Dans ma promo, je suis quelqu'un plutôt sociable. Je discute avec tout le monde et j'avoue connaître un peu tous les ragots. Moi, c'est Thomas, 20 ans. Brun, les yeux noisettes, barbe de trois jours, plutôt sec, ouvertement gay mais masculin tout de même.
Un soir, une pote m'invite à une soirée. Pas très chaud pour y aller car tous les mecs un peu beaufs de la promo y allaient, j'accepte quand même l'invitation. Sérieusement, ce sont vraiment des beaufs. Pas mal mais trop sûrs d'eux, l'orgueil de cette bande de vantards augmente aussi vite que le nombre de meufs qui finissent dans leurs lits. Le pire, c'est Bastien. Un mec bodybuildé, les cheveux courts et les yeux clairs et un peu plus vieux que les autres. Le genre de mec à se vanter de chacune de ses aventures, bref, le leader. Il est cool, enfin, entre mecs, c'est différent. Mais en soirée, il devient un vrai rapace.
Bref, j'arrive à cette soirée, dis bonjour à mes potes, prends un verre de vin et vais directement sur la terrasse pour me griller une clope. Sur cette terrasse, Bastien et sa bande de potes déjà bien entourés de filles bien éméchées. Bastien et Colin, un de ses potes, viennent discuter avec moi. Entre nous, je m'en serais bien passé. Colin m'indiffère un peu mais Bastien retient mon regard. Il est vêtu d'un jean bien moulant noir et d'un débardeur plongeant blanc qui laisse quasiment apparaître tous ses pectoraux. C'est vrai qu'il est bien bâti ce con. Presque trop, même.
Venant de se prendre une veste, Colin me sort "Putain des fois je me dis que t'as vraiment bien choisi d'être pédé Thomas. Les meufs, quelle plaie". Je ris et approuve. Il rentre, me voilà seul avec Bastien sur la terrasse. Un blanc s'installe, je lui propose une clope qu'il refuse. Ben ouais, un esprit sain dans un corps sain.
- Rien à te mettre sous la dent Bastien ?
- Cette image que t'as de moi putain !
- Pardon mec mais en même temps...
- Ouais c'est bon, c'est bon... Mais Colin a peut-être pas tort.
- De ?
- Ba les mecs entre eux, quoi. Aller, c'est bien connu que les pédés sont tous chauds du cul. Eux au moins t'as pas besoin de les faire picoler pour t'amuser un peu.
- Wow, cette image...
- Ben quoi, regarde-moi dans les yeux et ose me dire que tu n'aurais pas envie de goûter à ma queue ?
Je reste bouche-bée. Il se fout de moi ou quoi ? C'est un genre de test ? Ou bien une remarque homophobe ?
- Euuuh, pourquoi tu me demandes ça ?
- Attends, je vais reformuler ma question.
Il tourne sa tête pour s'assurer que personne ne nous regarde, puis me prend une main qu'il colle sur ses pecs bien durs et luisants.
- En gros, est-ce que tu kifferais que je te baise ou pas ?
Putain, non, pourquoi je me retrouve à bander sur Bastien, ce beauf, ce macho de première classe.
Il regarde la bosse qui se distingue de mon short et me dis "c'est bien ce que je pensais".
Il rentre dans le salon et lance "Je reviens, je vais accompagner Thomas chercher une veste chez lui, il n'a pas de caisse et ça craint de traîner seul dehors à cette heure-ci quand on est leurs comme lui".
Je ne réagis pas à sa vanne pourrie et le suis bêtement, ébahi.
Arrivés dans un coin tranquille il me pousse contre le mur, maintient ma tête en serrant sa main en haut de mon cou et me roule une bonne grosse pelle, bien baveuse. Putain, je kiffe. Il retire son débardeur et là, je me retrouve face à une masse de muscle digne des films de combat. Dans un excès de narcissisme, il tend son bras et serra à main pour me montrer ses biceps qu'il me demande de lécher. Exciter comme je suis, je ne réfléchis pas et m'exécute. Il me demande de le lécher partout. Il contracte tous ses muscles et je lui obéis. Wouah, c'est bien dur, bien chaud, je bande comme un taré. Je retire mon teeshirt et là, il appuie sur mes épaules et je me retrouve nez à nez face à sa braguette. Il retire son jean pour laisser apparaître une bonne queue totalement épilée, comme tout le reste de son corps, bien longue et bien épaisse, un truc de fou.
D'une main, il me prend par la nuque et me défonce la gueule. Il en gémit, d'une voix de mâle bien virile. Je sens son gland bien humide tamponner le fond de ma gorge, j'en chiale, c'est trop bon.
D'un coup, il me relève. Il me plaque face au mur, retire mon short et commence à bien baveuse ment me lécher le cul. Je suis en extase totale. Sans me prévenir, d'un coup bien sec, il enfonce sa grosse queue dans mon cul. Je ne peux m'empêcher de hurler, de plaisir, de jouissance. Il me défonce le cul comme jamais, je gueule tant le bruit de ses reins claquant contre mes fesses me rend ouf. Ça a duré vingt minutes. Vingt minutes à me prendre ce gros chiffre. Pour se finir, il me met à genoux face à son exquise queue et lâche six bon gros jets sur ma face en hurlant.
Comme un macho qui se respecte, il se rhabille sans m'avoir fait éjaculer, moi. Mais je m'en fous, j'ai tellement kiffé. Il part vers sa voiture, me ramène un vieux torchon pour que je puisse m'essuyer, il me roule une grosse pelle et me tend une veste pour que l'on puisse retourner voir nos potes comme si rien ne s'était passé.
Après la soirée, inutile de vous dire qui m'a ramené chez moi...
Tommie
Autres histoires de l'auteur : Le père de mon meilleur pote | Un hétéro bien macho ! | Mon beau-père est un coquin | Stage à l'hôpital
