé au pied de celui-ci sous le drap et à poser son pied sur mon cul.
Karl : Cette nuit, tu dors là !
Je n’ai pas bien dormi et le lendemain, j’avais une tête à déterré. Karl était déjà parti. J’ai pris mon déjeuner dans la cuisine, j’avais encore très mal au cul quand Luc à frapper à la porte. Je l' ai autorisé à entrer.
Luc : Je viens te prévenir que Eric est arrivé hier soir. Je l’ai installé dans une de mes chambres, je ne le mettrais au travail que quand il ira beaucoup mieux.
Moi : Il est réveillé ?
Luc : Oui mon esclave lui fait à déjeuner, j’ai ordre qu’il mange à sa faim par rapport aux autres esclaves de la ferme, sauf bien évidement le tiens qui finit tes restes.
Moi : Quand il a fini amène le moi s’il te plait. J’ai pris des décisions le concernant et je ne veux pas qu’elle soit discutée, j’ai l’autorisation du maître.
Luc : Ok princesse
Il est sorti et je me suis retourné sur mon esclave.
Moi : Laurent, tu manges mes restes ?
L’esclave : Oui et non maître, pour être honnête, je fais un peu plus mais l’intendant m’est tombé dessus car il s’est aperçu que je commandais plus de nourriture.
Moi : Je veux que tu manges à ta faim.
Dix minutes plus tard Luc m’amène Eric.
Moi : Esclave retire toi et laisse-moi avec l’intendant et le nouvel esclave, pour ta gouverne, il s’appelle Eric.
L’esclave : Bien maître.
Eric est complètement nu les yeux au sol et les mains devant son sexe. Devant Luc, je prends la parole.
Moi : Eric mes tes mains dans le dos et regarde-moi.
Il hésite mais Luc, d'une tape sur les fesses, lui fait comprendre de s'exécuter. Quand j’ai vu, son sexe et les mutilations autour, il n’a plus de couille du tout. J’ai envie de pleurer et de le prendre dans mes bras mais je dois me contenir.
Moi : Eric, à partir de ce jour, ici tu n’es plus un esclave comme les autres. On t’appellera tous par ton prénom. Tu ne seras jamais plus à poil, Luc veillera à te vêtir décemment. Tu travailleras à la ferme et tu seras rémunéré en fonction de tes prestations. Tu commenceras quand tu te sentiras prêt en attendant, tu es notre invité et libre de circuler mais interdiction de sortir en dehors de l’enceinte de la ferme et de rentrer ici sans mon autorisation.
Je regarde la caméra et m’aperçois que Karl écoute.
Moi : As-tu compris les règles ?
Eric : Oui maître
Moi : Autre chose, quand je ne suis pas là, c’est à Luc que tu dois obéissance. Luc veille à ce qu’il soit suivi régulièrement par le médecin et qu’il prenne rendez-vous avec un chirurgien pour remettre son service trois pièces plus ou moins correctes et refaire de lui un homme. C’est le moins qu’on puisse faire après ce qu’il a subi.
Luc : Bien princesse, il sera fait comme tu le souhaites.
Je me suis levé, et j’ai pris Eric dans mes bras.
Moi : Ton calvaire est terminé, essaye de reprendre une vie plus ou moins normal avec nous. Je ne peux malheureusement pas faire plus.
Eric s’est mis à trembloter, il a craqué littéralement en pleure et est tombé par terre en boule. A deux nous n’avons pas réussi à le calmer. Il a crié un coup et est tombé dans les vapes. Nous n’avons pas eu le choix et avons dû appeler une ambulance, qui l’a réanimée avant de l’embarquer aux urgences. J’ai suivi l’ambulance dans ma voiture et j’ai reçu un texto de Karl « Bonnes décisions mais tu aurais pu y aller avec un peu plus de pincettes » j’ai répondu « oui, j’ai fait une erreur. Eric était bien plus fort mentalement avant » Karl « prend soin de lui »
A l’hôpital après trois heures d'attente, résultat burnout et très grande détresse mental. Ils vont transférer dans l’aile psychiatrique, visite interdite pendant une semaine minimum et aucun contact avec l’extérieur.
Le médecin urgentiste porte une bague de maître, il a repéré la mienne donc il sait qui je suis.
Moi : Bon très bien, je vous le laisse mais j’aimerais le voir avant. Faite y bien attention, je tiens à lui.
Le médecin urgentiste : Il a été mutilé et castré, je pourrais avoir une explication ?
Moi : Je l’ai sorti des griffes de maître Aoun mais trop tard, il l’avait déjà fait castrer par ses sbires. Vous ne savez rien faire pour lui rendre sa virilité.
Le médecin urgentiste : On peut lui placer deux petites boules pour lui refaire une bourse. Malheureusement, il ne bandera jamais plus correctement malgré tout et ne jouira jamais plus. Aux états unis il y a des chirurgiens en reconstruction pénissienne, j’ai bien entendu parlé de sortes de greffes ainsi que de pompe mais ce n’est pas mon domaine. Je vais me renseigner auprès d’un confrère urologue. Je donnerais mes résultats au maître principal dont vous dépendez.
Moi : Je vous en remercie d’avance. Est-ce que je peux le voir?
Le médecin urgentiste : Oui, je vous laisse cinq minutes
Dans la chambre d’Éric, il est attaché au lit et à l’air dans les vapes, à mon avis bourré de tranquillisant. Je lui ai caressé le visage et il a ouvert les yeux.
Moi : Repose-toi, tu es ici en de bonnes mains. Je m’en veux terriblement de ce qu’ils t’ont fait subir par ma faute. Ils vont te remettre sur pieds.
Eric : Ce n’est pas de ta faute, j’ai fait une grave erreur en décevant le cercle, j’ai pris moi-même la décision de prendre ta place et de me faire vendre en réparation pour le cercle. Tu n’y es pour rien. Maintenant laisse-moi s’il te plait. Ta présence me fait plus de mal que de bien.
Je me suis penché dessus et lui ai fait un bisou sur le front.
Moi : Comme tu veux, soigne toi et reviens nous en forme, ont tiens à toi Eric et c’est ce qui doit compter le plus pour toi. Après tu seras libre de vivre à la ferme comme bon te semble, je ne te demanderais rien en retour. Je t’aime. Une infirmière est venu lui faire une piqûre alors que je remettais ma veste pour sortir quand je me suis retourné une dernière fois pour le regarder il dormait.
Ptlapin
pascal_dinsart@yahoo.fr