Je me réveille en sursaut. Le réveil indique 1h53. Je mets deux secondes à réaliser que je suis chez Tom. Première semaine de vacances d’été. A 21 ans, j’aurais pu bosser deux mois mais je préfère ne taffer qu’un mois et profiter de vacances en juillet. Mon meilleur pote se retourne dans le lit en grognant. Je sens que je bande comme un cheval et presse ma main sur mon erection nocturne. Je suis tellement chaud que j’hésite à réveiller Tom pour une branle à deux. Mais depuis que je l’ai sucé à Noël, il ne veut plus de ses plans entre potes. C’est surtout qu’il culpabilise depuis qu’il couche avec Mélissa.
J’ai la gorge sèche, envie de pisser. Après un passage aux toilettes qui me permet de dégonfler, je descend a la cuisine. Dans la pénombre, je connais la maison par coeur. Faut dire que depuis mes 10 ans, je dors chez les parents de Tom à chaque vacances scolaires et parfois les weekends.
Je me sers un verre, conscient que la télé du demi niveau sous sol est allumée. Je ne sois pas le seul à faire une insomnie : je suis trop réveillé. La maison a l’air différente. Je n’ai pas souvenir de m’y être promené seul si tard. C’est plus fort que moi, je veux faire mon curieux. La moquette des escaliers, au dela du mauvais gout, a l’avantage d’assourdir mes pas. Je m’approche en fourbasse du salon.
Sans grosse surprise, la télé diffuse un film porno. Patrice, le père de Tom, nu, se masturbe vigoureusement en retenant ses gémissements dans un souffle.
Je suis tel une statue. Rien ne bouge, si ce n’est que j’ai chaud d’un coup, les joues me brule et ma queue se dresse en deux secondes.
Patrice, le mari tout sage. Pas très causant mais de bonne humeur. Habillé bon chic bon genre. Sa femme qui dort au deuxieme. Et lui, nu, animal, qui se paluche fort. J’aimerais toucher ma bite, me branler en même temps. J’expire. Il se retourne, dans un sursaut.
– Putain ! Tu m’as fait peur !
Y’a rien qui peut servir d’excuse. Passer la surprise, il comprend que je mate depuis quelques temps, et mon gland dur dépasse nettement de mon caleçon écossais.
– Tu veux venir ? propose-t-il, aussi simplement que lorsqu’il me demandait ce que je prenais au Drive du McDonalds.
Un instant je crois que je rêve. On dirait un fantasme qui se réalise, où tout est trop facile. Je m’assois à côté de lui. Il reprend son solo. Puis me passe son tube de lubrifiant. Je commence à me palucher. Je suis tellement excité que je sens que je pourrais venir directement. Mais autant en profiter. A l’excitation d’être surpris, je me dis surtout que je vois la queue de Patrice pour la première fois en dix ans. Sans être longue, 16 ou 17 cm maximum, elle est bien large et poilue. Et ses couilles sont d’une taille que j’ai rarement vu : grosses, pleines, et pendantes d’au moins dix centimètres. Un taureau.
Son daddy bod poilu, ses mains aux gros doigts, et sa barbe bien fournie le rendent très sexy.
Il frappe sa queue dans sa main, dans un bruit de claque qui durcit la mienne.
Je stoppe ma branle.
– J’aimerais te la foutre, me dit-il sans me regarder. T’as l’air d’avoir un petit cul lisse bien serré.
Il ne sait pas que je me gode presque tous les jours. Il va être surpris.
– Je peux la pomper avant.
– Oui, avant, après, que tu la goûtes après son passage dans ton petit cul.
Il maintient le manche bien droit et guide ma tête avec sa main énorme. Je reçois son bout viril en pleine gorge et entreprend une pipe comme je sais le faire.
– Ptain, t’es doué. Gourmand !
Une gorge profonde plus tard, essouflé mais heureux de ne pas avoir cracher, Patrice me doigte le cul puis fourre sa langue. Je la sens, musclée, chaude, à titiller mon trou. Autour, puis dedans, le plat de sa langue passant bien sur tout, pour des sensations d’extase.
– T’es doué aussi.
– Je bouffe ton cul lisse. T’es déjà bien ouvert.
Il pose ses mains sur mon bassin et initie un va et vient vigoureux. Sa queue, toujours aussi vive, pénètre mon trou. Puis il suce mes boules tombantes, malaxant mon sexe.
– Attends, je vais venir sinon.
Sa main est luisante de mon precum. Il me fait lecher ses doigts. Patrice est très chaud, je ne l’aurais jamais imaginé si à l’aise, encore moins avec un homme.
Il se lève et me demande de me m’allonger dos a la table. Je frissonne tant elle est froide. Moi, je suis bouillant. Je redresse mes jambes. Il avance sa queue entre mes fesses et tourne autour du pot.
– Enfile moi ! dis-je, ne tenant plus.
Il enfile un préservatif caché dans le tiroir de la table. Puis s’insère en moi, ça glisse tout seul, écartant mon anus.
– putain, ça rentre comme dans du beurre !
Il va et vient, râlant. Je sens que sa bite me malaxe comme il faut, j’ai des courants électriques dans le corps en peu de temps.
– Je sens que je vais jouir.
– Attends un peu.
Il me soulève, ses veines sortant sur son front alors qu’il me burine debout, me portant comme si j’etais qu’une poupee gonflable. Je serre mes bras à son cou. Puis l’embrasse de plaisir. Il me mord a moitié, sa langue léchant la mienne, mes lèvres, mon cou. Je sens et j’entends ses couilles énormes me fouetter le cul alors que son manche raide vibre dans mon trou. J’explose et viens sur son torse.
Il me repose, mes jets continuant d’abonder, et entreprend de me branler le gland à deux mains, alors qu’il reste debout derrière moi. Rugueuses et chaudes, mon orgasme reprend et je crache 3 jets loin devant. Il est obligé de me couvrir la bouche pour m’empêcher de crier de plaisir, avec sa main couverte de mon propre sperme.
Puis il me dose a nouveau, debout, la tête dans le canapé, le trou bien ouvert. J’ai l’impression de chier un arbre, il me défonce et mes jambes tremblent tellement qu’il doit me maintenir. Je supplie :
- Je veux ton foutre !
– Tu veux mon jus, Kevin. Attends, viens-là, toi.
Il sort de moi, me retourne.
-Ouvre grand.
J’accueille son chibre toujours aussi veiné. Puis pompe, suce ses boules, me bifle avec sa queue. Il couine.
– Alors, il est bon ton cul. Ta bouche, ton cul, ta bouche.
Sa queue me malaxe la prostate et la gorge en alternance, chaque coup plus fort. Je vis ma meilleure baise.
– Je vais cracher. Ouiiiiiiiiiiiiiiii !!! Haaannn !!! Aaaaah !
J’avale des doses de sperme énorme. Puis il decide de sucer ma bite encore raide, me demandant de cracher sur elle et lui. J’explose encore.
Après ça, je pourrais clairement vouloir une enculade chaque jour en vacances.
DelosFairy
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